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lieux communs (et autres fadaises)
5 mars 2010

échafaudage

D'habitude, je les trouve plus attachants avec des gars dessus, mais celui-là, tel quel, comme ça, un dimanche matin, il m'a vraiment attiré l'oeil...

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2 mars 2010

oui je suis de retour!

Je dirais même (Caliméro...) que je reviens de loin... Quasiment désintox' du ouaibe que je finissais par me sentir!
L'internet revenu mercredi soir était déjà reparti le vendredi, donc, rien de rien tout le week-end, et je commençais à me dire que, finalement, vivre sans 'ternet, c'était 'achement possible... Après avoir reçu une nouvelle box, l'avoir branchouillée, constaté que ça ne marchait toujours pas, avoir appris, de la la bouche même (ou quasi) de mon F.A.I que c'était euh  oui peut-être un peu de sa faute et que non mon matos n'était pas en cause (j'avais tout de même vérifié et re tous les branchements, codes d'accès et machins d'authentification possibles...) mais rien à faire la lumière de cette foutue box restait jaunâtre désespérément alors qu'elle eût du émerauder joyeusement à la place...
Je m'apprêtais donc, ce soir à m'arroser d'essence et à m'immoler par le feu devant cette foutue box lorsque ce soir, quand je suis rentré du cravail, mon oeil torve et droopyesque s'est soudain dilatée d'enthousiasme (et je dois le dire sans trop y croire au début) : la lumière était VERTE! Et la suite (tapotage prudent pour lancer Mozilla and co) me réconforta, et donc ici me voici.
Alleluia, alleluia!

26 février 2010

régime sec

Retour de voyage, et retour aussi à la réalité : mille merdouilles qui s'accumulent, notamment une coupure d'internet de presque quatre jours -c'est là qu'on réalise combien on est dépendant de ce machin- (renseignement pris, il s'agissait de travaux sur ma ligne pour augmenter mon débit), la voiture qui manque de rendre l'âme (problème de liquide de refroidissement) , le passeport qui passe à la machine à laver, la machine à laver en question qui est sur le point elle-aussi de rendre l'âme, le téléphone qui refuse la tonalité après une chute malencontreuse, l'ordi qui s'essouffle, le site pour faire les bouquins photos qui plante... Ok ok je suis de retour!

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PS : pour le voyage, j'y reviens bientôt...

21 février 2010

back...

Yes, on est rentré d'Inde. hier soir, comme prévu, right in time, tout va bien.
La tête et le coeur saturés d'impressions, de sensations, d'émotions.
On est chez soi.
Un peu floconneux, à la fois désormais ici mais encore ailleurs, dans une zone intermédiaire.
On a défait le sac, survolé le courrier, essayé de dormir, chargé les photos, on erre les yeux moitié ouverts et le cerveau moitié conscient, on reprend pied. Demain on sera définitivement dans le réel, les deux pieds dedans, mais pour l'instant on erre, on flotte, on désembarque, on ré-agrège, tant bien que mal...
On a trouvé cette photo, au milieu des autres, on se dit qu'elle n'a rien à voir, mais pourtant qu'elle irait bien là...
alors on la met

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6 février 2010

from helsinki

Oups! Je suis vraiment parti comme un voleur, et j,ai oublie de vous preciser que je partais pour 15 jours to India (Rajasthan, le retour)
(ceci est ecrit live depuis l'airport d'Helsinki, et, comme c'est un clavier international, c'est un peu laborieux : plein de lettres ne sont pas å la même place et c'est un peu enervant...)
Je ne vais donc pås m'eterniser et vous donner rendez-vous aux alentours du 22 (fevrier)

D'ici-lå, je vous ai mis une image par jour (sans aucun rapport, juste des images que j'aime bien...)

bizavous

3 février 2010

sac de voyage

c'est la cata...
je ne PEUX PAS faire mon sac. Je n'y arrive pas. Je trouve toujours quelque chose de mieux à faire au dernier moment. Autre chose. Tout mais pas ça. Tant que je n'en suis pas réduit à la dernière extrémité, c'est plus fort que moi, je ne peux pas.
Procrastinateur, d'accord, je me connais, mais là, ça commencerait carrément à tenir du TOC, non ?
Mercredi après-midi (on part vendredi soir), je me suis fait violence comme on dit et j'ai commencé à faire des piles de trucs et de machins sur mon lit ; et là ça commence : combien de ci, et combien de ça ? Trop, pas assez ? manches courtes, manches longues , slip ou caleçon ? je vais même voir sur gougueul si je peux trouver des conseils (ah bon, un tel par faire du vélo pendant des mois et il n'emporte que deux slips ?) Mais bon ça m'embrouille encore plus la tête.
Alors je vais laisser pour l'instant mes piles, comme ça, sur le lit (ce soir je serai bien obligé de les bouger pour me pieuter, hein ?) et je vais aller faire un tour en ville... Doudoune ou imper ?

12 janvier 2010

presque gratin de moules

Je suis approximatif (c'est là mon moindre défaut) mais bon mon père l'était aussi...

Pour midi, j'avais fait ma célèbre recette de moules/frites sans frites. Et voilà que j'avise sur l'emballage du paquet de moules (oui oui j'achète mes moules en paquet, y a plus qu'à les rincer et à les faire cuire...) une recette de gratin de moules au safran. Qu'à cela ne tienne, je vais faire ça !
(J'avais déjà fait cuire les moules dans une certaine quantité -plutôt généreuse- de vin blanc et d'eau. Il en fallait 20cl. Bon, comme dans la recette je fais réduire (enfin, j'essaie, vu la quantité qu'il y a) avec une demi-cuillère à soupe de farine, après avoir filtré comme je pouvais. Au bout d'une demi-heure, c'en est toujours au même stade ou presque, ça ne s'évaporera pas plus, alors j'en jette un peu, et je rajoute un peu de farine...
Mouais c'est à peine un poil plus épais. Là je devrais rajouter du concentré de tomates, (je n'en ai pas) du safran (je trouve un vague sachet de préparation pour paella)  de la crème (ça j'en ai) et un jaune d'oeuf (chic, j'ai aussi!).
Je mets dans un plat mes moules que j'ai décoquillées (j'aurais du les cuire avec un oignon, mais ça j'en avais pas non plus), je recouvre de la préparation, et là je suis censé rajouter du persil (j'en ai pas, alors je mets de la persillade, à escargots, ça doit faire le même effet, non ?) et de la chapelure (j'en ai pas non plus, tiens je vais mettre des germes de blé...)
Je mets au four le temps demandé, et quand je sors, ça a une assez bonne tête (j'ai coupé le grill, contrairement à ce qu'ils disaient dans la recette, et j'ai cuit à four normal, sage décision...) C'est jaune, encore assez liquide ma foi, et, quand je goûte, je trouve surtout que c'est super salé... (après vérification, il s'avère que la persillade à escargots est composée d'abord de sel, ensuite de persil et d'ail...) Enfin, un peu trop salé (je mange tout, quand même)...
Voilà, j'ai "fait la cuisine" pour une fois, l'évier déborde de vaisselle et d'ustensiles sales, il va me falloir des plombes pour faire la vaisselle... Tout ça pour ça ?

9 janvier 2010

volatiles

Alors on dirait qu'en 2010, sur ce blog,  on aurait de nouveau envie de parler de soi, de se faire entendre, bref de glouglouter comme un dindon au milieu de sa basse-cour, en gonflant  ses plumes et en tortillant du croupion...Voui donc on se pavanera...
Rhalala il faudrait que j'aie une opinion sur tout, et si peu de choses hélas me passionnent (m'intéressent) suffisamment pour que je sois capable d'émettre un avis (circonstancié) et puis d'abord les résolutions sont en majorité faites pour ne pas être tenues, non ?

(billet retrouvé, daté du 01/01/10, et sauvé in extremis de la poubelle)

Pavanons, pavanons d'autant que depuis deux jours il s'est mis à neiger à verglacer et à congénérer assez effroyablement et qu'il n'y a donc pas grand chose d'autre à faire. (Quand il neige, je serais plutôt comme une pintade, sottement affolée, je m'arrache les plumes (du croupion) en gémissant oh mon dieu mon dieu mon dieu en regardant la neige qui tombe immaculée et recouvre tout de son blanc tapis... Dès que la route est un peu noire, je roule prudemment jusqu'au Super U où je fais un monton de provisions, puis je reviens tout aussi prudemment, je rentre la voiture au garage, je me calfeutre, et j'attends que ça se passe...)

C'est donc le cas, actuellement, et les prévisions météo me laissent à penser que ce le sera aussi toute la semaine prochaine (m'en fous, j'ai assez à manger!) et puisque je ne suis pas allé au cinéma voir Persécution, je ne peux pas vous en parler (mais à vrai dire, j'hésite de plus en plus) il a donc bien fallu meubler et parler d'autre chose. Faire diversion.

3 janvier 2010

la théorie du rêve

(d'une nuit agitée à cause de problèmes... digestifs, avec réveils fréquents qui ont fragmenté la continuité de l'étoffe dont sont faits les songes (Shakespeare) mais l'ont en même temps ressassé(e),  comme une partition de musique répétitive)
L'ensemble est comme un immense hangar, assez sombre, où flotteraient les différents éléments qui vont et viennent d'une séquence à l'autre du rêve mais comme le fera remarquer le mari d'une collègue (qui est là avec elle, en quelque sorte en temps qu'observateur, chaque élément se modifie et peut changer de taille, de forme, d'apparence, suivant la personne, ou le fragment, avec qui il interfère :
Il y a un homme et une femme, en gros plan (on ne voit que leurs visages, c'est quasiment comme une photo d'un film des années cinquante (l'homme ressemble d'ailleurs à Ray Milland) ils sont dans un petit théâtre aux rideaux de velours rouge, elle lui caresse la main (ils ont peut-être eu un accident) avec un regard amoureux... mais on voit, un peu en arrière, que son autre main caresse un galet, et regarde à nouveau l'homme avec un regard interrogatif. On comprend, au regard méfiant de l'homme, qu'il craint que sa femme n'ait essayer de l'assassiner à cause du diamant en question...
Il y a des étudiants des Beaux-Arts, dans une pièce, très haut (j'ai le vertige, je n'ose pas regarder en bas), une pièce sans mur, qui donne sur le vide, et B. donne un coup avec sa main à un gros objet qui flotte dehors, comme une énorme montgolfière métallique, pour le faire redescendre (ce qui serait normal, puisqu'on est très haut) mais constate, en rigolant, que même à cette hauteur, ça flotte..
Je suis assis en train de discuter avec un groupe de gens, je suis assis sur un genre de chaise de paralytique en fer, mais motorisée (bien que je ne vois pas comment, en tout cas qui produit une sacrée énergie, je peux quasiment faire des roues arrière), et tout à coup je coupe court à la conversation et je m'en vais sur la route, tout droit (nous sommes sur une sorte de presqu'île, et je me dis, paradoxalement, puisque c'est dans ce sens-là que je vais, qu'il vaudrait mieux que la chaise soit chez moi, pour que je puisse m'en servir, plutôt que d'être toujours à l'autre extrémité de la presqu'île, où je dois donc toujours aller la chercher à pied...
Tandis que je suis sur le chemin du retour, passe à ma hauteur un mec que je connais vaguement, qui se penche, et, rapidement, appuie sur la valve d'une des roulettes (elles ne font pas plus de trente centimètres), et tandis qu'il rit de sa bonne plaisanterie, j'explique en ronchonnant que je n'ai jamais réparé de roue de ma vie. J'ai soulevé la chaise à roulettes et l'ai posée sur ce qui semble être le rebord d'une fenêtre murée, et j'essaie de regonfler la roue, en mettant dans la valve l'embout d'une pompe très courte avec laquelle je ne sais pas s'il faut pousser ou tourner...
Arrive une jeune fille, qui lit à l'autre mec des extraits d'une lettre qui concernent des travaux de garage qu'un concurrent à lui à obtenu, en lui faisant comprendre que normalement c'est lui qui aurait du les faire... Il est songeur.
Interviennent encore ma collègue et son mari (les observateurs), ils tiennent à la main un objet important (de la taille d'un bouquin, mais c'est noir, de la densité de l'ardoise, et il y a peut-être des colonnes comme un temple minuscule) et me redisent que c''est aussi l'objet important de chaque séquence (le diamant, la chaise, la pompe, la lettre) qui a changé de forme à chaque fois...

1 janvier 2010

niouille heure

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On ne voit pas très bien, mais c'était cette nuit, dans la voiture de Marie, à 3h du mat', voilà, c'était 2010, on roulait dans le brouillard mais c'est pas grave, personne sur la route, une certaine quiétude, après avoir terminé l'année de délicieuse façon, en rigolant comme des baleines (on a joué à Time's up! Je vous le recommande, c'est du bonheur...). Oui, quelle meilleure façon de passer à l'année suivante aurait-on pu souhaiter...
Comme le fut celle de commencer l'année suivante, 2010, donc, en se réveillant presque à midi, et, pour reprendre contact avec le monde environnant, en lisant  une nouvelle, puis deux, du Naufrage de la Vesle Mari, le dernier dernier volume des racontars arctiques... que du bonheur vous dis-je!

Et vous en souhaiter, donc, à vous, lecteurs réguliers ou occasionnels, ou même passant(e)s de hasard sur ce blogchounet, la meilleure des années 2010 (ou tout au moins la moins pire!)

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