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lieux communs (et autres fadaises)

14 septembre 2012

tu sais, celui... 89

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13 septembre 2012

micro108

*

Le bourrin qui vient d'entrer torse-poil dans la boulangerie
avait pris soin, auparavant, de laisser sa voiture, moteur allumé,
arrêtée en merde avec sa remorque devant la porte du magasin,
bloquant ainsi l'entrée du parking

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dans un film, quand le personnage sniffe de la coke, en vrai, il sniffe quoi ?

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jardinage : quand je suis de mauvaise humeur, je prends le sécateur...

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 passent des adolescents, trimbalant des bouteilles dont le contenu rouge et mousseux
évoque davantage le liquide-vaisselle que la boisson

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j'ai horreur de réclamer, et je le fais rarement, d'ailleurs

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passé mon mercredi après-midi à faire des allers-retours entre la Maison des Assoc' et l'imprimerie

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"tu ferais mieux de réfléchir, au lieu de copier bêtement!"

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 "te hago una turca, un turco, y los turquitos!"
(sur un chat)

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 phrases idiotes en apparence :
le matin, il fait de nouveau nuit

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les derniers jours des roses trémières

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pèse-personne facétieux :
en me douchant, j'ai perdu 500g!

*

pomme et aspérule

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 le rosier, comme adossé au mur

*

 

13 septembre 2012

tu sais, celui... 88

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désolé pour la qualité de l'iimage, mais c'est vraiment celle que je voulais mettre d'abord... avec n'importe quelle autre, vous allez trouver immédiatement !

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12 septembre 2012

LA PISCINE

 LA PISCINE

12 septembre 2012

tu sais, celui... 87

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 *

une deuxième, donc (celle-ci est jahovilable) :

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*

12 septembre 2012

"c'est spéciâââl..."

LAURENCE, ANYWAYS
de Xavier Dolan

Il y a ceux qui s'écoutent parler, Xaveir Dolan, lui, est du genre de ceux qui se regardent filmer. Ce jeune homme est extrêmement doué, il le sait (et n'en doute pas une seconde) et nous en fait profiter, certes, mais sans aucun sens de la retenue voire de l'économie : deux heures quarante c'est long (surtout vers la fin, dirait Woody Allen), et le film eut été aussi intense, voire encore plus efficace, avec, disons, une heure de moins.
D'autant plus que, si la première partie est vraiment réussie, la deuxième moitié du film ne fonctionne que sur la répétition d'un même schéma (on se sépare / on se retrouve / on se re-sépare / on se re-retrouve / on se re-re... etc.) répétition qui n'apporte rien de nouveau à la narration, nous faisant au contraire ressentir, malgré les mouvements de caméra aux petits oignons, les éclairages chiadés et les cadrages raffinés un désagréable sentiment de surplace. (ah! le fameux "ni avec toi ni sans toi")
La situation est quand même dès le début voué à l'échec : lui voulant assumer la femme qui est en lui, mais une femme qui aime les femmes (il veut être lesbienne, quoi!), tandis qu'elle a besoin d'un homme : comment voulez-vous que ces deux-là réussissent à s'entendre ?
Il ya un truc qui est super efficace chez Dolan, c'est la musique, ou plutôt l'utilisation de la musique. Alors que dans la majorité des films la musique est un élément qui arrive après, qui accompagne, qui s'intègre au reste, il semblerait qu'ici ce soit l'inverse, que  la musique soit l'élément important, préexistant, et que ce soit alors le reste de la scène qui vienne s'assujettir à elle. Souvent, ça fonctionne je dirais presque trop bien (je pense à l'extraordinaire première scène du film, un travelling en caméra subjective sur toute une série de visages de mecs en regard-caméra, sur une musique qui justement "porte" et transcende la scène (mais que je n'ai hélas pas eu le temps de noter au générique...) Non seulement Dolan est doué pour filmer, mais il l'est aussi pour choisir les musiques de ses films! lui reste à se doter d'un peu d'"humilité" cinématographique pour être vraiment un excellent réalisateur... remarquez, il a le temps, vu l'âge qu'il a, hihihi! C'est drôle, finalement : le personnage de Laurence, qui, devant ses élèves, trouve Proust trop long ("300 pages pour expliquer que Tuture encule Tatave...") aurait peut-être pu suggérer à son réalisateur que "2h49 pour ni avec toi ni sans toi", c'est un peu longuet aussi, non ?
(je ne suis pas très original : je viens de retomber sur le post que j'avais écrit sur Les amours imaginaires, et j'y utilisais déjà les mots "se regarder filmer"...)

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12 septembre 2012

tu sais, celui... 86

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le voici donc republié, avec un jour de décalage, puisque le 85 a été trouvé hier soir... bizarrement (peut-être parce qu'ils sont du coup anti-datés ?) il semble qu'on ne puisse plus lire les deux commentaires de Jahovil, qui bien sur l'avait identifié! Je vous mets un lien vers le premier titre qu'il avait donné, Lonely hunter, qui a l'air d'être un joli blog! L'image y figure, en date du 26.12.11, sous le titre "blood red drama"

Ca me ferait donc deux fois plus de boulot à chaque fois! : visionner chaque film pour en extraire les photogrammes qui représentent les premiers éléments dont je me souviens à propos du dit film, puis vérifier que ces images ne figurent pas déjà sur le web, qu'elles ne sont pas "jahovilables", et la tâche devient alors aussi ardue qu'absurde : publier des imges reconnaissables inreconnaissables.
Je me suis amusé à vérifier, et la plupart des images, donc, déjà y figurent. Alors tant pis, je continue comme ça!

ps : au cas où les commentaires soient définitivement inaccessibles, le film en question est "Sayat nova" de Serge Paradjanov, que je vous recommande de voir, pour une fois, en dvd, tant la copie ciné est cracra (tout a viré rougeâtre, justement!)

11 septembre 2012

sucer les orteils (ou embrasser les pieds)

CHERCHEZ HORTENSE
de Pascal Bonitzer

On était juste deux dans la grande salle, à 13h45 avec Marie, et c'était très bien comme ça, on s'est vraiment régalé(s).
J'avais vu plusieurs fois la bande-annonce, et donc le film était à peu près quasiment sans surprise, et pourtant il se savoure d'un bout à l'autre. Bacri est parfait, Scott-Thomas est divine, Carré délicieuse, Berroyer impeccable, Rich ad hoc, le gamin trop bien, etc. Chacun tient sa partition sans fausse note, la distribution est un vrai bonheur. Le scénario du film évolue habilement de la comédie pure (et "abstraite") à la chronique contemporaine, sociale-amoureuse, douce-amère. avec bonheur. Avec une  petite faiblesse à la fin, mais pas suffisamment toutefois pour gâcher le plaisir.
Vraiment, un film très plaisant, où les atermoiements (et les acrimonies) d'un Bacri (par rapport à son père, à sa compagne, à une blondinette croisée dans la rue, à ses vieux camarades joueurs d'échec), sont habilement entrecroisés avec d'autres histoires (souvent amoureuses, en tout cas affectives) en paralèle (le metteur en scène et le jeune premier, le vieux et la jeune, le père et le serveur, le fils et sa mère, etc.) dans un cocktail savamment dosé d'humour, de désenchantement, de lucidité voire de tendresse fleur-bleue (et même de réalisme politico-politicard!).
Un film humain trop humain, (il aura tout de même été question de sans-papiers, de contrôles d'identité, de sorbet au thé vert, de tentative de définition de l'homosexualité, sans oublier la montre rouge de maman...) comme je les aime, où il m'est même arrivé d'avoir soudain les larmes qui montent aux yeux, où on pardonne les invraisemblances a priori (Isabelle Carré en serbo-croate) et les "stéréotypes" des personnages - bobos ou autres - (mais peut-être justement est-ce ce qu'a voulu Bonitzer), pour n'en conserver que le plaisir qu'on y prend et le sourire ravi qu'on arbore à la sortie de la salle... Et le tendre clin d'oeil de Pascal Bonitzer de faire jouer à se fille Agathe le (petit) rôle d'une jeune actrice dont la metteuse en scène n'est pas sûre qu'elle soit assez bonne pour le rôle...

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(je trouve par contre que l'affiche, même si elle est "juste", est assez laide... Floc'h a déjà été mieux inspiré...)

 

10 septembre 2012

tu sais, celui... 85

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allez, une nouvelle !

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rien ? allez, une troisième!
un indice : c'est rital !

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ps : dsl pour les gens qui ont eu le temps d'entr'apercevoir le "tu sais celui..." 86, il a été publié par erreur (puisque le 85 n'avait pas été trouvé) et est donc retourné dans les limbes d'où il n'aurait pas dû sortir...

 

9 septembre 2012

tu sais, celui... 84

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