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lieux communs (et autres fadaises)
24 août 2007

métaphores urbaines 1

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23 août 2007

martine...

Beaucoup ri en trouvant ça par hasard, grâce à un commentaire ciné sur le blog de zvezdo...
(pas réussi à faire fonctionner correc' le lien source... mais bon je suis assez benêt.)

23 août 2007

arthographe

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22 août 2007

voisin voisine

CE QUE JE SAIS DE LOLA
de Javier Rebollo

Vu il y a quelques temps (déjà! soupir...) A Paris. Titillé par la combinaison de salles (le s est excédentaire, puisque le film n'est sorti que dans une seule et unique salle, le St André des Arts) et le début de la critique de Libé ("le film que personne n'ira voir cette semaine...")
Découvert, dès le générique, qu'y tenait le rôle principal un nommé Michaël Abiteboul (peut-il vraiment devenir célèbre avec un nom pareil ?), déjà repéré à plusieurs reprises dans des courts-métrages ou des seconds rôles (voire les deux à la fois), parce que ce mec a (dans sa tête et dans son corps) quelque chose qui me touche (pour tout dire il ressemble à quelqu'un que j'aime bien)
Le film est étrange (je dirais même étrangement étrange) : un nommé Léon vit avec sa mère infirme, dont il s'occupe avec dévouement. Il n'a pour se distraire que l'indiscrétion (il lit le courrier de ses voisins) et le voyeurisme. Il tient aussi un journal, au stylo-bille et dans un cahier d'écolier, où il raconte méticuleusement chacune de ses.journées (des fois il dit la vérité, des fois il ment un peu). Le monde est étrangement vide, quasiment off. Puis sa mère meurt, tandis qu'une jolie voisine vient s'installer sur le même palier. Lola (car c'est elle bien sûr) va devenir l'objet exclusif du voyeurisme de Léon, qui va la suivre désormais heure après heure, jour après jour... L'unique objet de son affection. Une drôle d'histoire d'amour, furtive et muette.
Léon ne vit quasiment qu'à travers sa contemplation attentive et fervente, il n'existe que par sa fonction de voyeur (c'est d'ailleurs l'invraisemblance première du film qu'il faut accepter : si un rouquin mastoc silencieux passait ses journées à vous observer à tout bout de champ, vous ne vous douteriez vraiment de rien, vous ?), sa vie par procuration, c'est juste ce que vit Lola. Et le spectateur-voyeur,  par la force des choses, prolonge la mise en abyme, en observant Léon en train d'observer Lola...
Mimétisme affectif : Lola boit, il boit, Lola vend des casseroles, il lui achète une batterie de cuisine, Lola a besoin de fric, il lui en fait trouver, Lola veut voir la mer, il va voir la mer, Lola va en Espagne, il va en Espagne, ainsi de suite... (le film étant une coprod, et le réalisateur español, on aurait pu penser qu'il se passerait là-bas, mais, pas du tout, le voyage en question n'occupant qu'une partie du film (et pas forcément la plus réussie.)
Il y a le même décalage entre l'aspect massif de l'acteur et sa voix neutre, calme,  (quasiment une voix d'enfant sage, de gentil fiston) qu'entre la folie froide du film et le traitement trop sage qui lui a été appliqué.  Mais bon, tel quel, ce drôle (?) de film, avec ses plaies et ses bosses, ses manques et ses redondances, ses invraisemblances et ses maladresses, suscite la curiosité, l'intérêt, face à la singularité de l'entreprise... Le monsieur assis derrière moi (qu'à un moment de la séance j'ai d'ailleurs entendu ronfler fort... voluptueusement) n'a-t-il pas déclaré, à la fin, à son voisin "Hay cosas interesantes..."
Intemporel (un film avec des francs et sans portable... hmmm quel bonheur!) mais pourtant pas situé dans le passé (un film donc qui serait situé dans un présent différent ?) Graphique (le film est semble-t-il plus à l'aise dans la plupart de ses respirations, ses plans fixes, que dans pas mal de ses phases narratives, parfois bancales, ou pataudes, ou artificielles.) Drôlement fichu mais surprenant. Et puis c'est quand même un plaisir certain d'assister à une séance en se disant que personne d'autre dans le monde au même moment ne peut faire ça...

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21 août 2007

boule(s)

Un petit bonheur.
En début de soirée, hier, sur un parking. Je sors de la voiture, l'air est un peu frais, humide, comme après le quinze août, quoi. Personne.
Si. Soudain je vois un genre de machin qui se déplace sur la route, comme une boule à pattes qui zigzague en faisant des pauses. Je m'approche, c'est un hérisson, un vrai! qui avance avec ses petites pattes! (pas le gros papa ni le minuscule baby, non, ça doit être un djeun hérisson  disons.) il se promène, se rapproche de moi,  et cherche visiblement à bouffer, de temps en temps, il s'arrête, pique du museau dans une chose innommable (pas reconnaissable en tout cas) qu'il se met à boulotter, puis il relève la tête et repart, nez au vent.
Je fais ma Mère Thérésa des Hérissons, je ne voudrais pas qu'il aille trop sur la chaussée et risque de se faire écrabouiller, je m'avance donc doucement pour, c'est le cas de le dire, lui barrer la route. Mes baskets sont à une trentaine de centimètres, je vois son petit oeil noir, lui aussi m'a vu, enfin a pris conscience de ma présence, et illico pique du nez, le museau disparaît et le voilà en début de boule.
C'est drôle de le voir comme ça, de si près, petit animal que la trouille (ou simplement la respiration) fait ainsi palpiter. je m'éloigne un peu, au bout d'un moment prudemment il se déroule, et, comme s'il avait tenu compte de mon avis, opère un quart de tour, partant ainsi batifoler le long du talus, désormais à l'abri dans l'herbe humide. Il y va de bon coeur, trottine, farfouille, repart, il a l'air de s'éclater...
Je l'observe comme ça, sans trop bouger, un moment (évidemment, je n'ai pas l'appareil-photo!) me disant quelle chance j'ai eu de voir un hérisson, et au moment où moi-même j'effectue un demi-tour pour revenir à la voiture, je perçois derrière moi un mouvement : une autre boule piquante (depuis combien de temps était-il/elle en train de m'observer ?), qui, suite à la brusquerie de mon geste, se met hop! immédiatement en boule complète, boule que je ne peux m'empêcher d'aller pousser un tout petit peu du pied, juste pour tenter de voir son ventre, ou sa tête. Peine perdue, la boule s'est resserrée. Je le laisse reprendre ses esprits (et arrêter de palpiter ainsi) et m'éloigne vers la bagnole, jusqu'à ce que je le vois se désenrouler, et se mettre à trottiner à son tour vers l'herbe où son pote est en train de fouiner...
Quelle chance, me redis-je, d'avoir vu deux hérissons (je roule prudemment en repartant, histoire de ne pas risquer d'en écrabouiller, au cas où le reste de la famille viendrait à passer par là aussi...

20 août 2007

bougies

Oups
J'allais oublier

(sonnerie de trompettes)

aujourd'hui 20 août
à 14h53
ce blog a officiellement

2 ans
(et 835 messages)

Bon anniversaire mon blogchounet !!
(et encore merci à celles et ceux qui suivent...)

20 août 2007

hot tub

OLD JOY
de Kelly Reichardt

(Smiley avec lunettes noires) Je ne l'ai pas vu en salle (j'ai failli, tout de même, dans mon MK2 Beaubourg chéri...), je l'ai vu chez moi, sur mon ca'pé et sur dvd (pas piraté, non, non, vous savez bien que c'est mal) mais filé par la maison de production, pas à moi mais à une amie (c'est bien là qu'on reconnaît ses amis, lorsqu'ils vous font profiter des opportunités (oui, oui, hervé, je sais bien que ce mot t'exaspère mais bon), des bonnes occases, quoi!)

Trois choses me donnaient envie : le thème (deux potes partent en promenade pour un week-end entre hommes - les meilleurs! -), la durée atypique (une petite heure et quart, générique inclus) et... la bouille de Will Oldham (pour qui, je ne sais pourquoi, je ressens une indéniable sympathie).

Donc, deux potes se retrouvent (dans tous les sens du terme, puisqu'ils ne se sont visiblement pas vus depuis un certain temps) pour passer un week-end dans la nature (il est question d'une source chaude). Ils se perdent un peu au début (hmmm, deux potes, rando, ils se perdent, et tout un chacun de crier J'ai trouvé! Gerryyyyyy! Sauf que non, non, pas du tout pas du tout absolument pas.) mais donc, pas d'inquiétude, après une nuit de camping / feu de bois parviennent à destination, profitent donc de la source chaude en question, puis rentrent à la maison, chacun de son côté (mais que voulais tu donc, Chori, qu'ils se mariassent ?)

Deux potes qui ont été amis plus jeunes ("Ils sont loin, nos seize ans..."), et qui se sont un peu perdus de vue. L'un, Mark (Daniel London) s'est marié, a une maison, un chien, sera bientôt papa, tandis que l'autre, Kurt (Will Oldham) semble être resté plus flou socialement parlant, encore semble-t-il dans les limbes (parfois) douillets de la post-adolescence...

C'est la magie du cinéma (enfin, d'un certain cinéma), de vous poser, comme ça, deux mecs côte à côte dans une bagnole, et c'est votre cerveau qui prend le relais, qui fait tout le boulot, finalement, leur retricote une histoire, des souvenirs communs, un vécu, un passé, et c'est plutôt agréable...

J'ai évoqué plus haut Gerry, parce que beaucoup de monde l'a fait, mais je ne trouve pas que les deux films aient tant de points communs que ça. Ils sont même presque diamétralement opposés. Gerry progresse selon une stylisation, une désincarnation progressives, dans quelque chose de malaisé, d'angoissant, de douloureux, tandis qu'Old Joy est tout en douceur. Mélancolique, soit, nostalgique, peut-être, mais infiniment paisible en tout cas.

Un film, comment dire, humble, profil bas, un film sans forfanterie, sans esbrouffe, sans démagogie. Un film d'herbes d'arbres et d'eau. Pas d'effets, juste un récit qui fait son chemin, une caméra légère, amicale comme un animal de compagnie, des dialogues à l'avenant, et la guitare de Yo la tengo pour ponctuer ça émotionnellement... On marche simplement avec eux, on suit le sentier que le réalisateur nous esquisse.

Il s'agit juste de la vie, de la vie simple, de la "vraie vie" (... celle de deux personnages dans un film, lui-même adapté d'une nouvelle, qu'en est-il du vrai ?). De petites choses basiques, de détails (un oiseau sur un toit, un feu de camp, un petit-déjeuner, un chien qui rapporte un bâton, le récit d'un rêve qu'on fait à un copain...), bref d'éléments quotidiens, ordinaires, presque triviaux, dont la succession constitue la trame un peu lâche de cette promenade aimablement bucolique...

Oui, d'une grande douceur. Et tout deux repartiront sans s'être finalement dit grand chose. Peut-être que ce qui devait être dit n'a finalement pas été dit. On ne sait pas s'ils se reverront, ça n'a pas d'importance. On a juste vécu une tranche de (leur) présent. Dans l'instant, dans la sensation, dans le bonheur simple juste d'être là.

On reste alors peut-être  sur sa faim, on aimerait c'est sûr aller un peu plus loin en compagnie de ces deux-là, le temps a passé vite, les parenthèses sont déjà refermées, on rallume déjà... J'aime la façon dont le titre réapparaît à la fin (idem au début, où il surgit des limbes, comme une condensation de nuage, et se dissout ensuite de la même façon) ce qui me semble être une métaphore très juste du film lui-même, apparu/présent/disparu)

Les critiques sont unanimement dithyrambiques, et pourtant je mettrais un bémol. Oh, un léger, et très flou de surcroît : il me semble qu'il manque  quelque chose, un je ne sais pas quoi, je suis incapable de préciser davantage, pour que le film prenne plus d'épaisseur, de densité, passe d'agréable à inoubliable. Mais c'était peut-être là justement  le but recherché.

Quelque chose, fugitivement, a passé, qu'en a-t'on retenu ?.

"Le chagrin, ce n'est que du bonheur qui a passé"

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(Tranquillou y es-ty ?)

Hmmm j'oubliais : le STG, comme d'hab. Le sous-texte gay (dès qu'il y a deux mecs ensemble, il y a forcément un sous-texte gay) Là, justement, latitude est laissée au spectateur de tricoter toute la romance ou non qu'il souhaite, tant le champ est laissé libre aux supputations diverses. et ça n'est pas très important. Il y a juste cette scène brève de massage des épaules ("What happens ?" "Just relax") mais qui est tellement sans arrière-pensées que c'en est délicieux...

19 août 2007

intellos = chochottes

La preuve :

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C'est-y-pas mimi ? C'est ce que m'a donné la libraire lorsque je suis allé dépenser mon chèque cadeau (John Cheever + Charles d'Ambrosio) en me disant avec un demi-sourire (narquois ? ) qu'elle n'avait plus de petits sachets comme d'habitude mais qu'elle allait me donner  celui-là.
C'est ce que le Livre de Poche offre (ou offrait) pour l'achat de quelques volumes. Faut pas déconner, prennent-ils leurs lecteurs (trices) pour des gourdasses ? Les couleurs sont discrètes, s'pas ? ce rouge et ce rose, hmm ça me rehausse le teint, et en plus ça rappelle mon gloss. Ton sur ton, quasi.
Je suis donc sorti de la librairie la tête haute, mes livres dans mon sac (celui-là même que sur la photo), ledit sac en bandoulière (qui faisait plutôt bosse puisque j'avais déjà mon sac à dos, qui n'était hélas pas assez grand pour contenir l'autre) et j'avoue que j'ai failli un instant me prendre pour Serrault dans la Cage aux Folles (ne me manquaient plus que le déhanchement et les lunettes de soleil à monture strassée).

Mais j'ai assumé, courageusement, jusqu'au parking (un genre de coming out littéraire ?)

Bon ça devait être la journée... Un peu plus tôt, dans un magazin de z'habits, au rayon hommes (non non, pas au rayon gourdasses) j'étais tombé sur un t-shirt... viril : noir, coupe bûcheron, avec ce simple (mais profond) slogan : Penser tue
J'aurais dû l'acheter, tiens...

17 août 2007

carte costale

Catherine "elle est complètement -quoiqu'elle en dise- à l'ouest de l'ouest" a lancé un concours ici, auquel je me suis inscrit..

J'ai longuement hésité, et j'ai finalement hésité pour quelque chose de simple, de sobre, de frais, de bucolique, je dirais presque d'idyllique (le côté terroir, retour aux sources c'est tellement tendance !)
Et voilà donc ce que j'envoie (aux states et sans enveloppe!) :

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Mon "slogan" (car il fallait aussi trouver une maxime...) est, après réflexion, le suivant (oui oui, les lecteurs les plus assidus se souviendront peut-être de l'avoir lu par ici, il y a peu de temps...)

"On se remet bien en question, pourquoi ne se remet-on jamais en réponse ?"

Voilà, désormais ne me reste plus qu'à mettre mon masque de cochon et aller courageusement poster ladite carte postale... (je vais même demander un petit autocollant "par avion"...)

16 août 2007

véhicules

LE FILS DE L'EPICIER
d'Eric Guirado

A l'image du camion de l'épicier en question. Un machin, solide, costaud, pas d'une originalité folle a priori, mais qui, bon, a fait ses preuves, qui a peut-être du mal à démarrer, qui patine des fois dans les montées, qui négocie hasardeusement quelques embardées scénaristiques, qui bringuebale et cahote mais finalement arrive à (très ? trop ?) bon port.
Un film qui  se promène dans le département 26, (en voie de désertification et c'est peu de le dire), dans une histoire de famille comme on en connaît tous, nouée, grippée, rouillée, pour laquelle il faudra bien, après tout ce temps, mettre les mains dans le cambouis (ou de l'huile sur les rouages ?), et dans une histoire d'amour (un grand couillon maladroit est amoureux de sa voisine qui ne le sait pas...), et dans une histoire de rédemption, (de réadaptation ?), aussi. 
Plaisir de voir la jolie petite gueule (longtemps) butée de Nicolas Cazalé s'épanouir soudain comme une fleur de lotus, et le mutin minois de Clotilde Hesme illuminer tout ça de son sourire craquant. Plaisir aussi de l'attention portée par le réalisateur à chacun, même des seconds rôles. Attachant, oui. Et un excès d'optimisme n'a jamais fait de mal à personne... (Trahirai-je un secret en disant que ça finit vraiment plutôt très bien de chez très bien, et que in extremis, tout le monde, oui, tout le monde - même le sale vieux con d'empaffé de sa race - est gentil ? ) "Allez,tiens, il y en a un petit peu plus (d'idyllique ou d'idéaliste ?), je vous le mets quand même ?" Oui, oui, c'est cadeau. Prenons des forces, positivons avant la rentrée, qui je ne vous apprend rien, s'annonce sous le double signe du saumâtre et de l'avarié.

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JINDABYNE, AUSTRALIE
de Ray Lawrence

On passe sans transition de la camionnette hors-d'âge au 4x4 poussiéreux  qui en a sous le capot pour cette adaptation d'une nouvelle de Raymond Carver (Tant d'eau si près de la maison) qui nous revient à la sauce australienne, (ce qui est en même temps une bonne chose et peut-être une fausse bonne idée.) par le réalisateur d'un Lantana qu'on avait plutôt apprécié par ici.
C'est l'histoire de potes qui sont partis pour se payer un week-end de pêche entre hommes (les meilleurs, ndc), qui à leur arrivée dans leur éden piscicole découvrent le cadavre d'une jeune fille y flottant, et qui, après un léger flottement, continuent leur week-end de pêche comme prévu. "De toutes façons, elle était déjà  morte..." Quelle erreur !
La nouvelle de Carver faisait à peine dix pages toute mouillée, le film, lui, dure deux heures. La découverte du cadavre n'arrivant qu'à moitié du film, le propos en a donc été comme on dit étoffé, en amont comme en aval d'ailleurs. Le couple principal  et ses multiples problèmes (Stewart -Gabriel Byrne impec comme d'hab'-, et Claire -Laura Linney, à mi chemin entre Jodie (Foster) et Julianne (Moore), c'est dire -) constitue bien entendu la matière première principale du récit, enrichi (alourdi ?) par le fait que la jeune fille assassinée soit aborigène, les problèmes des autres couples, les histoires entre les deux enfants, le rapport des différents personnages à la mort, un serial-killer... (qui ô surprise à la relecture figurait déjà dans la nouvelle!), Stop! n'en jetez plus!
Et on se dit qu'on a peut-être finalement un peu trop chargé le baudet.  Parce que du coup c'est dur de tenir tous les différents récits. Peut-être, pour les gens qui ne connaissent pas le texte original, ça n'aura aucun mal à passer, mais c'est vrai que j'ai trouvé que, pour l'histoire qui nous intéressait -les pêcheurs et la noyée- c'était vraiment trèèès long à démarrer!.
Tout ça est est d'une tonalité plutôt sombre, malgré le grand soleil australien, et fera froncer de perplexité démoralisée les sourcils au spectateur, qui venait pourtant d'être guillerettisé par le film précédent...

 

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