(un vieux questionnaire des familles, retrouvé dans les "en attente", et dont je ne sais plus du tout d'où il vient...)
Si, aujourd'hui, vous deviez citer :
Un film : Syndromes and a century
Un réalisateur : Apichatpong Weerasethakul
Une histoire d'amour : celle de Yumurta
Un sourire : celui du médecin timide de Syndromes and a century
Un regard : celui de Saadet Isil Aksoy (la jeune fille de Yumurta)
Un acteur : Rabah Ameur Zaïmeche avec son bob rouge dans Bled Number One / et aussi le papy de Still Life
Une actrice : toutes celles des Bureaux de Dieu
Un début : les premiers plans de La Léon : l'eau, le noir et blanc, l'horizontalité...
Une fin : celle de Certains l'aiment chaud, (déjà vue et revue un million de fois au moins, mais dont je ne me lasse pas…)
Un générique : Se7en
Une scène clé : la déclaration de Robin Williams à Amanda Plummer dans Fisherking
Une révélation : Felicity Huffman dans Transamerica
Un gag : Monsieur Horten en talons-aiguilles rouges
Un fou rire : le débat télévisé de 12h08 à l'est de Bucarest
Une mort : le premier démineur de Beaufort
Une rencontre d'acteurs : Jack Nicholson et David Morse dans The Crossing Guard
Un baiser : Gilbert Melki et Jean-Marc Barr dans Coquillages et crustacés
Une scène d'amour: celle de XXY (euh… est-ce vraiment de l'amour ???)
Un plan séquence : le plan final de Profession reporter (que j'aimerais bien revoir) ou de Frenzy
Un plan tout court: Dans Urga, le héros, en pleine steppe, a sorti du carton la télévision qu'il ramène à la maison, et, assis, immobile, regarde juste le reflet des herbes remuées par le vent dans l'écran vide du téléviseur
Un choc plastique en couleurs : Nous les vivants
Un choc plastique en N&B: Eraserhead
Un choc tout court: Valse avec Bachir
Un artiste surestimé : sans hésiter, Quentin Tarantino
Un traumatisme : Le héros en train de manger sa tête de mouton dans Jar City
Un gâchis : 2048 de Wong Kar Wai (à qui je n'ai toujours pas pardonné...)
Une bonne surprise : Bons baisers de Bruges
Une découverte récente : Tariq Teguia (Rome plutôt que vous)
Une bande son : My Name is Hallam Foe
Un somnifère : Land and freedom ou Citizen Kane (oui oui, j'assume…)
Un monstre : celui de Twin Peaks Fire walk with me
Un torrent de larmes : La guerre d'un seul homme (d'Edgardo Cozarinsky)
Un frisson : le reflet qui ne bouge pas de Mirrors
Un artiste sous-estimé : Terence Davies
Un rêve : celui que raconte Isabel à Anna, à la fin de Cria Cuervos : "Y cuando me iban a matar, me desperté…"