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lieux communs (et autres fadaises)
18 juin 2007

vide/plein

A midi j'ai du descendre en ville pour bouffer car la caf' du Resto U était fermée toute la semaine pour nettoyage. Ayant réussi à me garer, je suis parti vers le restau où j'avais envie de manger, non sans en profiter au passage pour mater quelques ouvriers torse-nu en majesté solaire (mais quand on passe tout près, on peut juste les regarder.Je crois que si à ce moment-là je sortais l'appareil juste sous leur nez pour les prendre en photo, ils se rueraient sur moi pour me rentrer dans le bitume à coups de pelles mais bon je m'écarte de mon sujet initial)
J'arrive au restau prévu : fermé. Le suivant (solution de repli) idem, et le troisième pareil, je pense alors me rabattre sur une crêperie où j'allais manger quand j'étais plus jeune, et ce faisant je passe devant un bar que j'aime bien, qui fait restauration à toute heure (plat du jour saucisse de toulouse purée miam, c'est mon côté enfant qui ressort!) mais qui est parfaitement vide, juste à côté d'un restau de patates, qui est plein archi plein, et quand j'arrive à la crêperie : closed, bien entendu!
Je reviens sur mes pas, et je rentre dans le troquet vide, où la patronne est debout solitaire au comptoir, face aux tables vides. Pourtant j'aime vraiment cet endroit, il y a tous les journaux du jour à disposition, derrière les tables sur une étagère des bouquins variés sont à disposition, au-dessus du bar un calendrier de rugbymen tout nus d'une équipe du coin (je le connais, j'ai le même) et en plus c'est calme. Je commande le plat du jour, avec un petit verre de gaillac.
Et je philosophe sur l'existence côte à côte de ces deux établissement, un vide et l'autre plein. Et je n'en tire aucune conclusion. Juste, je m'interroge...
(ah que voilà un billet propre à l'endormissement.... zzz)

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17 juin 2007

perplexe...

Qu'est c'que j'peux faire ? Chais pas quoi faire...

(d'un après-midi un peu mou)


Je ne peux pas aller voter, puisqu'il n'y a pas -ici- de deuxième tour. (No comment)

Ni lire mes mails, puisqu'il n'y en a pas/plus. Je devais recevoir un mail en réponse à un autre mail envoyé mais bon l'expéditeur en question promet souvent et tient peu, et j'ai bien envie de juste lui écrire " Point ne fais de promesses que tu ne puisses tenir", ce qui a un petit côté biblico-sentencieux pas dégueu en ce dimanche aprèm'

Hmmm je pourrais faire un café, ça c'est une idée, juste histoire de provoquer l'effet-sieste estival (vous savez bien, vous être en train de finir de le boire et vous sentez soudain qu'il faut impérativement que vous alliez vous allonger, et vous le faîtes, d'ailleurs)

Je pourrais aussi mettre tout de suite à la poubelle ce kilo de salade de fruits (pastèque+pêche+orange) qui me reste sur les bras, que j'ai passé une plombe à préparer ce matin et dont je sais que je ne remangerai pas

Je pourrais aussi continuer Le script, de Rick Moody (600 pages et un certain poids) commencé dans le train Paris-Ici, et depuis transporté chaque jour dans mon sac pieusement pour le continuer, sans que j'ai toutefois l'occasion d'en lire plus que quelques lignes chaque fois que je l'empoigne

Ou bien continuer à fouiner dans le dictionnaire pour y lister des verbes (pour une éventuelle deuxième série de cartes postales) mais je dois avouer qu' à part "fumer dope" je suis pour l'instant un peu sec

Hmmm il faudrait aussi que je me coupe les ongles des orteils (mais pour ça il faut auparavant que je fasse couler un bain dans lequel je pourrais m'alanguir pour ramollir desdits orteils la corne (mais dans ce cas il faudrait que je trouve auparavant une activité salissante qui justifie ladite marinade obaesque ou laitd'ânesque, à quoi bon donc se laver si l'on n'est pas sale ?) mais est-ce vraiment judicieux ?)

Ou bien aller au cinéma ? Non non, (soupir affolé) rien à voir ou plutôt rien qui donne envie d'y aller voir... Y a des jours comme ça, hein

Tiens, je pourrais pleurer un peu en allant voir mes stats, puis le nombre de commentaires sur les blogs des copains/copines (que je suis déjà allé lire ce matin), mais qui ont eux, il est vrai, des choes infiniment plus passionnantes à raconter, pour mériter ces nombres à deux chiffres (C'est trop inzuste ! Z'ai envie de mourir! Ze suis le Caliméro des blogs!)

Et me dire (pour en rajouter une louche et continuer à pleurer) qu'il me reste quinze (oui 15!) jours de bozarts (enfin, sur le papier, vu qu'il y a de moins en moins de gens, au fur et à mesure que se passent les diplômes...) et voilà que je voudrais me réveiller pour faire des choses mais comme d'hab' il est trop tard!

Tiens finalement je vais aller regarder un peu ce qui se passe dans le monde à la télé et me vautrer sur le ca'pé moi ça va me changer les idées...

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(a posteriori : il est à présent 23h10, et je me dis que cette image était peut-être prémonitoire -hi hi hi ! (rire bête)- TOUT N'EST PAS SI BLEU QUE CA, finalement! Et il ya un ministre qui va devoir faire ses valises... Comme disait très sérieusement un UMP sur France-Inter à 22h : "C'est une grande perte pour l'écologie..." No comment.)

10 juin 2007

pharmacie

Dimanche, FR3, 20h et quelques... Comme on le craignait, c'est pile poil le grand bleu... J'ai coupé la télé. C'est maintenant qu'on va vraiment commencer à rire, maintenant qu'ils vont bien se lâcher grave à donf puisqu'ils l'ont cette confirmation, cette légitimité qu'ils réclamaient et que leur ont conféré  les veaux fumiers gros cons de droite électeurs dans leur majorité.
Oui, je vous conseille donc, à toutes fins utiles,  de vous préparer rapidos (pour les ceusses indisposés, bien sûr) un genre de pharmacie de base, sans forcément savoir tout de suite ce qui va être le plus utile :

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and... last but not least :

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3 juin 2007

so happy birthday

Hmmm un peu de vraie vie. Simplement. Samedi après-midi j'avais rendez-vous à la campagne pour fêter de façon quasiment plus ou moins improvisée l'anniversaire d'un ami. Cinquante ans, et oui, chacun son tour... En tout petit comité. Soirée comme j'aime, soirée simple soirée délicieuse. On a bu (un peu) on a déliré (aussi) et on a ri (beaucoup)... Bref, vraiment juste une  soirée qui reste, des moments précieux, précis, suspendus.

Les amis proches, en petit comité, la "garde rapprochée". Un verre dehors (au soleil, au début, presque trop) en attendant que tout le monde soit arrivé, puis un apéro mexicain dans le troquet du village. (J'ai bu un "ruso blanco" : vodka, liqueur de café et lait). Apéro qui commence en terrasse sous un parasol et qui (la deuxième tournée) se continue précipitamment à l'intérieur du troquet, pour cause de soudain et violent orage (oui, oui, comme dans un film de Sautet)

Après on est revenus à la petite maison, on a mangé des chips, on a essuyé les chaises en plastique trempées et mis une nappe sur la table en plastoche moche aussi, toujours comme dans un film de Sautet. On avait ramené des pizzas, et on les a mangées, l'orage soudain avait été fini, et le ciel re-était bleu. On a parlé de choses et d'autres, des souvenirs et des inquiétudes, des phrases définitives et des sottises, toutes choses à partager, et on riait beaucoup (j'aime ce genre de repas désinvolte avec beaucoup de bêtises dites).

La nuit tombait doucement, la fraîcheur aussi, mais plus insidieusement. Les enfants sautaient et gambadaient comme de joyeux moustiques, infatiguables, insensibles au froid en apprence. Chacun s'est rhabillé, on a fini, qui en gilet qui en polaire, pour un dessert tout simple de fraises du jardin à tremper dans le sucre et dans la chantilly maison, chantilly qui donna au maître de maison l'idée de proposer un café, dans lequel ladite crème ferait en principe merveille (ce qui fut bien le cas.)

J'aime ces soirées-là, je le répète. en repartant, dans ma voiture je me sentais l'esprit léger, serein, plus en tout cas que mon ventre qui était un peu dans le flou (un truc qui passait pas,  peut-être le cactus sur la pizza ? mais c'est finalement assez vite passé, justement...) Même pas vu de gendarmos en rentrant, juste des bans de brume de chaleur dérivant sur la route, tout était par-fait, je vous dis...

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31 mai 2007

petit jeu

Mon amie Elisabeth m'a offert ceci (en avance) pour mon anniversaire :

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Notre grand jeu-concours de la semaine :
Devinez donc ce que c'est (ou bien à quoi ça sert, c'est la même chose)
Jeu gratuit et sans obligation d'achat, ouvert à tous, sauf aux familles Ducos, Mélac, Cachot, Ruffalo, Garrel...

A la demande de Deloin, voici une photo à l'échelle, avec une pièce de 1€ pour comparer : comme quoi la théorie "décorative" ne tient pas!

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Et voilà la soluce (c'est Snivel qui a trouvé!)

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(c'est mimi, non ?)

28 mai 2007

ou bien... / ou bien...

Ah la la quelle rigolade que ce fameux lundi de pentecôtelette (d'agneau) : alors, travaille-t-y-t-on ou bien travaille-t-y-t-on pas ? En gros, une chance sur deux, quoi (ou bien on travaille ou bien on ne travaille pas) mais non les statistiques sont plus compliquées puisqu'on annonçait à la radio à peu près 40% de gens qui travaillent.
A défaut d'alternance, ce lundi est celui de l'alternative : le fameux "ou bien / ou bien"
Ce matin, par exemple : ou bien me la jouer frivole et irresponsable ou bien aller travailler ? J'ai transigé :  inaction baillative aux corneilles le matin et je vais aux bozarts l'après-midi (parce que j'ai des trucs à massicoter chez Pierre.)
Arrivé là-bas, sur le parking trois voitures qui se battent en duel (pourtant on a écrit au tableau que les cours étaient assurés) ou bien mais les transports en commun ne le sont pas. Les z'étudiants sont donc restés au chaud dans leur lit.
Ou bien l'imprimerie est ouverte ou bien pas. Je descend. Et bien c'est pas. Je reste comme un con avec mon carton à dessin sous le bras. Qu'à cela ne tienne je vais descendre en ville pour aller au cinéma, histoire de ne pas avoir fait 50 bornes en vain. Tiens je pourrais même aller revoir Les chansons d'amour, j'ai envie (ou bien autre chose ?). Il est 15h15.
Ou bien il y a une séance qui va démarrer à 16h, ou bien pas. Je prends le programme du cinoche : il y avait une séance à 13h50 et la prochaine est à 18h. Raté. Non je n'irai pas voir autre chose...
Je profite que je suis en ville pour pousser jusqu'à ma librairie chérie des Sandales pour trouver des cadeaux d'anniversaire pour Z. et P. Ou bien ils sont ouverts ou bien non. (Je commence à rire jaune).
Je le sentais. Sur la porte c'est bien précisé qu'ils sont ouverts le lundi après-midi de 14h à 18h (on est pourtant pile poil dans le créneau) mais à l'intérieur c'est tout noir fermé closed. Tant pis!
En repartant à la voiture j'avise une autre librairie qui, elle, est ouverte, mais où je passe un grand moment en vain (ou bien je trouve ces cadeux ou bien pas, mais d'abord, qu'est ce que je cherche exactement ?)
Je repars vers le parking payant où j'ai garé mon véhicule : ou bien c'est le tarif habituel, et je vais raquer grave ma race, ou bien c'est le tarif dimanche et jours férié qui sera appliqué avec mansuétude, et ça ne me coûtera qu'un seul et unique euro. Bingo! c'est dimanche! c'est férié! c'est solidarité! alleluïa! c'est miracle! un eurooooooooo!
En repartant, (ou bien j'ai le feu vert ou bien... mais non c'est tous au rouge  rouge rouge que je les ai) je me dis que je vais passer devant le magasin qui vend des madeleines, j'ai justement un petit creux (pas trop mangé à midi) et je bave en pensant aux madeleines (ou bien au chocolat ou bien nature? non non, là, je prendrai les deux!) dont je vais m'empiffrer : ou bien ils sont ouverts, ou bien pas. Et plaf! remballe tes gaules, le rideau de fer est tiré.

Donc il semblerait que tout ce qu'on aimerait qui soit ouvert ne l'est hélas pas, et vice-versa.

Pour vérifier mon hypothèse, je fais le tour du bâtiment, derrière, il y a une F*irf*uille où je n'ai aucun besoin d'aller, et qui donc logiquement devrait donc être ouverte, puisque ça ne m'intéresse pas. Ou bien c'est fermé et je perds la face (et la justesse de mon raisonnement) ou bien c'est ouvert et... Gagné! non seulement c'est ouvert, mais il semblerait que des centaines de quidams ont eu la même idée que moi... J'entre quand même (soyons beau joueur) j'achète du papier photo pour imprimante (ou bien 180g ou bien 230g ? ahah tu sais très bien que le 230g il reste coincé dans l'imprimante : ici donc, pas d'alternative) et une tablette de chocolat (hmmm là par contre : praliné ou lait-céréales ? là j'ai hésité et j'avais raison. Quand on a faim, lait-céréales c'est mieux (sans se demander si les céréales sont ou bien transgéniques ou bien pas. Ventre affamé...)
Et je rentre à la maison tranquillement (moult appels de phares pour signaler des gendarmes z'embusqués - ou bien pour les excès de vitesse réprimander ou bien pour offrir aux conducteurs respectueux des couronnes de pâquerettes qu'ils auront eux-même -les gendarmes, ou bien les conducteurs, vous suivez ? - tressés de leurs petits doigts dans les sous bois) me demandant ou bien si je m'arrête pour photographier les coquelicots ou bien si je verrai ça demain... oui, oui, demain, c'est mieux, finalement)
Evidemment, sur le dernier parking où je m'arrête (pour faire pipi), il y a justement un gendarme solitaire, penché derrière ses saloperies de jumelles  qui disent quand on va trop vite : ou bien je le prends en photo ou bien non ? allez, soyons fous, j'ose, ça finira grandiosement la journée!

25 mai 2007

poste it

(les aventures de Chori à la Poste, suite et fin)

Je suis retourné ce matin à la Poste de mon quartier (pour expédier un dvd et rendre compte à la dame du guichet de mon expédition d'hier). Elle m'attendait avec le sourire, et m'a dit "je ne sais pas si c'est une coïncidence, mais j'ai reçu ce matin un papier me précisant les choses par écrit, je vous en ai fait une copie..."
Voilà, j'ai donc servi à quelque chose ici-bas, quelle émotion mon dieuch! pour ceux que ça intéresse (cf Sniv') je vous mets le document en pièce jointe ( résultat des courses : on ne peut plus rien envoyer en lettre, sauf du papier -et encore pas relié!- tout le reste ce sont des marchandises, et donc avec un affranchissement supérieur de 150% minimum... Je suis sûr que c'est encore un coup de l'U*M*P)

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25 mai 2007

poste (et rieur)

Ubuesque ? Kafkaïen ?
j'avais hier soir dans ma boîte un avis m'informant que j'avais reçu une lettre taxée et que je devais par conséquent blabla demain bureau de poste blalblabla.
Ce matin donc je vais au bureau de poste de mon quartier (l'habituel, quoi, la poste de proximité) pour récupérer la lettre en question. La postière a l'air aussi surprise que moi lorsqu'elle revient avec une enveloppe bulle contenant un DVD, affranchi, comme d'hab à 2,11€, sur laquelle une main rageuse a écrit "ce n'est pas du courrier" (rageuse, car le paraphe qui souligne cette constation se termine par un trou dans le papier) accompagné d'un grand T, et pour laquelle je dois acquitter 3,85€ de taxe.
Je paye, mais interroge la préposée sur ce qu'est donc une "lettre", quelle est la définition exacte du mot "documents", et à qui peux-je faire appel pour me plaindre. Elle m'envoie à la poste principale (au centre-ville) mais "pas au guichets, allez derrière au centre de tri et demandez un responsable, et surtout ramenez-moi sa réponse par écrit, qu'on puisse savoir à quoi s'en tenir..."
Au centre de tri, après un certain temps d'attente, je vois passer un monsieur, à qui j'expose mon cas, il tient la fameuse enveloppe contenant le fameux DVD, avec la fameuse taxe, a l'air aussi perplexe que la postière, me dit "pour moi, c'est une lettre..." et l'emporte pour la montrer à un responsable. Au bout d'un certain temps, je le vois revenir avec une responsable, qui me répond assez sèchement qu'un DVD est une marchandise, comme un CD ou un bouquin, et que donc on ne peut les envoyer par lettre (à 2,11€) mais en paquets, dans les emballages prévus à cet effet (à 5€ minimum).
Pour que ce soit un "document" faut que ce soit du papier imprimé, mais un livre n'est pas un document  (le critère semble être "si on peut plier l'enveloppe en deux", bonjour les dégats) J'explique que ça fait longtemps que j'envoie des CD, DVD, livres, au tarif lettre et que c'est la première fois que j'entends parler de taxe. A-t- on changé le règlement ? Auraient-ils reçu de nouvelles directives ? Que nenni répond la responsable, péremptoire, ça a toujours été comme ça, et puis d'ailleurs ici c'est l'accueil pro, et elle est assez bonne de bien vouloir me recevoir pour répondre à mes conneries interrogations et que d'abord c'est aux guichets de l'agence commerciale que j'aurais dû m'adresser.
Très calme et souriant je lui souhaite une bonne journée et, décidant d'en avoir le coeur net, je vais me présenter aux guichets qu'elle m'a évoqués. Je parle avec une gentille dame, je lui montre mon enveloppe, la taxe, lui demande si elle en saurait plus, si c'est écrit quelque part, noir sur blanc, ce qu'on peut envoyer, dans quoi et à quel prix. Son oeil se dilate un peu d'inquiétude, elle ne sait pas trop, elle en parle à une première collègue, puis à un second, chacun expose son avis, ils ne sont pas d'accord, ils me disent qu'ils vont chercher une responsable (je n'ai pas très envie d'avoir à nouveau affaire à la dame du Tri) non non me rassurent-ils, c'est leur responsable à eux qu'ils vont chercher, qui revient avec mon enveloppe et un air perplexe (elle en aura fait des mains cette enveloppe!). Elle est beaucoup plus aimable (et beaucoup moins stressée), que la précédente, et plus perplexe aussi : elle pensait que... les dvd les bouquins et les cd étaient considérés comme des documents... mais peut-être que... finalement...
Arrive un autre responsable (je ne sais pas quel est son grade) qui prend l'affaire -une fois réexpliquée- en main et finit par appeler un "haut-responsable" qui semble que dire que oui... jusqu'ici... il y avait des tolérances... laxisme... et que dorénavant... contrôles... employés zélés... nicht envoyer forbidden prohibido... police menottes prison amende taxe... maintenant tout va changer et les choses vont être reprises en main (j'essaie de donner un sous-texte politique à cette affaire et aux "changements" y afférant, mais tout le monde n'y voit que du feu...) la responsable est désolée de ne pas pouvoir me rembourser, je lui dis que ce n'est pas une histoire de fric, c'est juste histoire de savoir.
Mais personne ne sait vraiment... Résumons donc : dorénavant n'envoyer au tarif lettre que des enveloppes avec des trucs en papier dedans (mais sauf des livres!) pour le reste, les "marchandises" donc, utiliser soit "les "prêt à poster" de la poste (à partir de 5€...) ou le tarif "marchandises" (idem que précédemment, à partir de 5€, grosso modo) Et il semblerait qu'un texte existe à ce sujet et soit prochainement envoyé aux gens concernés. Bonne nouvelle!
J'en profite pour acheter des jolis timbres, histoire de justifier le fait d'avoir passé plus d'une heure là.
Oui, bougez avec la poste!

enveloppe

16 mai 2007

Merci merci merci

Yes, Y a des jours comme ça...

Merci à Pierre, typographe aux bozarts de son état : le livre partir en fumée est achevé d'imprimer ! (reste plus qu'à tout mettre en forme)

Merci à Lewis Trondheim, d'avoir, dès le 6 mai au soir à 20h01, redémarré un blog dans le style du blog de Frantico, qui raconte les aventures de "Nico Shark, votre nouveau délégué du personnel pour 5 ans" (voyez , mais j'ai mis le lien aussi dans mon blogroll)

Merci à Libé : aujourd'hui j'avais dans ma boîte aux lettres le double dvd de Perec, gracieusement gagné par leur intermédiaire

Merci à Blonde Redhead de toujours me plaire autant et de continuer à tourner solo sur ma platine

Merci à Pépin, Kitty, et Malou de m'avoir laissé des commentaires : je commençais à me sentir vraiment seul!

Merci à David Fincher d'avoir réalisé Zodiac : je vais le voir ce soir!*

*rectificatif (deux heures après) :
"Avant d'annoncer que tu vas voir un film , vérifie donc la programmation" (Lao-tseu). Car Zodiac ne sort pas le mercredi 16, mais le jeudi 17, sombre crétin (je)! J'ai donc vu à la place LA FAILLE , une bonne daubasse ricaine genre "polar / procès / mais comment il a fait ? / je suis plus malin que toi" sur laquelle je ne reviendrai pas (le petit blondinet dont le nom m'échappe est plutôt mimi, toutefois...)

12 mai 2007

en vrac

Ben oui, ça fait un certain temps que j'ai pas fadaisé...
Je rentre du théâtre, avec mon amie Christine, dans son bahut où les djeunz présentaient leur création de l'année, un montage de textes, en rapport avec les péchés capitaux, pas mal du tout.
J'ai fermé les portes et suis tout au fond de l'appart' parce que le petit voisin fait une teuf pour son anni (il doit avoir 20 ans...) avec ses potes. "Ca sent la transpiration..." a constaté Christine en souriant et en arrivant sur le palier, et ça m'a fait sourire aussi d'imaginer toute celle belle jeunesse échauffée bruyante et transpirante (tss).
Je voulais vous parler de chocolat mais je n'ai pas le courage de recopier l'article juste maintenant.
Et aussi vous recopier un extrait de la préface que Gus Van Sant a signée pour Mala Noche (le roman dont il a tiré son premier film, du même nom), texte qui parle de l'amour non partagé. Pas le courage non plus. Comme vous pouvez le constater, jeunesse bruyante, chocolet, amour non partagé, "on" n'a pas beaucoup progressé...

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Oui, je ferais peut-être mieux de retourner au cinéma, au moins ça m'occupe et - d'une pierre deux coups - après je sais de quoi parler ici.
Ca évite de remuer la vase, suite à ce genre de ressac mental dont je suis assez coutumier, comme une soudaine remontée de bile lors d'une digestion un peu difficile. Ca évite de regarder sa vie dans le blanc des yeux... Hmmm vais aller me coucher moi vaudra mieux.

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