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lieux communs (et autres fadaises)
4 janvier 2021

à feu doux

dimanche 3 : un vendredi férié, suivi par un samedi, suivi par un dimanche, c'est grosso-modo comme si j'avais vécu trois dimanches consécutifs

*
neige :
il a neigeouillé ce matin ("quelques flocons" avait annoncé la dame de la météo), j'ai rpis quelques photos des toits des voitures, puis la neige s'est arrêtée et tout a fondu

*
couvre-feu
ça rime avec

boute-feu
cessez-le-feu
coupe-feu
pare-feu
pot-au-feu

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voeux (1)

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je me suis dit que ça ne serait pas mal, ça, pour la carte de voeux pour la nouvelle année, non ?

*

humour

(rions un peu, on n'en pas si souvent l'occasion) :

"Les enfants iront à l'école demain comme prévu. Les pays qui ont reporté connaissent une vague épidémique particulière, notamment l'Angleterre dont on sait qu'elle traverse une période particulièrement difficile", a indiqué Jean-Michel Blanquer sur le plateau de BFMTV.
Le ministre de l'Education nationale s'est voulu rassurant. Il a rappelé qu'avant les vacances, le taux de contamination dans les établissements scolaires ne s'élevait qu'à à 0,3%. Il a également assuré que la rentrée verra la mise en place d'un "protocole sanitaire renforcé". "Ce protocole va continuer à fonctionner et nous allons déployer encore plus fortement les tests, notamment dans les lycées qui maintiennent en majorité un système hybride comme c'est le cas depuis le début du mois de novembre", a-t-il ajouté." (actu.orange.fr)

*

scrabble
au dernier coup je pose TURLUTAI, (sur triple,et  je gagne), mais il n'y a que moi que ça fait rire...

*

téléphone
Malou me dit que D. ce midi avait préparé des coquelets, nous digressons sur la volaille en question, sur les spécificités de laquelle je m'interroge, et elle finit par me glisser "C'est comme manger des adolescents..." , ce que je note illico...

*

voeux (2)

(transmis par Dominique sur whatsappmuche)

*

tarot
* j'aime bien quand, tandis que je suis en train de compter les atouts, en est joué un qui porte le même numéro que celui que j'étais en train de lui attribuer dans ma tête
* ça m'énerve quand un joueur présente une poignée (10 atouts) et qu'aussitôt après il coupe avec le petit

*

3 janvier 2021

arte kino festival

finalement j'aurai vu huit films sur les dix :

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que j'ai classés par ordre de préférence...

2 janvier 2021

new year, used year

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donc une année nouvelle
(faire comme si)
le fait de passer de 0 à 1 c'est déjà un changement, une avancée, un progrès, une amélioration, une modification, une rupture, (un espoir ? hihihi)
(soyons fous)

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(nouvelle bonne année)

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(garantie?)

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(pas mieux)

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(déjà utilisée, de deuxième main)

*

avant le "nouveau" couvre-feu (NCF) profitons-en...

"voir du monde"

* hier après-midi aux Bâties, avec René, Christiane, Dominique, Emma, Régis pour le goûter (gâteau à l'orange, gâteau au chocolat, meringues, chocolat de champion du monde, arrosé d'une goutte de champagne pour la plupart (et de champomy pour certaine(e)), puis de café à gogo (parfum chocolate truffle en ce qui me concerne), bref, un moment délicieux, "comme avant" pourrait-on dire, même si au début j'ai eu un peu de mal à ôter mon masque (j'étais bien le seul) pensez : six vieilles et vieux, autour d'une table, espace confiné, fenêtres fermées, à manger des gâteaux, à boire, à parler, à plaisanter, à rigoler, à échanger des petits cadeaux, mais surtout à être là, tous ensemble, en présenciel, "en vrai" (ni étreintes ni bises, mais le coeur y était, et j'étais de surcroit enchanté d'avoir de nouveaux modèles à photographier...) bref deux heures exquises, tout comme avant, et ça m'a reboosté...

* et ce matin, Christine passe me prendre à 8h30 comme elle me l'avait proposé hier au téléphone, pour aller faire un tour de lac avec Elisabeth (on l'y retrouvera là-bas, après avoir fait un tour au marché -Christine doit acheter du pain et des poivrons...- qui est quasiment désert : la plupart des stands sont fermés, et les allées du coup sont vides...) pas plus de monde au lac, d'ailleurs (il est tôt, il fait frais et humide (c'est revigorant), Elisabeth arrive, elle a un très joli bonnet orange (en alpaga ?) et on fait le tour habituel ça fait un sacré bail que je ne l'avais pas fait) en discutant comme il est de rigueur (et ô joie on croise très peu de monde...) et ça aussi c'est "comme avant" (enfin, presque, puisqu'on garde tous les trois le masque sur le museau pendant tout le tour, sauf à deux ou trois reprises où il fait bon l'ôter quelques instants pour aspier l'air délicieusement frais à grandes goulées...

 

 

2 janvier 2021

le dernier rêve de 2020

je dois rentrer à Vesoul...

j'ai le choix entre plusieurs itinéraires

(souvenir d'itinéraires différents, utilisés auparavant dans d'autres rêves,le premier avec un virage à angle droit pour démarrer, avec un panneau indicateur qui indique plusieurs directions, et l'autre qui part sur la gauche "par derrière" et emprunte des petites routes (et passe par des petits villages), j'arriverai par "l'autre côté", par la route de Vaivre)

j'ai rétrouvé le vélo que je vais utiliser (prêté par Pépin), appuyé contre l'arbre où je l'avais laissé plus tôt (le rêve a commencé bien avant, mais j'ai oublié) je l'enfourche et je roule un peu mais il me semble que la roue avant (dont la chambre à air me semble plutôt large) n'est vraiment pas très gonflée, il faut absolument que je la regonfle avant de partir, pour être sûr d'arriver

je suis dans une école  il faut que je (re)trouve ma pompe à vélo (passe dans l'entrebaillement de la porte Jean-Luc G.)
(salle des maîtres, beaucoup de gens, ça discute, ça rigole)

sur  le bureau de la directrice, je viens de récupérer deux courriers qui m'étaient destinés, alors qu'il n'y avait personne, à présent elle est assise à son bureau, elle me demande mon nom, et est en train d'ouvrir le tiroir, qui était fermé à clé, en disant qu'elle doit regarder, qu'il se peut qu'elle ait encore quelque chose d'autre pour moi...

un gamin me salue, en m'expliquant qu'il me connaît, qu'il m'a déjà vu, je lui dis que ça devait être pendant un précédent remplacement, j'en ai fait beaucoup, je lui demande son prénom, en lui expliquant que j'ai une mémoire quasi-infaillible des prénoms des enfants que j'ai eus en classe... il y a d'ailleurs aussi sa mère qui est là et m'aborde avec un grand sourire... il me dit son prénom, et ajoute qu'il a dû me laisser de mauvais souvenirs parce qu'il avait été affreux et qu'il avait dû m'en faire voir... mais sur le coup son prénom ne me dit rien

je lui dis en riant qu'en général les anciens élèves m'abordent en disant qu'ils se rappellent que je leur ai donné des fessées, mais là, pas du tout, le gamin me remercie

je me souviens alors qu'il était sourd et appareillé et la dame n'est pas sa mère mais l'AVS qui s'occupait de lui dans la classe

s'ensuit une discussion (oubliée) que je conclus en rigolant, avec Laurence H. qui passe, en disant "voilà bien la preuve que les RASED ne servent à rien" mais c'est de l'humour, et on éclate de rire

(pendant tout le rêve je pense que je dois m'occuper de regonfler la roue avant de ce fameux vélo (de Pépin ?) si je veux pouvoir repartir avant la nuit)

un épisode dans les toilettes où nous sommes trois (je suis avec un collègue, je pense qu'il a fini et je m'installe pour pisser mais je réalise qu'il est en train de commencer de le faire, alors je me recule pour lui laisser la place (la pièce est vraiment étroite, il n'y a pas assez de place pour deux personnes côte à côte) et il y a encore un autre collègue derrière qui attend son tour, on continue de discuter (ça ça vient du bouquin de Lefort dont j'ai lu quelques pages avant de m'endormir)

avant de partir je mets mon manteau (il est bleu, c'est comme un grand manteau de cow-boy, mais en doudoune, bleu vif, je le trouve très beau mais ne suis pas tout à fait sur qu'il est à moi, je fouille dans les poches pour vérifier, à ce moment sort une collègue qui me dit (en riant) que le manteau est à elle (c'est bien ce qu'il me semblait, qu'il n'était pas à moi) et je l'enlève pour le lui rendre

(flou, avant : j'étais accroupi entre des rangées de sièges (pour faire mes besoins ? je me souviens que j'ai les fesses à l'air) et à ce moment là sont entrés dans la pièce deux ministres, barbus tous les deux (Castaner et Philippe ?) et je me suis renculotté vite fait (mais mal, j'ai remonté mon pantalon mais pas mon slip) mais je raconte tout ça à quelqu'un, plus tard dans le rêve

la directrice (une petite blonde à cheveux courts et au visage rond (que je ne connais pas dans la réalité)) me dit qu'elle a oublié de me dire qu'elle avait gagné au loto, il y a quelques mois, une assez jolie somme (je n'ose pas lui demander combien) et je lui dis qu'elle a vraiment de la chance (précédemment dans le rêve elle a dû me dire qu'elle avait déjà gagné quelque chose)

bon il faut que je m'occupe de regonfler cette roue, hein, voilà le vélo, voilà la pompe (mais elle est toute petite à présent me semble-t-il, que ce n'est plus la même qu'avant (à cause de la sécurité pour les enfants ?), je réalise que ça fait des années que je n'ai pas fait ça, regonfler une roue, mais je je dévisse le capuchon (je me souviens qu'il ne faut pas le perdre) j'appuie sur le bitonio par lequel un peu d'air s'échappe, j'ajuste l'embout du cordon (tiens il me semble que l'extrémité est carrée et jaune et pourtant elle se revisse très bien), assis dans l'herbe, sous l'oeil de deux gamins qui suivent l'opération de très près

il y a aussi Pépin qui tient avec (?) une discussion technique à propos du vélo, justement, et précise que le sien a dû être  adapté au fait qu'il doit subir des efforts violents quand il en fait  -dans les grandes montées ?- (je pense qu'il se la pète un peu)

bien entendu j'ai oublié mon sac à dos, je retourne le chercher dans la pièce d'où je viens de sortir, qui est comme une salle d'attente où plusieur papys sont assis sur ce qui a l'air d'être un banc en demi-cercle  (tiens, mon sac, il n'est pas bleu, il est crème)

1 janvier 2021

en guise de voeux

Réveillon clandestin: «Quand on est ensemble, c’est là que je me sens humain»

Une cinquantaine d'amis d'enfance ont bravé les interdits pour se retrouver sous une tente dans un champ et oublier, le temps d'une soirée, le virus, la crise et la distanciation sociale.

La bâche blanche a été consciencieusement accrochée au toit du barnum, de sorte que la pièce soit étanche au froid et à la pluie. Trois élastiques manquants permettent de se glisser dans cette grande tente. Et tout de suite, l’ambiance est plus chaude. C’est que trois chauffages à gaz ont été allumés. Autour, cinquante personnes s’agitent, les pieds dans la terre mêlée à un tapis de feuilles de chêne et d’olivier, la tête dans les baffles et les guirlandes lumineuses. Au fond, la daube mijote et l’eau des gnocchis déborde. Dans un champ en surplomb de Nice, une joyeuse troupe s’apprête à dire adieu à 2020, sans masque ni distanciation. Une fête clandestine entre copains d’enfance, au bon goût d’avant, pour accueillir 2021.

S’il avait réveillonné en petit comité, Antoine se serait payé un homard. Mais ce chauffeur-livreur ne pouvait se contenter de cinq copains. Antoine vient d’arriver à pied, il repartira "toujours à pied et bourré". Il est bloqué ici jusqu’au petit matin, couvre-feu oblige. Alors il dispose de 10 heures devant lui pour discuter, manger, boire, chanter, danser. Et fêter la nouvelle année. "On est dans une période de privation des libertés. Les nouvelles règles empêchent les relations sociales, estime-t-il. Il n’y a plus aucun lien social : le tabac est fermé, les sports collectifs sont interdits. Le reste, c’est le travail et la Playstation. Et encore, la console, c’est uniquement parce qu’il y a les copains au bout du micro. Quand on est ensemble, c’est là que je me sens humain." Se regrouper pour faire la fête, c’est s’exposer à une amende pour tapage, voire une condamnation pour organisation d’une manifestation avec probable mise en danger de la vie d’autrui. Mais ici, personne ne se soucie vraiment des policiers. Ils sont déjà venus pour le bruit par le passé et le PV avait été partagé. Cette fois, pour seul rempart, un panneau "propriété privée" a été accroché au bout d’une cordelette.

Les derniers invités arrivent. On ne se fait pas la bise : ce sera la seule distanciation respectée. Le gel est absent, le masque dans la poche, prêt à sortir si un policier passe la tête sous la bâche. «Avec le masque, c’est plus difficile pour communiquer, déjà qu’avec le son c’est compliqué, pointe Théo. Comment tu fais pour boire ? Et pour fumer ?» Pourtant cet été, ce responsable-marketing de 25 ans, col roulé et veste grise élégante, avait participé à une soirée masquée à Cannes. Et ça ne l’avait pas dérangé. "Aujourd’hui, on se permet de transgresser car on n’a qu’une vie. J’aime mes potes, je ne peux me restreindre à ne pas les voir. Tout en étant conscient que ces moments sont vecteurs du virus. Je vis en coloc, je fais des soirées : si je passe un soir sans personne, je pars en déprime." C’est ce que vit Liza. Cette buraliste de 24 ans a vu ses interactions sociales se réduire comme peau de chagrin. La partie bar de son commerce est fermée, elle ne voit pas plus de quatre copains simultanément et elle s’est fait tester avant de rejoindre sa mère à Noël. "Je suis en train de péter un câble psychologiquement. On est tous en dépression. Alors moi, là, j’ai l’impression d’être à la première soirée de ma vie, rigole-t-elle. Ça fait du bien de faire la fête comme avant." Le bar est ouvert, la musique fait boum boum, les chouquettes "à l’herbe" sont sorties. Deux chiens se chamaillent. Le seul enfant de la soirée, 2 ans, a enfilé son casque anti-bruit. Le réveillon débute doucement.

Le groupe de copains n’avait pas organisé une telle fête depuis l’apparition du virus. Les rouages de l’organisation sont restés bien huilés. Yohan est allé chercher les fûts, le père de Vincent a façonné les gnocchis, Matthias a cuisiné la daube. Ils étaient douze dans l’après-midi pour installer l’immense tente accolée au hangar à bois. Ils sont cinquante attablés ce soir. «C’est dans la continuité de ce que l’on vit au quotidien, raconte Camille. C’est un groupe particulier, fait d’amis d’enfance, qui maintient ses relations. Pour un anniversaire ou pour fêter un départ en voyage, les gens passent et les fêtes s’organisent.» Il n’y a plus de gnocchi alors on pousse les tables sur le côté. Théo tente une blague : "On se voit en 2021 ?" Des filles réclament la musique. "On ne transgresse pas pour transgresser. On ne prend pas du plaisir à enfreindre la loi, insiste Rémi. On n’organise pas la soirée parce que c’est interdit, mais parce que ça fait vingt-cinq ans qu’on fait le nouvel an ensemble."

Les «bonne année» ont fusé avant le décompte : le DJ n’était pas bien calé avec l’horloge. Qu’importe, la tente et ses invités sont entrés en 2021. Le champagne est sabré, les amoureux s’embrassent, les plus sérieux miment l’accolade. L’alcool aidant, les distances se réduisent. Quelques bises sont distribuées. Les câlins ne sont pas bien loin : Livia tombe dans les bras de ses copines. «Il faut reconsidérer ce qui est illégal, affirme cette chargée de projet dans une ONG. C’est comme quand on était scouts et qu’on volait un Mont-Blanc dans la tente d’à-côté. On brave un truc ridicule. Pour moi, l’argument de l’illégalité n’est pas convaincant.» Margaux aussi a distribué quelques accolades. En début de soirée, elle s’était fixée pour limites de "boire uniquement dans (s)a bière" et de "ne pas rouler de galoche à n’importe qui". Sur la bâche blanche, de fausses fenêtres sont dessinées. A travers, on peut apercevoir le fumigène qui a été craqué. Plus loin, les feux d’artifice des voisins illuminent le ciel.

Les platines sont posées sur une vieille porte en bois, elle-même posée sur des tréteaux. Dub, techno et funk font danser une partie des cinquante convives. "Ecouter la musique fort, c’est retrouver cette liesse collective, dit Antoine. C’est pouvoir danser avec des filles et des garçons, s’exprimer, séduire, faire des pogos. Il y a un an, interdire cet art semblait impensable."

Yohan et Rémi s’amusent à imaginer une fête très sérieuse avec masques, digressant sur les contrôles des videurs à l’entrée et les distances impossibles à respecter. Ils se marrent et Stéphanie ressort ses cours de droit. Selon elle, si l’entrée n’est pas payante et si le nombre de participants est inférieur à celui requis pour une inscription en préfecture, les organisateurs ne risquent rien. Le petit matin approche et les policiers n’ont toujours pas joué les trouble-fêtes.

La nuit du réveillon, c’est aussi le temps des résolutions. Antoine voudrait «faire plus de fêtes et travailler moins». Rémi espère «la démission d’Erdogan» et «retrouver un quotidien normal» : "J’en ai marre que la première chose à faire, quand on sort de chez soi, c’est de penser : est-ce que j’ai le masque ? Est-ce que j’ai le droit de sortir ?" Livia, elle, envisage d’apprendre la "tempérance". Elle s’inspire de sa prof de yoga : "C’est accepter que les choses soient comme elles sont, ne pas être excessive, développe-t-elle. L’homme est voué à s’adapter. C’est une année de transition et ça va devenir la normalité." Un toutou traverse la tente. Margaux constate : "On caresse tous le chien, c’est hyper Covid." Puis elle retourne danser." (Libération)

allez savoir pourquoi ce texte m'a illico fait venir les larmes aux yeux...
ça me semble très bien en guise de "voeux" pour 2021, non ?

 

1 janvier 2021

top ciné 2020

Ohlala nous voilà déjà le ving-neuf douze et je ne l'ai pas encore fait, mon habituel top quelque chose cinéma, il faut dire que l'année ne s'y est pas a priori vraiment prêtée... alors voilà (coucou Michel Piccoli) j'ai ouvert dans les archives de ce blog la catégorie "pluricul/multimed" et je l'ai parcourue, -redescendue- du 25 octobre (date du dernier film vu en salle et chroniqué) au 1er janvier 2020, et j'ai noté au fur et à mesure les titres qui m'étaient chers...
Voici donc un classement chronologique (à rebours) :

ADIEU LES CONS! (Albert Dupontel)
LA FEMME QUI S'EST ENFUIE (Hong Sang Soe)
JOSEP (Aurel)
IL MIO CORPO (Michele Pennetta) (Settima Settimana Italiana)
LES CHOSES QU'ON DIT, LES CHOSES QU'ON FAIT (Emmanuel Mouret)
CELLES QUI CHANTENT (Loznitza/Moussaoui/Deliquet/Panahi)
UN JOUR SI BLANC (Hlynur Palmason)
GHOST TROPIC (Bas Devos)
ECHO (Runar Runarson)
GREVE OU CREVE (Jonathan Rescigno) (Champs-Elysées Film Festival)
LOS CONTACTOS (Camilo Restrepo) (Champs-Elysées Film Festival)
A L'ABORDAGE (Guillaume Brac) (Champs-Elysées Film Festival)
TAEKWONDO (Marco Berger) (en dvd)
ROMA (Alfonso Cuaron) (mon premier film Netflix)
NUS MASCULINS (François Reichenbach) (Henri, la plate-forme de la Cinémathèque)
A DARK DARK MAN (Adilkhan Yerzanov) (Fica / Journée Exploitants)
HOTEL BY THE RIVER (Hong Sang soe) (Fica / Journée Exploitants)
AN ELEPHANT SITTING STILL (Hu Bo) (Festival Téléramuche)
TEMPORADA (André Novais Oliveira)
ET PUIS NOUS DANSERONS (Levan Akin)

(et -finalement !- c'est très bien de finir avec un titre pareil, plein d'avenir de promesses et d'espoir)

(le lendemain)
... auquel je me sens obligé d'ajouter in extremis CAT IN THE WALL (Vezela Kazakova & Mina Mileva) (Arte Kino Festival) pour faire 21 (ce qui fait un "compte rond" : 2021. Et hop!)

(le surlendemain)
mais aussi, tiens, MOTHERLAND de Tomas Vengris, du même Arte Kino Festival et du coup on passe à 22 (ce qui permettrait comme qui dirait de "passer le cap"...)

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1 janvier 2021

décembre 2020

mardi 1

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première neige

mercredi 2

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oxalis

jeudi 3

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tandem

vendredi 4

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télé

samedi 5

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en bas

dimanche 6

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en face

lundi 7

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utilitaire

mardi 8

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clope

mercredi 9

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jean-bonhomme

jeudi 10

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coco d'authoison

vendredi 11

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nature morte

samedi 12

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givre

dimanche 13

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roulés à la cannelle

lundi 14

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installateur de fibre

mardi 15

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les bâties

mercredi 16

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les Soria

jeudi 17

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il en faut peu...

vendredi 18

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gy

samedi 19

Capture d’écran (797)
twist in my sobriety

dimanche 20

Capture d’écran (886)
negative numbers

lundi 21

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batir*b

mardi 22

Capture d’écran (889)
son of sofia

mercredi 23

Capture d’écran (918)
nadia et les hippopotames

jeudi 24

snoop de dos
no comment

vendredi 25

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vous avez gagné la partie

samedi 26

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huitres

dimanche 27

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losing my religion

lundi 28

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salle d'attente

mardi 29

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d'Emma

mercredi 30

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impressions du soir

jeudi 31

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voeux

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