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lieux communs (et autres fadaises)

6 juin 2012

tu sais, celui... 68

 

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(encore un "vieux" film...)

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une autre image... :

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allez, deux! :

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5 juin 2012

tu sais, celui... 67

 

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4 juin 2012

tu sais, celui... 66

 

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3 juin 2012

tlès tlès vite

LE POLICIER
de Nadav Lapid

C'est le nom du réalisateur qui m'a rappelé cette vieille blague idiote de potache, et fourni par la même occasion le titre de ce post. Dès que j'entends "israélien", j'y cours. Rien que pour les entendre parler, j'en ai déjà parlé. Là, j'avoue, j'ai eu un peu de mal pendant la projection, j'ai été mal à l'aise plusieurs fois (en me disant "Non là c'est vraiment trop, il ne va pas faire ça..." et si, il le faisait), et je me rappelle l'avoir qualifié (le film) plusieurs fois, pendant ladite projection, de "déplaisant". Maladresses formelles ou volonté de déstabiliser le spectateur, toujours est-il que ça fonctionne (des scènes qui durent ou trop longtemps ou pas assez, des plans qui durent et nous font attendre une chute qui ne vient pas...) Film en deux parties, qui se rejoignent à la fin -dans la troisième !- (en trois parties donc, hihi).
Un : on suit le quotidien d'un beau macho qui fait partie d'une unité d'intervention (un groupe de super-flics, quoi), dans son boulot, et dans sa vie privée. Sa femme est enceinte, il lui masse les cuisses sur le canapé en regrettant (avec ses super-potes), de "ne plus pouvoir la baiser". Avec les super-potes, justement, c'est entraînement à vélo, barbeuqu' parties, bières en terrasse, tout ça en débardeur qui laisse voir les gros muscles, et à grand renfort de claques viriles qui sont comme surlignées dans la bande-son, renforçant la lecture homo-érotique et le côté "pages centrales de magazine gay". (ça tourne -sonorement- à l'entrechoquement d'escalopes).
Deux : on passe, (après une scène-charnière de cassage de bagnole par un goupe de punks) à une demoiselle blondinette et diaphane (genre Julie Delpy dans ses premiers rôles) qui fait partie d'un groupuscule "terroriste " (des gosses de riches qui se mettent à prôner la révolution) qui prépare un mauvais coup, et va d'ailleurs le mettre à exécution. Flingues, otages, revendications, porte-voix... Hstoires de famille et d'affection(s) diverses (un mariage, un père et son fils, A qui aime B qui aime C qui n'aime personne etc.). Des djeunz fragiles, tout freluquets, à la physionomie rimbaldienne (le genre os de poulet) et probalement aux chimères idem. (Le romantisme de la révolte).
Trois : Huis-clos ; c'est là qu'intervient l'unité d'intervention du un et que tout ça s'agence, tergiverse, puis se précipite pour finir (mal, on le pressent). C'est peut-être la partie la plus intéressante. parce qu'à la fois la plus prévisible et la mieux traitée... Le montage, cette fois, alterne les scènes des uns et des autres, jusqu'à l'assaut final (filmé dans le noir), et les quelques minutes qui suivent. Qui permettent au spectateur (moi, en l'occurence) de réhabiliter en quelque sorte tout ce qu'il vient de voir... Le conformisme des uns (on est soldat, on s'exécute, on exécute) faisant écho au nihilisme des autres (à quoi bon tout ça, finalement ?).

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3 juin 2012

tu sais, celui... 65

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allez on vous met une seconde image :

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2 juin 2012

à table!

APART TOGETHER
de Wang Quan'an

Joli film chinois vu il ya quelques temps déjà et que j'avais omis de chroniquer... Une histoire de famille déconstruite / reconstruite (ou comment un homme obligé de fuir loin de sa femme enceinte retourne la voir 50 ans plus tard, et, évidemment, elle a entre temps fondé sa propre famille...
Que faire ?
L'emmener, et rompre ce qui a été créé avec l'illusion de rebâtir ce qui avait été cinquante ans plus tôt, ou bien ne rien changer, avec la tristesse de voir se désagréger les projets fous qu'on avait échafaudés ? Réunion(s) de famille(s), donc, argumentations, discussions, explications, cris(et un peu de chuchotements, aussi). Mais qui dit famille + film asiatique dit scènes de repas interminables et salivantes... en sortant de là, on n'a qu'une envie c'est d'aller se taper un chinois (le restaurant, je veux dire, bien sûr!) 
Un film très plaisant, à l'image de la cuisine qui y est longuement montrée : simple mais savoureux, épicé mais pas trop, parfumé, quatre-épices, cinq-parfums, délices de Bouddha et j'en passe...
Miam miam!

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2 juin 2012

tu sais, celui... 64

 

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1 juin 2012

tu sais, celui... 63

 

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31 mai 2012

tu sais, celui... 62

 

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30 mai 2012

tu sais, celui... 61

 

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