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lieux communs (et autres fadaises)

12 avril 2012

tu sais, celui... 14

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un film sublimissime dans sa simplicité

11 avril 2012

tu sais, celui... 13

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deux images d'un film plastiquement sublime
(bien que certains détails en aient peur-être un peu vieilli...)
qui à ma connaissance n'existe pas en dvd (french edition)

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11 avril 2012

tu sais, celui... 12

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attention, piège ! (hihihi)

10 avril 2012

le vent l'emportera

TERRAFERMA
d'Emanuele Crialese

Une bonne surprise. J'ai failli renoncer à  la séance de 18h15 tellement ça bouchonnait dans les allées du bôô cinéma (qui a le schéma de circulation le plus imbécile, reconnaissons-le, qu'un parking ait jamais eu). Le sujet non plus ne m'attirait pas follement, et pourtant quelque chose m'a poussé à me jeter à l'eau. C'est le cas de le dire. D'eau, il en sera énormément question (le film se passe sur l'île de Lampedusa) et c 'est plutôt bien venu car le réalisateur la filme excellemment (en plus, avec l'écran de 15 mètres et au quatrième rang depuis le haut, je me sentais vraiment immergé -hihi- au coeur de l'action). Oui, Crialese filme superbement la mer : avec respect, avec adimiration, (avec naïveté diront certains- et ce regard porte le film.
Autour du portrait d'un adolescent, Filippo, qui jouait déjà un personnage avec le même prénom dans le précédent Respiro du même réalisateur, que j'avoue ne pas avoir vu  (l'acteur qui l'incarne est aussi superbement filmé que la mer environnante), on suit le quotidien des pêcheurs (et d'une famille, particulièrement) de cette île "qui ne figure pas sur la mappemonde", qui vivotent toute l'année, exceptés les deux mois d'été où ils se font envahir par les touristes, débarquant du bac comme en terre conquise. Mais voilà qu'ils sont aussi en butte à une autre forme de "tourisme" : les clandestins venus d'Afrique qui débarquent régulièrement (et nocturnement) sur les plages de leur petite île.
Ca commence comme dans un Taviani des origines : hommes rudes, cadre de vie rude, métiers rudes, moeurs rudes. Poils durs et caractères de cochon. Ca continue comme un Costa-Gavras de la grande époque aussi, (les rapports à la loi, à l'ordre, à la conscience, à l'humanité) avec ce que cela suppose de révolte, de manichéisme et aussi de candeur (les flics sont vraiment de très méchants salopards, avec un commandant qui évoque le méchant commandant de la série Zorro, par exemple, je caricature à peine , les touristes sont nunuches et/ou écervelés, les clandestins dignes et sentencieux...)
Mais on ne peut qu'être sensible à tout ça, l'attitude humaine du grand-père (le code de la mer), les sentiments mélangés de la mère (le respect de la loi), l'inconscience du frère (le rapport à l'argent, oui, tout ça est assez tranché...), et le trouble généré par la prise de conscience qui se cristallise au coeur du jeune Filippo.
Le réalisateur peut être aussi lyrique  quand il évoque la mer ou les insulaires que  maladroit et parfois brouillon quand il parle du reste. D'où attention flottante, comme ces plans subjectifs filmés depuis les bateaux, avec l'horizon qui monte et qui descend. Mais  il a l'extrême intelligence de finir avec un plan superbe, qui ne fait que dire clairement (et graphiquement) " il n'y a pas d'issue, c'est sans solution...", ce en quoi il n'a pas entièrement tort, dans l'état actuel des choses...

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10 avril 2012

tu sais, celui... 11

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Un bouquin (américain) que j'avais adoré, pour une adaptation ciné que j'adore quasiment autant (exceptée une scène à la fin que je n'aime pas trop, et Pépin non plus d'ailleurs me semble-t-il...)

allez, une deuxième image :

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9 avril 2012

tu sais, celui... 10

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(allez, c'est fête, je vous donne deux images, quasi consécutives,  de ce film français,
peut-être un peu oublié, mais que j'aime beaucoup...)

8 avril 2012

tu sais, celui... 9

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un film que j'aime encore un peu plus à chaque fois que je le vois...

8 avril 2012

estivants

UN MONDE SANS FEMMES
de Guillaume Brac

Hier, tout à mon énervement, je n'ai pas pu dire combien ce film (enfin, ces deux-tiers de) m'a encore plus plu que la première fois que je l'ai vu. Tout est juste (les professionnels et les non-acteurs). Vincent Macaigne est bouleversant, d'une finesse de jeu bouleversante (comment, juste avec une main, un regard en-dessous, un sourire, un silence, il parvient à exprimer toute une gamme de sentiments et d'émotions). Ce mec, il nous fait une bluffante démonstration de dentelle émotionnelle... Du grand art!
Et les autres sont excellent(e)s aussi (la fille et la mère). "Au diapason".
Une histoire simple, comme la vie... station balnéaire, jeux de plage, pêche aux crevettes, jeux de société, boîte de nuit (je réalise, que, dans les films, j'adore très souvent les scènes de boîtes de nuit...) Jeu de dupes, élans, hésitations, soupirs...
Finalement, on ne serait pas si loin de Tchekhov, hein ?

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(et je réalise que ce n'est pas vraiment pour Vincent Macaigne que je craque -comme le sucre sur les fraises- , mais bel et bien pour le personnage de Sylvain...)

7 avril 2012

pas à vesoul

UN MONDE SANS FEMMES
de Guillaume Brac

Je sors de la salle et je suis furax. Rien à voir avec le film. Si vous voulez le voir, ne venez pas ici, dans le bôô cinéma, à vesoul, parce que vous ne verriez que les deux-tiers du programme annoncé. je m'explique. Guillaume brac a réalisé un film d'une cinquantaine de minutes intitulé UN MONDE SANS FEMMES. la durée ne permettant pas de l'exploiter tel quel, il la eu la bonne idée de lui adjoindre un court-métrage de 27 minutes, intitulé LE NAUFRAGE, tourné au même endroit avec le même personnage principal (joué par Vincent Macaigne), pour en faire un "film" de 1h23 (d'une durée donc tout à fait décente) intitulé UN MONDE SANS FEMMES, comme le plus long des deux. Sauf qu'ici, à Vesoul, on ne nous a passé que celui de 50', au plein tarif bien entendu.

Lorsque, en début de projection,  je suis allé expliquer qu'il y avait une "première partie partie de programme", il m'a d'abord été répondu que "non non, il n'y avait rien d'autre, mais qu'on allait voir..." puis, quand je suis allé réitérer ma demande, à la fin, on m'a répondu que "oui oui il y avait bien un autre film, et que le projectionniste allait le lancer..." Je reviens donc dans la salle pour annoncer aux spectateurs, étonnés et interrogatifs,  que la première partie allait, finalement,  nous être projetée en deuxième partie (mais bon, c'était mieux que rien)...

Et c'est alors qu'a (re)démarré ... Un monde dans femmes (de 50'), celui qu'on venait de voir... On est re-sorti (enfin, je) pour expliquer la situation, et il m'a été dit que "effectivement il y avaitbien  deux fichiers "un monde sans femmes 50" et "un monde sans femmes 20..."", mais le petit projectionniste est venu dans la salle pour nous expliquer que, bien qu'ayant des noms différents, les fichiers étaient les mêmes (c'est donc une erreur de la maison de distribution quand elle a envoyé le(s) fichier(s)...
Tout le monde a donc été renvoyé sans autre forme de procès, ni de remerciement, ni de dédommagement d'aucune sorte, et la discussion a tourné court lorsqu'il nous a été assené que le film avait été annoncé avec une durée de 58', et que seule l'association de cinéphiles qui avait choisi de projeter ce film savait qu'il y avait un court-métrage en première partie (ce qui était l'exact contraire de ce qu'on venait de dire, puisque l'existence de deux fichiers avait été auparavant admise et reconnue...)
Non, il n'y aurait pas d'occasion de voir Le naufragé (la fameuse première partie), non, il n'y avait pas dé geste commercial à faire...
L'erreur est humaine, mais la mauvaise foi est insupportable.

un monde sans femmes

6 avril 2012

tu sais celui... 9

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La chose posée au fond est un téléviseur...

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