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lieux communs (et autres fadaises)
25 janvier 2008

let's be happy

Un p'tit bonheur, c'est de recevoir par la poste un petit cadeau de Paris (et de Malou)...

Un p'tit bonheur, c'est retourner voir Les chansons d'amour dans le cadre du festival Téléramuche, et de réaliser que c'est vraiment Grégoire Leprince-Ringuet pour lequel on a un faible (mais que c'est un peu dommage, ces sous-vêtements orange...)

Un p'tit bonheur, c'est une manif où l'on connaît pas mal de gens, certains qu'on voit souvent et d'autre moins (certains qu'on ne voit, justement, que sur les manifs!) et pouvoir ainsi prendre le temps de discuter...

Un p'tit bonheur c'est un après-midi de grève ensoleillé ciel bleu où l'on peut justement faire ce qu'on veut (et donc rien, si l'on veut aussi)...

Un p'tit bonheur, c'est apporter à Philou son cadeau d'anniversaire, acheté déjà depuis un certain temps (La route, de Cormac Mc Carthy), et de boire une bière en parlant de cinéma et d'expos photos...

Un p'tit bonheur, c'est Christine qui téléphone pour prévenir que dans Le roi Lear, que je vais voir samedi (mais qu'elle a vu hier) il y a sur scène un petit mec tout nu pendant une demi-heure...

Un p'tit bonheur, c'est Isabelle qui m'a fait (très vite!) toutes les en-tête pour lea prochaine programmation des Amis du C...

Un p'tit bonheur, c'est aller s'acheter une petite boîte de chocolats (comme ceux qu'on m'offrit avant les vacances...) avec les petits, à la fleur de sel, et de penser justement que "la vie est comme une boîte de chocolats"...

Un petit bonheur, c'est de me dire que dans quinze jours, mes valises seront bouclées pour le départ en Inde...

Soyons simples...

25 janvier 2008

encore noël!

... et puisqu'un bonheur n'arrive jamais seul, (et que, décidément, ça sera Noël toute l'année ?) voici ce que j'ai reçu de Paris :

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(merci malou...)

Mimi, non ? J'étais un peu dépité de ne pas l'avoir gagné à notre pêche à la ligne (c'est Dominique qui l'avait eu)... C'est très mou, comme un vrai poulet mort, et, quand on appuie dessus, (c'est ce qui fait tout le charme de l'objet) on voit l'oeuf qui sort (le blanc glaireux et le jaune au milieu). C'est un porte-clés idéal, je trouve, non ??

24 janvier 2008

calendrier

Je n'ai pas encore envoyé mes voeux, alors je peux bien recevoir encore des cadeaux de noël, hein, non mais ho...

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(merci, zabetta... et en plus la boîte est très jolie)

12 janvier 2008

les plats pour célibataire

Au Souper U, après les fêtes, il ya des soldes. on fait 50% sur les jouets de Noyel, puis sur les chocolats du Nouvel An, et (ce que je ne savais pas encore) sur les petits réveillons. Au rayon traiteur, un petit panneau  annonçant "tout à 2 euros" a attiré mon oeil d'économe. Et c'était toute la gastronomie ternte-et-un-décembresque qui était là. En plus des habituels saumon fumé escargots etc, j'ai avisé des petits plats. Des petits plats cuisinés sous vide, des petites portions de choses festives, qui m'ont en même temps fait saliver et un peu flipper. Les "portions pour une personne" je trouve toujours ça un peu triste pour faire la fête, c'est un peu comme les petites bouteilles de champagne, ça me serre le coeur.
Mais bon, là, il ne s'agit plus de festoyer, juste de nourriture de tous les jours, hein, genre juste cantine améliorée. J'en ai donc acheté un ou deux (hmmm des bouchées aux escargots, un rizotto safrané aux gambas, un filet de boeuf et son escalope de foie gras) à 2 euros pièce.
Mais quand je suis revenu quelques jours plus tard, il en restait encore, et la dame du rayon traiteur, qui se désespérait car elle souhaitait faire de la place dans son rayon pour l'arrivée de la choucroute nouvelle, la semaine prochaine, m'a donc fait l'article ("allez je vous fais un prix..."), et j'ai donc décidé d'écouter mon grand coeur et d'adopter ces malheureux petits dîners (abandonnés) pour célibataire, et suis reparti avec quatre nouveaux plats, pour un prix défiant tellement toute concurrence que, la vendeuse m'ayant susurré (et assuré) que je pouvais aussi les congeler, j'en ai repris aussitôt autant.
A moi donc le pavé d'autruche au poivre, le suprème de dinde farcie au fois gras et son jus truffé, le magret d'oie au citron vert, le filet de bar au verjus, l'antilope aux champignons et aux châtaignes, et j'en passe... (heureusement ce sont des portions raisonnables!)
Bon quand j'atteins 150k, je m'arrête, promis.

6 janvier 2008

aller au charbon

Oui, oui, je sais bien, je devrais y être habitué, ça me fait toujours le même effet : quand vont bientôt finir les "vacances" et que va donc bientôt reprendre le "travail" :ce sentiment de petite rage impuissante (je ne veux pas y retourner), d'affolement (je ne vais pas y arriver), de défaitisme (mais à quoi bon tout ça finalement, hein ?) Ca se cristallise et ça grandit surtout pendant la deuxième semaine, puisque, bien entendu, "on" a procrastiné comme d'hab' (plus ça va et plus j'attends l'ultime dernier moment, avant, je ne peux pas)
Avec, en plus, suivant les périodes, des petites angoisses annexes, ou malaises divers, qui viennent se greffer sur la plus grosse, comme des champignons parasites sur une souche pourrie, et la greffe prend bien, en général !
"Affectif" (le manque, en général, mais plutôt crucialement ressenti ces temps-ci, et puis le fait d'avoir croisé virtuellement le jeune homme en t-shirt l'autre soir (dit désormais le jeune homme aux baskets rouges) et d'avoir constaté que primo nous n'avions  rien à nous dire ou presque, et secundo que cette rencontre, pourtant fugitive et nulle et non avenue, m'affectait encore particulièrement), "artistique" (des choses que je me suis engagé à faire et dont, pour celles que j'ai déja commencées, je ne suis pas spécialement content, mais bon, c'est général : j'ai perdu le peu de confiance  en moi, que j'avais (le peu de confiance que j'avais en moi ?) et donc de plus en plus ça fonctionne à usage interne : je fais des choses mais juste pour moi, je n'ai pas le courage d'aller plus loin), "à long terme" (là c'est avant de m'endormir, dans certaines circonstances et que tout m'apparaît soudain incroyablement sombre, opaque, sans espoir, pour tout dire terrifiant, tout mais tout, le travail les vacances la vieillesse la vie demain après-demain et le reste aussi et j'ai alors le coeur qui dévale chute libre comme dans les montagnes russes), oui tout est prétexte.
Et c'est comme ça un soir, et le lendemain c'est comme qui dirait un peu soleil. Ou pas. Ca dépend. Nos petites météos perso internes sont capricieuses changeantes et incompréhensibles. Des fois, il suffit de si peu pour aller mieux...

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Là, c'est juste parce que j'ai reçu un sms de voeux qui me touche beaucoup : "bonne et belle année à toi (malgré l'affreux minissimo) plein de petits bonheurs, d'émotion, de beauté(s), de rires et de justes révoltes... grosses bises à bientôt"

3 janvier 2008

...

un léger malaise... un vague trouble... une affection voilée... un certain marasme... un indéfini vague-à-l'âme... une indisposition passagère... un imperceptible flottement... un ramollissement incompréhensible... un mal-être imprécis... une langueur indistincte... une mollesse inexplicable... une léthargie floue... un obscur mal de coeur... un soudain laisser-aller... une mélancolie indéterminée... une faiblesse imprévue...

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1 janvier 2008

all the best

Bonne année donc à tous celles / tous ceux qui me l'ont d'ores et déjà souhaitée, et à toutes / tous les autres aussi, qui passent dans le coin parce qu'ils ont vu de la lumière (ou parce qu'ils cherchent les paroles de "ta kathy t'as quitté", ou qu'ils veulent voir des quéquettes de rugbymen, ou qu'ils veulent savoir des trucs sur tel ou tel film, ou quelle nouvelle midinetterie dorénavant me titille, ou même tout à fait par hasard...)
C'est peut-être mon côté pessimiste (réaliste ?) qui me pousserait à la souhaiter "moins mauvaise possible" plutôt que "bonne". (Franchement, le 1er janvier 2007 on s'est souhaité une bonne année, et vous avez bien vu ce que ça a donné, au mois de mai chez nous, mais bon on peut généraliser à toute l'année partout ailleurs dans le monde, mais chez nous aussi bien sûr, balayons donc devant notre porte...)

Une seule solution, la révolution ?

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28 décembre 2007

pas superstitieux

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Heureusement, le train partait du quai n° 11, et j'ai voyagé le 28 /12!

18 décembre 2007

ameublement

J'ai un canapé bleu. Whaou! Il est tellement grand qu'il ne pouvait pas tenir sur une seule photo :

DSC06942 (aile gauche)
DSC06941 (partie centrale)
DSC06943 (aile droite)

Merci à Ginette et Christian, qui s'en débarassaient gracieusement
Merci à Christine, qui a "pensé à moi" dès qu'elle l'a su
Merci aux Amis du Cinéma, qui m'ont permis de solutionner le problème du transport lors de leur AG
Merci à Catherine, qui était prête à mettre son Kangoo à mon service
Merci à Isabelle, qui a prêté son véhicule
Merci à Sylvain, qui a mis à contribution ses gros muscles et son sens du transbahutage dans les escaliers

J'ai un beau canapé bleu, voilà.

18 décembre 2007

croix

Rions un peu avec nos amis de France-Mu... Ayant été amené à prendre ma voiture, j'ai mis la radio et là suis tombé sur une émission où le jeu consistait à comparer sept (7!) versions successives de la même cantate "O Jésus laisse-moi ôter les clous de ta croix avec mes dents et me flageller avec ta couronne d'épines" (bon d'accord je ne me souviens plus tout à fait du titre...) de Dietrich Buxtehude. Mon cerveau de benêt et mon oreille musicale boétienne m'ont donné l'impression que j'avais écouté  deux fois de suite la même chose quasiment, et bien pas du tout, la dame qui a pris la parole pour les comparer m'a démontré par a+a' (a+b eut été trop simple) que j'avais tout faux...
Au milieu de la troisième version, dommage, j'étais arrivé!

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