ohmondieumondieumondieu
Bon, vues de loin, elles me semblaient providentiellement looongues, ces vacances de la Toussaint, mais ce n'était, bien entendu, qu'un mirage.
Déjà mercredi, et pourtant le sentiment que rien ne s'est passé, que je n'ai comme on dit par ici "rien eu le temps de faire". D'autant plus que je pars tout à l'heure pour quelques jours à Paris. Jusqu'à lundi donc. Et que c'est pas là-bas que je vais m'avancer dans le rangement du bureau*, la préparation de classe*, ou le travail à mon oeuvre*.
Ok ok, après il me restera toujours DEUX JOURS pour faire tout ce que j'(av)ai(s) encore à faire. Deux jours, quand on y pense c'est immense (surtout quand il sont à venir). Tandis que dix jours pour la Toussaint, c'est juste... rikiki, isnt'it?
* : sujets récurrents à chaque début de vacance, et dont je déplore généralement, à la fin des mêmes de ne pas avoir eu le temps de m'occuper hélas.