tas
Bon, c'est les vacances.
C'est sûr à présent. deux semaines complètes plus encore un petit rogaton au bout. Je vais enfin pouvoir faire ce que je n'ai pas eu le temps (ou l'occasion) de faire. Mais il faut auparavant débrayer, ralentir, rétrograder, bref s'arrêter sans aller dans le mur.
C'est comme si, ces derniers temps, je n'avais pas vraiment eu le temps de voir comment c'est chez moi en vrai. Parce que pas le temps de.
Et là aïe j'ouvre les yeux, tel le Beau au Bois Dormant (mais pas le moindre Prince Charming à l'horizon, c'est peut-être juste vraiment un crapaud qui m'a fait le bisou nécessaire) , et le décor ici n'a rien à envier à celui du château de la Belle (aprèsque les orties et les ronces ont eu tout envahi pendant cent-cinquante ans).
Mon appart est un champ de bataille. Il faut une giga-dose d'energie pour commencer. Non, pour envisager la possibilité de pouvoir éventuellement se dire que peut-être je pourrais bientôt commencer. (Nuance)
Mais devant l'ampleur des travaux il faut un plan d'attaque.
Croyez tout de même pas que je vais me lancer à l'aveuglette, comme ça, n'importe comment. Tss. Mérite réflexion. Ample réflexion. Mûre réflexion (z'avez remarqué qu'on n'agit qu' après mûre réflexion. Ni avant mûre réflexion, ni après verte réflexion, ô sauvages beautés et mystères insoldables (insondables voulais-je bien sûr écrire) de notre belle langue!
C'est pourquoi cet après-midi j'ai préféré passer quatre heures à mettre en forme la programmation cinéma (remarquez, je n'avais guère le choix étant donnés les délais : tout doit partir lundi soir...) plutôt que de m'attaquer à la chose...
Tiens, je vais juste faire deux trois photos déprimantes (mais o combien réalistes) pour illustrer ce post...
(Ca me fait penser que j'ai oublié une "vérité embarassante" dans ma liste du 16/12 :)
20 bis ) Je suis affreusement bordélique
... Terrifiant, non ? mais si vous voulez en savoir davantage vous pouvez allez voir là