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lieux communs (et autres fadaises)
8 octobre 2010

toltèques

Ma copine Evelyne me fait lui acheter sur Internet des livres bizarroïdes qu'elle a visiblement du mal à trouver ailleurs
celui-ci est sous-titré "la voie de la libération personnelle" et repose sur quatre préceptes (je l'ai un peu feuilleté à la réception) :

1) Que votre parole soit impeccable
2) Quoi qu'il arrive, n'en faites pas une affaire personnelle
3) Ne faites pas de suppositions
4) Faites toujours de votre mieux

j'ai trouvé ces titres de chapitres plutôt intéressants, jusqu'à ce que je détaille l'intérieur et que j'y trouve des trucs qui me gonflent...
mais bon, en tant que conseils, c'est plutôt pas mal! (non ?)

28 septembre 2010

elle est bien bonne

Rachida Dati dit "fellation" à la place d"inflation", dimanche, sur Canal, et personne n'en parle ?
Bizarre bizarre...

En rangeant mon ordi, j'ai retrouvé ma première bannière pour ce blog. Je la remets illico, parce que c'est "vraiment moi"...

Le mardi soir, c'est bien, mais pas tout à fait autant que le vendredi soir...

22 septembre 2010

higas

On va encore dire que j'ai l'esprit mal tourné, mais quand je vois ces deux superbes figues, rondes, lourdes, veloutées, dont le forme et l'arrondi conviennent parfaitement au creux de la main, dont la provenance est qui plus est spécifiée "de Turquie", posées chacune sur son petit papier imprimé "Mustafa", j'ai, comme qui dirait les pensées qui dérivent, et une douceur langueur m'envahit...

P1230094
(Smiley avec les joues roses...)

17 septembre 2010

faire le point

j'aurais pu aussi intituler ça "garder le cap". Métaphores maritimes, comme s'il y avait, ces temps-ci un peu de tangage, un peu de roulis... Pas la grosse grosse tempête, non, juste des coups d'embruns, ça et là, qui me laissent parfois un peu désemparé...

Depuis que j'ai déménagé, et que je suis dans cette nouvelle maison (que j'aime vraiment, dans la quelle je me sens bien, comme si elle avait été faite pour moi), je devrais en principe me sentir comme le plus heureux des hommes... Et bien non, pas vraiment, comme dit Marie, "ça ne marche pas comme ça..."
Je me sens d'autant plus heureux dans mes murs, que, paradoxalement, il me paraît, par contraste, que rien d'autre ne va... En dehors d'ici, je veux dire. Hors les murs.
Le recommençage au travail (ce qui aurait dû être, d'ailleurs, ma dernière année mais passons, ou mon ulcère va se rouvrir) ne s'est pas passé comme sur des roulettes (mais ça je le savais, je l'appréhendais, je le craignais, et les choses n'ont fait grosso modo que confirmer mes appréhensions) oui oui, je sais, c'est juste le démarrage qui est difficile, tous les ans je me le dis et me le répète, j'y pense et puis j'oublie...
C'est vrai que j'ai le déstabilisage facile (non je n'ai pas vraiment le pied marin) et que j'ai souvent tendance à faire une montagne d'une taupinière (ou un tempête dans un verre d'eau, pour filer les métaphores marines...) Peut-être faut-il juste que j'arrive à me sortir de ma position "vacances" et passer en position "travail"...
On/off

8 septembre 2010

vidéo

Retrouvé la trace du jeune homme en t-shirt (pas très difficile, vu qu'il en laisse pas mal sur le ouaibe) Pas de nouvelles, bonnes nouvelles...
Vu sa dernière création, qui m'a produit un certain effet. Le mot qui m'est venu à l'esprit, alors, était dévasté. Oui il m'a un peu dévasté. Le mot est sans doute excessif, mais c'est celui qui m'est venu, tandis que je regardais les images qui bougent de sa vidéo. j'avais posé les coudes sur la tablette et appuyé ma tête sur mes mains.
De le voir. De le voir se mettre en scène, de ne pas tout comprendre, le regarder ainsi -littéralement- tourner en rond.
Être ému.
En faire, à tort certes, une relation individuelle.
Quand il enlève ton t-shirt et montre son ventre, c'est pour moi qu'il enlève son t-shirt, et à moi qu'il montre son ventre.
Et quand il chuchote des phrases extraites de Un homme qui dort, c'est à mon oreille qu'il les chuchote.
Troublant de voir sa peau, d'entendre sa voix.
Dévasté, oui, par les sentiments que j'éprouve, et par la stupidité que je leur attribue.
Comment disait-elle, hier, la dame dans ce film rital ? ah oui : les histoires d'amour malheureuses ne finissent jamais.
c'est ça, oui, jamais...
(et ce n'est même pas une histoire d'amour en plus. Juste je me fais du mal, comme ça, gratuitement, une fois de temps en temps...)

29 août 2010

five

coïncidences...

avec tout ça, j'ai complètement oublié de

5_bougies

souffler les cinq bougies de ce blog
(j'étais à Paris, ce jour-là, et non seulement j'ai vu le film d'Apitchounet, mais j'ai aussi acheté le dvd de Five, de Kiarostami...)
Mon dieu, cinq ans déjà, bon anni mon blog,  et oui, oui, je persiste et signe...

26 juillet 2010

yessss!

Merci seufeureu!
me voilà (enfin) reconnecté au monde des vivants on the ouaibe
(j'avais -solennellement- débranché l'ordi et tout le toutim le 21 au soir)

j'ai donc déménagé jeudi (avec une palanquée d'amis efficaces)
(merci françois, merci hugo, merci rené, merci régis, merci nicolas, merci pascal, merci élisabeth, merci jean-fran, merci christine...)

il a plu, c'était la première fois de juillet
("déménagement pluvieux déménagement heureux")

je suis donc dans ma belle maison au milieu des cartons, plus ou moins vidés, et je monte et je descend (j'ai des superbes escaliers avec une vraie rampe cirée) j'ai -pour l'instant- la sensation d'être, quelque part, dans une maison de vacances...
heu-reux...

(photos suivront)

18 juillet 2010

chroniques d'un déménagement annoncé (7)

(état des lieux)

Hou la la ça devient sérieux.
Réel, quasiment!

Vendredi après-midi, rendez-vous avec le Maire, plus deux adjoints, pour le fameux état des lieux.
On va de pièce en pièce dans une maisont vide qui résonne (mais qui n'est pas chaude du tout), eux qui notent les trous dans les murs, qui disent on a refait ci et ça, et on a encore ça à refaire, et moi qui les suis, qui imagine comment je vais remplir ces pièces vides en question (pas de jaloux, elles ont toutes la même taille!) tiens là je mettrai le canapé, et tiens la chambre sera mieux à gauche plutôt qu'à droite, et tiens y a qu'une seule prise de téléphone, et tiens le frigo sera très bien dans ce renfoncement là, et oh la cave (les, plutôt) et les plate-bandes avec les rosiers, et le porte-manteaux (que je n'ai toujours pas, je le mets où, hein ?)
Après ça ne rigole plus, on signe le bail, en quatre exemplaires, et les élus s'en vont, et il me tarde que le maire s'en aille aussi, que je puisse faire visiter le tout à mes copines, qui piaffent de l'autre côté.
Penser à me faire une nouvelle étiquette pour la boîte aux lettres.
Prendre quelques photos des pièces, encore vides...

P1200810
(le "salon")

15 juillet 2010

chroniques d'un déménagement annoncé (6)

(formalités)

Les cartons, les escaliers, la déchetterie, les sacs-poubelles, tout ça c'était de la rigolade, à côté des formalités...
Jusque là, j'avais juste fait le changement, à la Poste (qui vous refile un kit -sympa, certes- mais pour 38€, et ce juste pour un renvoi de courrier pendant 6 mois (avant, c'était un an, non ?))
Et hier soir, dans mon lit, réveillé dans la nuit, je n'arrivais pas à me rendormir, justement, à cause de ces fichues formalités... Le téléphone, l'électricité, la télé, les impôts, rhalala, je gémissais en me disant que je n'allais jamais y arriver...
Tout ça pour découvrir, que, contrairement à ce que je pensais, il est de plus en plus difficile de rencontrer quelqu'un "en vrai" pour lui expliquer les choses...
Ca se fait surtout par téléphone ("appuyez sur la touche étoile") ou à la rigueur par internet ("tapez sur envoi"), mais jamais de vive voix, directement,  "comme avant" (syndrome dit "du vieux con", j'assume...)
Bon, le téléphone, c'est fait, l'électricité aussi (et pour me remonter le moral je suis allé traîner un peu sur les forums à partir des mots "edf" et "déménagement", où des pauvres gens s'arrachent les cheveux parce qu'ils continuent de payer une double facturation, tout ça parce qu'ils n'ont pas envoyé leur relevé de compteur à l'arrivée et au départ...)
Tiens je vais appeler pour le rdv pour l'état des lieux de sortie...

14 juillet 2010

chroniques d'un déménagement annoncé (5)

(étagères vides)

Ça suit toujours son cours. J'ai eu d'ailleurs hier matin un sérieux coup de main de Marie et Manu, qui a bien fait avancer les choses : désormais on voit ce qu'on fait, puisqu'il y a désormais dans l'appart' des choses qui sont vides (et dont le contenu, empaqueté, est désormais entassé dans le garage.
J'ai atteint cet après-midi l'objectif que je m'étais fixé : vider entièrement la grande étagère.
C'est chose faite.
J'en suis venu à bout, avec pas mal de cartons et beaucoup de transpiration (il faisait cet après-midi abominablement chaud), mais voilà le résultat.

P1200806

Ça en valait la peine, non ?

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