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lieux communs (et autres fadaises)

22 décembre 2020

CSDRN'E5

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moralité :

Bon-Iver

(ce monsieur s'appelle BON IVER...ça tombe bien!)

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21 décembre 2020

CDA21

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j'adore ce genre d'agitation où il faut un moment pour réussir à percevoir tout...

21 décembre 2020

CSDRN'E4

dimanche, 14h44 :
bon alors, je bois mon café, après je me douche, je m'habille, et je fais le ménage...

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"Noël approche, et Londres retourne sous cloche. Le sud-est du Royaume-Uni revient ce dimanche sous le régime du confinement avec l'interdiction d’aller passer le réveillon hors de la zone d’alerte maximale, l'interdiction de voyager à l’étranger et une fermeture de tous les commerces non essentiels.

La raison de ce nouveau tour de vis, alors que le pays est sorti début décembre seulement de quatre semaines de confinement ? Une nouvelle forme du virus, annonce le Premier ministre, Boris Johnson. Les cas de contamination s’envolent, "causés par une nouvelle variante du virus" qui «semble se répandre plus facilement et pourrait être jusqu’à 70% plus contagieuse que la souche précédente», a justifié samedi le chef du gouvernement britannique. "Ça se répand très vite en ce moment."

La thèse d’une mutation plus contagieuse du Sars-CoV-2 est soutenue par le médecin-chef de l’Angleterre, Chris Witty, qui affirme selon CNN que la nouvelle version du virus est responsable de 60% des infections à Londres, où le nombre de nouvelles contaminations a doublé cette semaine. Le haut responsable rapporte que des travaux sont lancés "en urgence» pour établir si la mutation du virus peut entraîner un taux de mortalité plus élevé, ou si elle affecte l’efficacité des traitements et des vaccins."" (Libé)

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dimanche 17h14 :
alors on regarde par la fenêtre et il fait déjà nuit noire

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20 décembre 2020

CDA20

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ah Shroeder et Lucy
Les Peanuts, toute ma jeunesse...

20 décembre 2020

CSDRN'E3

"Tribune.

J’exerce la profession de gardien de la paix depuis une quinzaine d’années. Gardien de la paix, à la base, c’est le flic en bleu que les citadins peuvent croiser en de multiples occasions. Je pourrais être celui qui contrôle l’identité d’un jeune dans le métro, celui qui fait la circulation, celui que vous appelez parce que la dispute est devenue violente, celui qui vient constater des dégâts ou faire cesser une infraction, parfois aussi celui qui accompagne une manifestation, ou participe à la répression d’une émeute, répond au 17 pour vous secourir, vous rassure, vous empêche, vous énerve ou vous sauve… Le flic de base en somme, banalement au service d’une institution aux missions multiples et à la réputation exécrable, à tort et à raison.

J’ai différentes choses à dire à certaines catégories d’entre vous.

A mes collègues, je voudrais dire qu’il ne faut pas oublier que policier, c’est notre métier, pas notre définition, pas notre identité. Ce n’est pas un camp, ni un sacerdoce. C’est un métier, un gagne-pain que vous avez choisi pour des raisons multiples mais qui n’a pas à devenir idéologique ou dogmatique.

Nous avons le droit de l’aimer pour ce qu’il comporte de dévouement, de courage, de profondeur dans l’immersion sociale. Nous avons aussi le droit de le détester lorsque nous subissons ses revers, la haine de certains, la suspicion de beaucoup, l’instrumentalisation de quelques-uns, la bêtise humaine omniprésente. Nous avons aussi le droit de revendiquer un minimum de qualité de vie et de sécurité au travail, certes.

Mais au final, on nous donne un salaire pour accomplir une mission définie par la collectivité. Nous sommes légitimes et compétents pour exécuter ces tâches, et peut-être avons-nous une expertise pour aider à concevoir nos missions, mais nous restons des exécutants.

Quand la tenue et le flingue sont au vestiaire, nous sommes aussi des citoyens, et nous avons alors comme tout le monde, ni plus ni moins que tout le monde, le droit de participer aux choix collectifs qui deviendront un jour nos missions. Vous et moi ne sommes pas légitimes pour autre chose que pour cela, c’est un métier, pas un mandat, respectons ça et cessons d’avoir des revendications en forme de programme politique. Nos revendications doivent être tournées vers les décideurs, pas vers les citoyens, donc, amis syndicalistes, calmez-vous !

Si vous ne vous sentez pas capables de rester neutres, parce que votre idéologie personnelle, votre éthique ou vos sensibilités politiques deviennent irrépressibles, pensez bien avant de parler qu’en vous entendant on pensera nous entendre tous, et que certains d’entre nous ne l’acceptent pas, et préférez la démission si le mal est trop profond !

A ceux qui pensent que je suis leur ennemi, et qui valident le premier "A" du célèbre graffiti [référence au graffiti ACAB, "All cops are bastards" en français "tous les policiers sont des bâtards", ndlr] je dirais ceci : les fonctionnaires quels qu’ils soient sont peut-être la seule cible accessible du pouvoir que vous souhaitez affronter, mais sachez que les coups que nous recevons ne se répercutent pas sur vos cibles, que notre loyauté envers les institutions est un rempart contre l’arbitraire et qu’un policier illégitimement violent est un délinquant, pas un porte-parole, et que si notre profession nous déshumanise à vos yeux, vos injures ont le même effet que les causes que vous pensez combattre.

Aux rares personnes qui croient encore que nous sommes, ou devrions être, des héros, sachez que nous travaillons contre de l’argent et que nous ne sommes ni des militants, ni des activistes, ni des bénévoles associatifs. Nous avons peur souvent, nous échouons parfois, commettons des erreurs. Cela n’exclut pas l’abnégation dont certains d’entre nous parviennent à faire preuve, mais il n’est pas certains qu’il en faille plus pour être policier que pour tenir la caisse d’un hypermarché un samedi de décembre, vider les poubelles, enseigner, construire… Il est vrai que servir la collectivité est gratifiant, mais qui parmi les travailleurs divers et variés ne le fait pas ?

Aux femmes et aux hommes politiques présents et passés, je dirais que si le moindre d’entre vous avait la véritable intention de "réparer" le lien entre la population et sa police, il commencerait par expliquer que nous répondons à des ordres, à vos ordres donc ou, par l’intermédiaire d’une hiérarchie qui n’a que la fonction de vous traduire, à l’application de vos consignes et de vos stratégies. Il ne devrait pas être nécessaire d’approuver vos choix pour accepter le travail de la police.

Vous devriez donc vous lever et demander à être tenu pour responsable du résultat de vos politiques. Non pas que vous ayez à répondre du comportement déviant dont l’un d’entre nous peut ponctuellement se rendre coupable, mais vous êtes responsables par définition ! Du climat social qui génère les manifestations et les émeutes, du délitement d’une société qui ne comprend plus nos actions, de l’absurdité de notre organisation, de la faiblesse des réponses que vous apportez aux problèmes de certains et de la trop grande brutalité que vous réservez à ceux qui vous contestent. Je crois en la loyauté totale des fonctionnaires, et loyaux la plupart le sont, mais c’est à la démission que vous nous pousserez en nous instrumentalisant.

Aux journalistes je dirais, filmez-moi, photographiez-moi, parlez de moi, mais n’oubliez pas que vous observez des outils institutionnels, pas des miliciens idéologisés, et accessoirement des hommes et des femmes, pas des animaux de foire. Montrez vos images à nos juges, aux citoyens aussi pour qu’ils puissent juger des décisions de leurs représentants. Nous sommes nombreux à ne pas nous sentir agressés par votre travail, et nous regardons vos témoignages aussi, avec curiosité, stupéfaction, avec honte parfois, mais sachez que nous aussi jugeons les actes de nos collègues, avec une acuité professionnelle d’autant plus dure qu’elle n’ignore rien de la réalité. Nous devrions même participer, aider à votre travail.

A mes futurs collègues, vous qui aspirez à devenir flic, exercez-vous à souhaiter le calme et non l’action, appliquez-vous à ne pas vous couper de tout ce qui est extérieur à votre profession, et acceptez d’avance que votre opinion n’a aucun rôle à jouer dans votre future fonction. Apprenez bien les règles, les lois et les fondements démocratiques de notre société, appliquez les mieux que vos chefs. C’est à ces conditions que vous ne deviendrez pas l’instrument aveugle d’un pouvoir qui pourrait dériver, que vous ne deviendrez pas l’absurde connard que vous avez sans doute déjà croisé, que vous minimiserez vos chances de devenir une cible ou un symbole car aucun n’est acceptable, et que vous éviterez de venir grossir la rubrique des policiers morts pour rien, dans un vestiaire dégueulasse, un soir de déprime dans une ville loin de chez vous. Personne ne prendra ces responsabilités à votre place.

Il est possible d’être un policier consciencieux faute d’être irréprochable, loyal mais pas aveugle, serviable sans être corvéable, courageux mais pas suicidaire. J’essaye de faire cela, et il appartient à chacun d’entre nous de le faire."

(Stéphane Romain policier / Libération aujourd'hui)

 

19 décembre 2020

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19 décembre 2020

CSDRN'E2

"Dans mon enfance, vécue à la campagne dans les années 1970, devenir un homme était une perspective à laquelle je n’arrivais pas à m’identifier. Il y avait des conditions à remplir, exténuantes et ridicules. Le mépris de l’intello, l’exaltation des travaux manuels, le goût d’une virilité dominatrice, le culte d’une masculinité triomphante… Qui pouvait s’y reconnaître ? À part ceux qui étaient heureux d’aller servir sous les drapeaux, de fonder une famille sur le mode patriarcal, et qui n’imaginaient même pas qu’on puisse rêver d’autre chose pour soi ou pour les siens, notamment pour les femmes ?" (Laurent Mauvignier)

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Vu hier, grâce à Malavida (et à Hervé qui me l'a rappelé!) deux films de Jiri Menzel, un que je connaissais déjà et que j'adore (et que, tiens, j'ai oublié de faire figurer dans la liste de mes  films préférés) Trains étroitement surveillés (1966), et un que je ne connaissais pas (celui qu'Hervé m'a recommandé), Une blonde émoustillante (1980), tous deux co-scénarisés par Borumil Hrabal, deux films aussi délicieux que tchèquissimes...

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ceci méritait bien quelques captures d'écran
(quelle belle invention, je le répète...)

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"Pendant le premier confinement, en avril, quand Sciences-Po et le Cevipof ont demandé quel était leur "état d’esprit" à 1 766 Français interrogés pour le Baromètre de la confiance politique, 4 % ont répondu "enthousiaste". On rêverait de les rencontrer. La très grande majorité des sondés se reconnaissaient mieux dans la méfiance (32 %), la morosité (28 %), la lassitude (28 %) et la peur (27 %). Seuls 17 % affirmaient ressentir de la sérénité, 14 % de la confiance et 11 % du bien-être. En outre, les idées noires (méfiance, morosité, lassitude, peur) étaient à la hausse, tandis que les raisons d’y croire (sérénité, confiance, bien-être, enthousiasme) étaient toutes orientées à la baisse." (Libération)

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Se confiner préventivement une semaine avant les fêtes de Noël, c’est la recommandation surprise de dernière minute émise par le Conseil scientifique le 12 décembre, dans la foulée des décisions prises par Angela Merkel en Allemagne. Reprise par le Premier ministre le 15 décembre au matin, cette incitation était accompagnée de l’annonce d’une tolérance à l’école buissonnière : "A chaque fois que cela est possible, surtout si on doit recevoir à Noël des personnes vulnérables, le Conseil scientifique a dit "Si vous pouvez ne pas emmener vos enfants à l’école jeudi et vendredi […], vous le faites.""

Ce 15 décembre était censé sonner l’heure du deuxième déconfinement, du retour vers une certaine normalité. Mais on constatait au contraire la stagnation, voire la reprise des contaminations, dans toute l’Europe, et en France à un niveau (10 à 15 000 cas par jour) bien supérieur au seuil qu’avait visé et espéré Emmanuel Macron, 5 000 cas par jour.

Ce fut la journée de toutes les contradictions. Les attestations de déplacement disparaissaient mais un couvre-feu était instauré la nuit. La contagiosité des enfants, fermement niée contre toute évidence par un ministre de l’Education arc-bouté sur l’avis branlant d’experts pédiatres en contradiction avec toutes les études publiées, n’était soudain plus un tabou. Le couvercle mis depuis septembre sur les contaminations d’enfants et de personnels en milieu scolaire sautait enfin, malgré des mois de mensonges, de déni, d’allègements des protocoles pour éviter des fermetures de classe.

Ces enfants qui ne participaient pas à la transmission du virus – et qui n’étaient donc pas comptabilisés dans la règle des six personnes à table à Noël… – représentaient brusquement un risque tel que le gouvernement donnait l’absolution aux parents qui les retiraient de l’école. Et ça, alors que depuis des mois, certains parents vulnérables inquiets de l’absence de protocole sanitaire cohérent à l’Education nationale étaient menacés s’ils gardaient leurs enfants à domicile. Mais dans le même temps, ce 15 décembre, les mineurs étaient à nouveau autorisés à reprendre les activités artistiques extrascolaires en intérieur. Clarinette, flûte, chant… autant de belles occasions de répandre joie, bonne humeur, esprit de Noël et Covid-19.

En milieu de journée, le mardi 15 décembre, les chefs d’établissement n’avaient encore reçu aucune consigne, ne savaient pas si la mesure s’appliquait seulement aux élèves du primaire ou aussi aux collégiens et aux lycéens. Quant aux instituteurs et aux professeurs, eux, ils ne bénéficiaient pas de la même tolérance. L’école était donc reconnue comme lieu potentiel de contamination, mais seulement pour les mineurs…

(...) L’hiver est là, la baisse des températures semble favoriser la reprise des infections, soit du fait de la nature même du virus, soit du fait d’une moindre aération liée au froid. L’exemple du Thanksgiving américain qui a fait exploser la courbe des contaminations a de quoi inquiéter même les rassuristes, s’il en reste. On évoque déjà à mots couverts une troisième vague en janvier, dans un contexte de lassitude propre à tous les complotismes. Etre extrêmement vigilant pendant la semaine qui vient, ce n’est pas seulement se protéger individuellement, mais éviter de participer à une reprise épidémique." (Christian Lehman / 18 décembre 2020 / Journal d'épidémie / Libé)

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(eric pessan)

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(j'aime décidément beaucoup ce que ce monsieur écrit...)

"Cerise sur le gâteau, Didier Lallement, le tristement célèbre préfet de Paris qui a choisi son camp (qui n’est pas le nôtre, comme il le répète à l’envi) y va de sa petite tirade fielleuse : "Ceux qui sont aujourd’hui hospitalisés sont ceux qui, au début du confinement, ne l’ont pas respecté." Il y a quelque chose de fascinant à voir éclore à l’air libre une saloperie chimiquement pure, à entendre la jouissance badine dans ce propos. Ce mélange de cruauté rance et de stupidité à front bas restera dans les annales. Il faudrait avoir un minimum d’empathie pour comprendre que ceux qui arrivent en suffoquant dans les services de réa aujourd’hui peuvent avoir été contaminés par leurs proches en confinement, ou en étant obligés de travailler pour faire fonctionner le pays, ou en soignant des malades. Mais Lallement est trop occupé à jubiler pour réfléchir. Et c’est à des hommes de cette trempe qu’on donne le pouvoir de faire tirer sur la foule. Emmanuel Macron, vous avez pour vous entourer un incroyable talent.

Big up quand même à votre équipe de gestion de crise pour la conférence de presse qui suivit, où, ayant délaissé son costume Hugo Boss pour une simple chemise blanche, sa casquette de militaire nord-coréen pour une perruque blondinette espiègle qui lui donnait l’air d’un fils Le Quesnoy dans La vie est un long fleuve tranquille, son rictus habituel pour une douceur contrite, Lallement y alla de ses regrets et présenta ses excuses. Depuis l’épisode Benalla, rasé et cerclé de fines lunettes relooké en gendre idéal en langues orientales à Sciences-Po, on n’avait pas vu tel foutage de gueule." (Christian Lehman / 8 avril 2020 / Journal d'épidémie/ Libé)

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18 décembre 2020

CDA18

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18 décembre 2020

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(bon finalement y a pas de grand changement, hein, donc on va continuer comme avant -ou presque- je sais on veut nous faire croire que c'est le presque qui est important, qui change tout, enfin, presque... donc exit RCC (reconconfinement) et welcome CSDERN'E (comme si de rien n'était, piqué à mon ami Philou...)

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les lieux de culture et les lieux de culte

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gardiens de la paix et forces de l'ordre

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gourde de policier et quart de poulet
(non ça c'est du Franquin)

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(couvre-feu en haute-saône)

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Afin de dénoncer la non-réouverture des cinémas et l'absurdité des restrictions sanitaires, une séance du film Péril sur la ville était organisée dans une chapelle par des exploitants de cinéma marseillais.

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"On vit des choses que les inspecteurs et directeurs académiques n’ont pas vécues sur le terrain avec nous et un truc s’est cassé avec nos supérieurs directs. La confiance envers notre hiérarchie s’est étiolée et elle ne se reconstruit pas." (une enseignante dans Libé, puis retwittée)

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"Macron ? Eh bien vous ne le verrez plus. Enfin du moins pendant une semaine. Le Président est diagnostiqué positif au Covid-19, annonce l'Elysée ce matin. Il s'isole donc pendant 7 jours - mais continuera à travailler, précise la présidence. Jean Castex, qui a diné mardi soir avec Macron, est cas contact et ne pourra pas donc pas participer au débat - ça ne s'invente pas - sur la vaccination, au Sénat. Les présidents de groupes de l'Assemblée, sont eux-aussi cas contact, puisqu'ils ont tous déjeuné à l'Elysée mardi. 😷 L'occasion d rappeler cette phrase de Richard Ferrand fin octobre sur France Inter : "Si on est malade c'est qu'on n'aura pas fait aussi attention que nécessaire [...]. Ce n'est pas une question de faute, c'est une question de responsabilité."" (Chez Pol / Libé)

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17 décembre 2020

CDA17

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