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lieux communs (et autres fadaises)
11 février 2011

d'Asie (mais pas dans le métro) 2

De Vesoul toujours, donc, état des lieux le mercredi soir :

 

10h : SHOWER de Zhang Yang (Chine)
Le tout premier, et donc, difficile à comparer. Evalué d'abord en "sympathique, puis régulièrement réévalué, en "bien," voire, "très bien"... Une histoire de bains pains publics et de famille (c'est le veiux père qui gère, en compagnie du fils débile léger, quand l'autre frère réapparaît soudain... Bien construit, bien filmé, agréable et rafraîchissant...

14h : LA FIANCEE SYRIENNE d'Eran Riklis (Israël)
Sans que je m'y attende, un gros gros coup de coeur... un film dont j'ai apprécié chaque instant (il y aurait peut-être juuuste une tite longueur vers la fin, entre les deux frontières...), où j'étais dans un état de réceptivité maximale (j'ai eu les larmes aux yeux quasiment d'un bout à l'autre... je sais je sais j'ai l'alarme facile), où j'ai tout aimé... Une belle histoire de famille, aussi compliquée que la situtaion l'est à la frontière Israëlo-Syrienne. Et puis Hyam Abbas, sublime...

16 : LA FÊTE DU FEU de Asghar Farhadi (Iran)
Où un mec passe une heure trente ou presque à expliquer à sa  femme qu'il ne la trompe pas avec la voisine et qu'elle doit lui faire confiance (sous les yeux de la nouvelle petite bonne à tout faire), et où, quand la femme est enfin rassurée, on finit par apprendre que le mari la trompe vraiment avec la voisine... ahlala, quel que soit le pays, hein, ces mecs, tous des quéquettes à pattes, hein...

18h : LE VOLEUR DE LUMIERE de Aktan Aryn Kubat (Kirghizistan)
Le film de la soirée d'ouverture (ou le réalisateur est des deux côtés de la caméra), dans les mêêêrveilleurs paysages kirghizes, une touchante histoire d'électricité (et d'un doux rêveur qui aide les pauvres qui ne peuvent pas payer, tout en bâtissant de chimériques éoliennes)... Bien entendu, les mecs ne sucent pas de la glace, et il y a des méchants (malfrats  mafieux kirghizes, ce qui fait beaucoup) avec des affreux projets... Un joli film, qui pète la santé, avec de jolis éclairs poétiques...

20h30 : WANG LIANG'S IDEAL de Gao Xiongie (Chine, en compète)
Premier film en compète, une variation chinoise et assez répétitive de La femme et le pantin . Où un imbécile se morfond d'amour pour une demoiselle qui va le faire passer par tous les stades de l'enfer... La demoiselle est effectivement à claquer, (et même pire... Vu que le héros est boucher de son état, et qu'on a vu en détail au début du film son modus operandi pour zigouiller les cochons, on espère qu'il va faire de même avec elle mais bernique...) Longuet.

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