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lieux communs (et autres fadaises)

3 juillet 2014

boire du petit lait...

traite4
la traite...

traite 5
et la re-traite!

traite2

et la retraite!

traite3

et la retraite!!

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et la retraite!!!!!!

2 juillet 2014

tu sais celui... les résultats!

30) LA MAMAN ET LA PUTAIN pépin1
29) ENGRENAGES hervé1
28) DJANGO UNCHAINED pépin2
27) JAURES hervé2
26) LES CHANTS DE MANDRIN catherine1
25) DANS LA BRUME catherine2
24) THE GRAND BUDAPEST HOTEL marie1
23) HOLY MOTORS pépin3
22) LES SENTIMENTS sylvain1
21) GRAND CENTRAL hervé3
20) LES RENCONTRES D'APRES MINUIT hervé4
19) BUFFET FROID pépin4
18) 9 MOIS FERME loulou1
17) JACKY AU ROYAUME DES FILLES loulou2
16) OMAR hervé5
15) GANGS OF WASSEYPUR marie2
14) HEIMAT pépin5
13) LES AMANTS PASSAGERS marie3
12) POST TENEBRAS LUX hervé6
11) TOUCH OF SIN marie4
10) JE SUIS SUPPORTER DU STANDARD sylvain2
09) CONTES DE L'ÂGE D'OR hervé7
08) IN THE MOOD FOR LOVE zvezdo1
07) 2AUTOMNES, 3HIVERS pépin6
06) QUEEN OF MONTREUIL pépin7
05) LES APACHES sylvain3
04) MAIN DANS LA MAIN zvezdo2
03) LA GRANDE VADROUILLE jahovil1
02) EXTERIEUR NUIT pépin8
01) NYMPHOMANIAC pépin9

médaille de cuivre : sylvain (3)
médaille de bronze : marie (4)
médaille d'argent : hervé (7)
médaille d'or : pépin (9    (clap clap pépin)
(tous les autres gagnent la médaille d'amûr)

 

... et si vous voulez encore un peu, voici des photos, qui n'ont pas été publiées, de films qui ont été (ou pas) publiés dans ce jeu. Il y en a 20, et il y aura un cadeau pour la première ou (le premier) à tous me les trouver. Ou bien à qui m'en trouvera le plus...
C'est notre jeu-ciné des vacances. Je relève les copies le 31 juillet. Envoyez votre liste sur ma boite mail...

vlcsnap-2014-06-17-17h20m02s249numéro 1 : 40 ans et toujours puceau

bscap0004 (2)numéro 2 : gangs of wasseypur

vlcsnap-2014-05-18-18h29m15s38numéro 3 : a touch of sin

vlcsnap-2014-06-17-17h18m30s84numéro 4 : 40 ans et toujours puceau

vlcsnap-2014-05-18-22h08m16s128numéro 5 : queen of montreuil

vlcsnap-2014-05-18-22h11m02s254numéro 6 : inferno

vlcsnap-2014-05-24-18h37m22s6numéro 7 : 9 mois ferme

vlcsnap-2014-05-24-18h40m06s93numéro 8 : holy motors

vlcsnap-2014-05-29-23h16m27s181numéro 9 : les sentiments

vlcsnap-2014-06-08-12h20m48s64numéro 10 : jacky au royaume des filles

vlcsnap-2014-06-08-13h18m23s80numéro 11 : the grand budapest hotel

vlcsnap-2014-05-29-23h03m05s103numéro 12 : grand central

vlcsnap-2014-06-08-13h22m29s169numéro 13 : the grand budapest hotel

vlcsnap-2014-05-18-18h31m11s140numéro 14 : a touch of sin

bscap0002numéro 15 : martin et léa

bscap0003 (2)numéro 16 : heimat

bscap0001numéro 17 : martin et léa

vlcsnap-2014-06-17-16h34m44s169numéro 18 : django unchained

vlcsnap-2014-06-17-17h17m06s18numéro 19 : engrenages

vlcsnap-2014-05-18-18h13m57s83numéro 20 : les mants passagers

28 juin 2014

fleurs jaunes

LES FEMMES DE VISEGRAD
de Jasmila Žbanic

 

Un film bosniaque, réalisé par une femme, avec pour personnage central une autre femme, australienne, performer, qui, en visite en Bosnie, découvre que l'hôtel où, touriste, elle réside, fut le théâtre d'atrocités (viols et crimes) commises contre des femmes, pendant "la" guerre, et dont tout un chacun sur place semble avoir décidé de perdre le souvenir, tout cela fait un certain nombre de bonnes raisons d'avoir envie de le voir, et, mieux, de le soutenir.
Claude W. l'avait vu en prévisionnement et, depuis, n'arrêtait pas de nous le recommander avec force, souhaitant même l'inclure dans la prochaine programmation, ce qui fut donc fait (nous sommes une assoc' démocratique)
Après avoir failli ne pas le voir, (une sombre histoire de tarif préférentiel non programmé, qui fut heureusement réglée téléphoniquement - merci Hervéchounet - ) je me suis donc enfin tout de même installé dans la salle (nous étions 6, les 5 autres à part moi étant des femmes), appareillant immédiatement pour une Bosnie enneigée (le film est construit suivant deux strates temporelles : la première visite, estivale, et la seconde, hivernale) et fort cinégénique ma foi (la -vraie- neige est toujours bien au cinéma...).
Bouleversée par ce qu'elle apprend par hasard de retour dans son pays, la jeune femme décide d'y retourner pour en savoir plus, pour savoir pourquoi personne n'en parle, pour tenter de témoigner à sa façon, de le faire savoir...
Dans quelle mesure l'esthique (tiens je viens d'inventer une nouvelle branche de la philo, entre l'éthique et l'esthétique) l'esthétique, donc, voulais-je dire peut-elle faire bon ménage avec la morale ? (My god, me mettrais-je, comme Mister Jourdain, à faire de la philo sans le savoir ? Ca y est j'ai le neurone en ébullition). Le scénario a été en quelque sorte écrit par la performer, Kym Vercoe, puisqu'il est l'adaptation de la pièce qu'elle avait écrite sur le même sujet, cette histoire qui lui est vraiment arrivée (et qu'elle revit donc) sous la caméra de la réalisatrice).
Sensible, touchant, le film l'est certainement, d'autant plus que le titre original évoque "ceux qui ne peuvent plus raconter l'histoire", un peu plus déroutant est son statut véritable (quasi-documentaire recomposant une quasi auto-narration, basée sur une réalité immontable /indicible) qui pourrait amener le spectateur à être encore plus attentif à ce qu'il est vraiment en train de regarder.
Et la fin, c'est vrai, est absolument magnifique. (un jour, il faudra que je compte le nombre d'occurences de "magnifique" sur ce blog...)
Un petit gros bémol, pourtant : c'est dommage de voir l'affiche avant d'aller voir le film...

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27 juin 2014

franky & tommy

JERSEY BOYS
de Clint Eastwood

Alors ça... (la machoire qui tombe de surprise) ce vieux macho de Clintounet qui nous sort un truc de tafioles ! Oui oui, des mecs qui chantent, avec des voix de faussets, avec des guitares qui brillent, en ondulant du croupion! Wouaaah! Tout arrive ! Il nous adapte un musical de Broadway, pincez-moi, je rêve. Ah bon, quand même, les mecs ils -au début tout du moins- ils ne sont chanteurs qu'à mi-temps, le reste... Le reste , ils sont mafieux! Ah bon (soupir soulagé) on est pas des gonzesses, tout de même...
Le film démarre très très bien. excellemment, même. Ambiance sépia /décoloré, filles en jupes larges qui virevoltent et lévres rouge baiser, choucroutées ad hoc, et mecs qui vont avec, gomina, oeil noir, costard pour la galerie et marcel blanc avec les biscottos à l'air dans l'intimité. Wap doo wap! (je fais les coeurs). ambiance bon enfant, dialogues vachards, baffes diverses, gags délicieux (le coffre dans le coffre), ça démarre sur les chapeaux de roues (de belles grosses bagnoles ricaines, bien évidemment).
Il s'agit de l'histoire du groupe "The four seasons" et de ses membres (dont le générique de fin m'a confirmé -oh la la je confesse mon ignorance crasse- l'existence réelle) depuis leurs débuts difficles (ah, la belle jeunesse testostéronée à mèche crantée) jusqu'au sommet de la gloire. Puis la désagrégation du groupe, et même sa reformation "des années plus tard".
Et c'est un peu le problème de ces 2h08 (qui paraissent, à la longue, un peu... longuettes). Plus ça avance et plus le film oublie progressivement de rigoler, voire même de sourire (hormis le personnage perpétuellement cliché parrain mafieux de Christopher Walken) , et plus il d'enfonce dans le sirupeux, le poisseux, le sérieux (l'ultime séquence, celle avant le générique de fin, parfait, où Clintounet semble s'être réveillé, en est presque pénible ; en général les personnages vieillis -"vingt-cinq ans ont passé..."- fonctionnent difficilement, ou sont, en tout cas, et c'est le cas ici, à peine crédibles).
Oui, ça démarre fort, c'est enlevé, l'utilisation de l'adresse au spectateur est convaincante, les acteurs sont impeccables, et le SSTG (sous-sous-texte gay) suffisamment plaisant (oh oh ces deux grands gaillards qui se tournent autour et se reniflent sont vraiment plus que des amis "à la loyale", bon, à moi faut pas me la faire, hein...) pour que j'y aie été indiscutablement accroché. La reconstitution est plaisante, ça fonctionne, on claque des doigts, wap doo wap, (même si, personnellement je trouve la voix du chanteur pas forcément très agréable) et puis, insensiblement, cette belle énergie initiale se ratatine un peu, le moteur tousse, on repasse en troisième, puis en seconde, et le spectateur commence un peu à trouver le temps long (les histoires répétitives de sous, de dette, de mafia, de remboursement, de frictions d'égos, commencent un peu à tourner à vide) et le film perd progressivement tout ce qui faisait le sel de sa première partie, l'humour complice, la bravache adolescent, le clin d'oeil à American Graffiti (référence fantasmée puisque je n'ai jamais vu le film) pour virer insensiblement au biopic amidonné de moins en moins teen et de plus en plus académique...
Comme si Clintounet était en même temps là et pas là. Il assure une mise en scène impeccable, (impeccablement classique serait plus juste mais bon), il aurait pu resserrer un peu tout ça (avec une demi-heure en moins, c'eut été beaucoup plus percutant). Oui c'est ça c'est trop looooooooooooooooong, et la dernière heure (j'ai résisté à l'envie de la regarder plusieurs fois) semble se résumer à une succession de numéros musicaux plus ou moins répétitifs (mais j'imagine que les fans du groupe espéraient bien tous les standards) avec à chaque fois un peu de synopsis juste le temps de s'aérer un peu).
Mais je le dis et je le répète, la première heure est quasi parfaite... et si la dernière scène est calamituese, le générique de fin qui la suit est, je le répète aussi, quasiment grandiose. tu vois, Clintou, quand tu veux bien...

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25 juin 2014

tiens, des fleurs...

DSC03323(iris, à Gy)

DSC03372(rose, chez moi)

DSC03452(les roses de la kermesse)

DSC03460(la première trémière)

DSC03495(un pavot, chez Christine)

25 juin 2014

hellène et les garçons

XENIA
de Panos H. Koutras

Zabetta me l'avait chaleureusement recommandé, et, ça tombait bien, j'avais très envie de le voir...Cette histoire de deux frangins albanais à la recherche/poursuite de leur père, par la réalisateur de L'attaque de la moussaka géante, et, surtout, de Strella, m'avait, déjà sur la papier, appâté.
On y est donc allé, avec Dominique, dès la première séance. Comme d'hab' depuis quelques temps, on s'est assis à côté de la Grosse Dame Désagréable (je vous parlerai un jour de la GDD). Mais elle n'a pas réussi à me gâcher mon plaisir.
Car plaisir il y eut, cinématographiquement. Deux frères donc, dans la Grèce d'aujourd'hui, deux frères qui, comme on dit sur le papier, deux frères que tout oppose : le blondinet de 16 ans à mèche décolorée ondulant du croupion et le frangin de 18 ans à poil dur et mâchoire carrée, celui qui geint et celui qui gueule, le pédé et l'hétéro, bref la parfaite paire "opposés et complémentaires".
Le blondinet a toujours besoin d'une sucette dans la bouche, sucre ce qu'il mange (même les spaghetti), se promène avec un lapin blanc dans son sac, minaude, pleurniche, bref, il est très gayment portraituré (presque trop, même : au début, on est un peu inquiet, en se disant que le réalisateur n'y va pas avec le dos de la cuillère -à sucre, bien évidemment-, et puis on s'habitue, la follitude devient quasiment "normale", et on n'y fait plus attention...). Le grand frère, lui (dix huit ans, tout de même) est campé avec tous les attribus de la mâlitude la plus... appétissante (hihi) : la barbe, le poil, l'oeil noir, etc. Un vrai régal d'homme, un vrai.
Le blondinet, à la mort de sa mère, part à Athènes retrouver son grand frère, et lui propose de partir à la recherche de leur père (qu'ils appellent "l'Innommable") qui les a abandonnés très jeunes, et qui serait désormais très riche, dans l'espoir de lui soutirer à la fois du fric et des nouveaux papiers (ils espèrent pouvoir récupérer la nationalité grecque).
Deux frères (dont l'un se prénomme Odysseus), une mère morte, un père salopard, on frôle quasiment le mélo lacrymal, sur le papier, surtout si on y  ajoute un lapin blanc dans un sac mais aussi, dans le même sac, un flingue, qu'on va en sortir à plusieurs reprises...
Il y a dans ce Xenia au moins trois scènes magnifiquement magnifiques : une scène nocturne de barque qui est une citation exacte et revendiquée de La nuit du chasseur (avec un petit plus qui sautille sur la rive), puis une chorégraphie, nocturne elle aussi, sur une chanson de Patty Pravo (oui, hein, d'ailleurs, on se demande comment un joli hétéro poilu et testostéroné peut  se déhancher aussi bien sur une chanson de la dame en question, hein, l'ouzo n'excuse pas tout...) et une dernière scène magnifique, qu'on pourrait qualifier de "téléphonée" , ce qui ne serait pas péjoratif puisqu'elle l'est, littéralement, mettant en scène une chanson et (encore une fois) un révolver (et, bien entendu, un téléphone !)
Le cinéma grec produit peu, mais ce qui parvient jusqu'à nous est d'appétissante facture. Surtout les films de Panos H. Koutras (pourquoi n'y a-t-il jamais de blondinet follasse avec une sucette dans les films d'Angelopoulos ?). Dans ce troisième film, il combine à merveille la follitude cheap de La moussaka... et le mélo à poil dur façon Strella, association gustative délicieuse (chaud/froid) qu'il rend encore plus goûteuse avec une petite brumisation de fantastique à intervalles réguliers.
Un film attachant, parfois mal peigné et parfois avec de la brillantine et une raie de premier communiant, parfois maladroit et parfois sublime, qui roule parfois des mécaniques et à d'autres bat des cils langoureusement, oui, un film profondément attachant (je le répète, je ne trouve pas de mot plus juste), comme le sont ses deux interprètes principaux...
A revoir prochainement, j'espère de tout coeur, dans le bôô cinéma...

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22 juin 2014

tu sais celui... 2.30 (and now ladies and gentlemen, we call it the end...)

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Tiens, pour finir, je vous mets la toute première image d'un film, et, si vous ne trouvez point, je vous en mettrai ensuite la toute dernière...

21 juin 2014

tu sais celui... 2.29

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vlcsnap-2014-06-17-16h43m41s151

20 juin 2014

tu sais celui... 2.28

vlcsnap-2014-06-17-16h34m08s82

19 juin 2014

tu sais celui... 2.27

vlcsnap-2014-06-16-21h23m45s216

(Celui-là, c'est dur... Hervé ou peut-être Zvezdo pourraient avoir leurs chances...)

Je vous mets quand même la deuxième photo... Vous aurait-ce aidé ???

vlcsnap-2014-06-16-21h25m38s25

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