micro34

Je me sens presque quasiment prêt à ne plus être en vacances.

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Réveillé au milieu de la nuit par le bruit d'une violente averse
dont je ne trouverai aucune trace au matin.

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On m'a envoyé un Caliméro en peluche qui, lorsqu'on lui appuie sur le ventre, dit
"C'est trop injuste..."

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Il semblerait que j'aie, pour l'instant, un lecteur régulier depuis le Québec,
dont je reconnais l'IP.

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Baudriers fluo, comme on surlignerait au marqueur
l'érotisation du corps prolétarien.

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Photo à prendre, cour de la bibliothèque, onze heures du matin : penser à revenir

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Demain, il va pleuvoir.
(Ah bon.... je commençais à m'inquiéter, après deux jours consécutifs de soleil.)

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Maison en construction : la "joyeuse effervescence" d'un nid de papas turcs.

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Sans être nihiliste, avoir le sentiment que, quoi qu'on fasse, on se trompe.

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"Notre besoin de consolation est impossible à rassasier" (S. Dagerman)

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Derniers jours de vacance, le  goutte-à-goutte se ralentit.

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Je suis d'une crédulité qui confine à la benêterie.

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Se sentir confus d'être aussi confus.

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Après vous...

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Comments

[chori]

:o(
la fin des vacances est toujours pour moi (et pour d'autres aussi je suppose) un moment... difficile, et spécialement cette année!

[gballand]

J'aime bien votre première phrase avec le "presque quasiment prêt "... la suite de vos écrits montre effectivement que vous aviez raison et que le "presque quasiment" a submergé le "prêt" !