Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
lieux communs (et autres fadaises)
26 janvier 2009

la machine à lire

(Le rêve ne progresse qu'en réinventant sans cesse sa propre réalité, il n'existe qu'au présent.)

Des bribes de cette nuit...

Dans un appartement (plusieurs personnes), quelqu'un (un homme) avec un document assez volumineux et rébarbatif à lire (format A4 à l'italienne, pas pratique du tout à manipuler). Il dit qu'il va le lire et le place sur une machine qui ressemble à un pupitre pour partition, placée tout en bas d'une étagère, et part faire la sieste. Je ne comprends pas bien l'utilité de la "machine", qui tourne automatiquement les pages l'une après l'autre. Va-t-elle lire le document à sa place ? Je l'arrête et je ne sais plus comment la remettre en marche. Je tâtonne, ah si un gros bouton plat, là tout en bas à droite. J'appuie, ça redémarre. Est-ce que l'interruption que j'ai causée dans sa "lecture" va rester en mémoire ?

C'est une école (ou une colonie de vacances ?) nous sommes tous réunis dans une pièce avec un mec (un "responsable") qui nous explique les travaux auxquels ils vont procéder (la scène s'est effacée) Je suis allongé sur une table rouge, et le mec en question vient s'asseoir devant moi en continuant son speech (il est question de matériel informatique ?) Je pense qu'il fait semblant d'être sympa, qu'il justifie ses choix en faisant comme si on l'avait, (le choix) mais qu'en réalité on ne l'a pas.

Ca y est je m'installe (à la colo ?) Je suis dans une chambre individuelle, un lit, une table de nuit et une grosse armoire. Je ne sais pas pourquoi, j'ai les affaires de la précédente occupante (en même temps une prof d'histoire à la retraite que je connais dans la réalité, et aussi une bonne soeur), notamment un lourd crucifix sur pied en (bronze ? mais ça ressemblerait plutôt à de l'argent vieilli), que je pose sur la table de nuit (avec un certain souci de provocation ado.) Il y a aussi une boîte en bois, genre boîte à cigares, qui, quand on l'ouvre (elle s'ouvre à deux battants, comme une armoire miniature) contient tout un fouillis d'images pieuses et de chromos entassés. J'ouvre l'armoire (la grande) en faisant glisser la porte pour y ranger la boîte, et j'y découvre, à l'intérieur, sur l'étagère du dessus (il s'agit plutôt d'une penderie) un invraisemblable fouillis, que je vais devoir ranger...

Intervient alors mon ancienne voisine de G., qui habite une maisonnette, juste à côté de ma chambre (qui est "ouverte"). Je la vois  sortir de sa maison et disparaître par une ouverture dans le mur (qui prolonge ma chambre "à l'extérieur"), ouverture que je n'avais jamais vue, mais qui doit donner sur un parc.

Je suis assis dans la cuisine de ma voisine, avec un jeune homme (son neveu ?) que je connais depuis très longtemps (depuis qu'il était enfant ?) mais qui est maintenant adulte. Nous sommes assis sur deux chaises côte à côte, devant la table de la cuisine, et je comprends qu'il a envie d'essayer (de faire l'amour avec moi). Nous nous tripotons, à cause des deux chaises ce n'est pas très pratique, on est obligé de se contorsionner, il se laisse caresser mais a l'air un peu mal à l'aise, il rit bêtement, commente, hésite. Je suis d'autant plus mal à l'aise que je sens que la voisine est toujours debout derrière nous, à observer l'action...

(la voisine a disparu comme dans Mulholland Drive).
Nous sommes à présent sur le lit (il y a dessus un couvre-lit vieillot), on continue notre affaire. C'est comme si en même temps je faisais et je me regardais faire. J'ai le sentiment qu'il ne me touche pas beaucoup. A un moment, je me félicite intérieurement pour avoir réussi un changement de position (nous étions allongés, je l'ai pris, une main de chaque côté du dos (qu'il a bizarrement coloré, un peu brun, sablonneux) ,relevé et nous sommes à présent à genoux, face à face, torse contre torse. Je me penche vers son sexe, et c'est à ce moment-là qu'il éjacule, copieusement (il a un sperme épais et un peu jaunâtre) en disant avec un certain étonnement "J'me suis joui..."

Commentaires
Archives
Newsletter
Visiteurs
Depuis la création 384 762