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lieux communs (et autres fadaises)

26 mai 2014

micro133

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le pissenlit est exponentiel

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J'adore la voix de Manset sur son dernier album

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devant la boulangerie, un petit pompier (trapu) entre dans une petite voiture rouge (trapue elle aussi)

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les guêpes cherchent des protéines, et les abeilles plutôt des glucides

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penser à ôter la clé de la serrure après avoir fermé la porte (à clé) pour la nuit

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de la fabrication des endorphines...

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"je m'énerve" :
l'important n'est pas tellement le fait d'être énervé,
plutôt celui de s'énerver soi-même

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 "Comme c'est gratuit, c'est un peu payant..."

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Paul a réussi à mettre le sac de couchage de sa mère dans la boîte aux lettres

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 "I can't give you a lecture on how to be a man..."
(j'avais mal entendu)

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25 mai 2014

tu sais celui... 2.2

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Pépin a déjà trouvé! je mets quand même la deuxième photo... :

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25 mai 2014

xanax

DEUX JOURS, UNE NUIT
de Luc et Jean-Pierre Dardenne

Dans les films des Dardenne, il faut
1) Olivier Goumet et/ou Jérémie Rénier : c'est chose faite (à 5' de la fin, mais bon)
2) le plat pays qui est le leur : contrat accompli ici aussi
3) une héroïne, jouée par une actrice filmée amoureusement, et transcendée (Emilie Dequesne, Cécile de France, Déborah François) : ici, Marion Cotillard, qui est magnifiquement touchante tellement elle est juste
4) du filmage de dos, caméra à l'épaule, plus ou moins obstiné (et plus ou moins saoulant)
5) des salauds ordinaires, et des gens, plus ou moins malheureux, tout aussi ordinaires
6) un dilemne, ou un cas de conscience, ou un questionnement éthique : ici, il s'agit, le temps d'un week-end, de contacter 14 personnes avant un (re)vote, pour savoir si elles préfèrent garder leur prime de 1000€ ou éviter le licenciement d'une de leurs collègues...
7) au bout, une Palme d'or, ou un Prix du Jury, ou autre distinction honorifique lors de leur présentation au Cannes de l'année (là, on saura demain soir...)
Oui, y a que les imbéciles qui changent pas d'avis... (Là, je parle pour moi, et pas pour les protagonistes du film, quoique). Le résumé de l'anecdote, la présence de Marion Cotillard, les relents de ce cinéma dit "social" ne m'attiraient a priori pas vraiment. Mais dans "cinéma social" il y a, d'abord, "cinéma". Et force est de le leur reconnaître, cet indéniable talent de mise en scène, de mise en images, de mise en émotion, qui fait qu'en cinq minutes chrono j'étais happé, fasciné, kidnappé, béat.
Les acteurs y sont pour quelque chose, mais la réalisation aussi, je le répète. Sandra (Marion Cotillard, avec sa petite queue de cheval et son maillot rose) va faire du porte-à-porte, tout au long de ce week-end, avec des hauts et des bas (pourquoi en Belgique les sonnettes sont-elles si hautes ?) pour rencontrer un par un ses collègues de l'usine, ceux et celles qui ont déjà voté pour garder la prime, et qu'elle espère faire changer d'avis en sa faveur.
Au début, on craint le "procédé", la monotonie, la redite, mais c'est compter sans les Dardenne(s). Ils font de chaque rencontre un cas particulier, une vraie personne, avec sa peau, ses yeux, son existence, même si esquissée en quelques minutes, et j'avoue que plus d'une fois les larmes me sont montées aux yeux.
Le compte à rebours s'égrène, et l'espoir reprend. Parfois. Parfois pas. Au fil des rencontres et des heures qui passent (contrairement au titre qui est faux, ça me chiffonne, il y a bien deux nuits, puisqu'il y a aussi la nuit de dimanche à lundi). Je dois avouer que je me demandais comment, avec un sujet pareil, les réalisateurs allaient pouvoir négocier la fin de leur film sans dommage(s). Que la balance penche d'un côté ou de l'autre, ça pouvait être vraiment casse-gueule. Et ils ont l'élégance extrême, comme disait Bashung de "délaissant les grands axes, prendre la contre-allée", dans une fin à double détente, magnifique. (ou les verticales qui tranchaient l'image en deux, pendant toute la durée, du film sont enfin abandonnées, au profit d'une superbe courbe ascendante... yes, comme qui dirait,de l'espoir chez les Dardenne!)

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24 mai 2014

j'écris ton nom liberté

MAPS TO THE STARS
de David Cronenberg

Je ne sais pas dans quel état j'étais lorsque j'ai vu la bande-annonce du nouveau Cronenberg, en tout cas ça m'a donné envie de venir voir ce que je pensais être une comédie grinçante sur les dessous d'Hollywood... J'y suis donc allé mercredi, dès que j'ai pu, et j'en suis ressorti deux heures plus tard, plutôt tourneboulé (déboussolé) : c'est noir, c'est très noir, c'est très très noir...
Je n'étais pas allé voir les deux précédents films de Cronenberg parce que ni le fond ni la forme ne m'en avaient donné l'envie, mais celui-là, tout de suite, je l'ai voulu, sans en savoir grand-chose d'ailleurs. Je n'avais, en entrant, que deux éléments : Hollywood et Julianne Moore (que j'aime énormément).
Et allons-y donc! après un générique bleuté, lettré, étoilé, saupoudré de quelques bouffées d'électro ambient, nous voilà projetés (!) sur les traces de plusieurs personnages, qu'on va d'abord suivre séparément, avant de s'apercevoir (assez rapidement) qu'il s'agit plus ou moins d'une histoire de famille : une jeune fille (avec des cicatrices de brûlure) qui débarque à Hollywood et a commandé une limousine avec chauffeur, plus le jeune chauffeur qui la conduit et qui est un aspirant-acteur, plus une actrice sur le déclin qui cherche désespérément un rôle, (celui-de sa mère, actrice elle-aussi, morte dans un incendie) dans un film qui va se tourner prochainement, plus un enfant-star insupportable d'arrogance et de cynisme, plus les parents du jeune homme en question (son père est un genre de masseur-gourou, qui "soigne" notamment l'actrice sur le déclin...)...
Voilà pour l'essentiel des protagonistes, auquel David C. a eu la bonne idée d'ajouter, assez vite, des fantômes (celui d'une mère morte brûlée, celui d'une petite fille morte de maladie, celui d'un petit garçon noyé), très propres sur eux (pas d'yeux révulsés, de chairs pourrissantes, de hurlements d'épouvantes)  qui apparaissent régulièrement et viennent  perturber "en vrai" - mais pas trop agressivement - l'existence des "vrais" personnages... 
On le voit, on est bien ici, doublement, triplement, au royaume de l'illusion, (et par conséquent de la tromperie, des faux-semblants, du mensonge). Illusion de la célébrité, illusion de la réussite, illusion de l'amour... Cronenberg tend à ses personnages des miroirs dont les reflets successifs interfèrent, et complexifient encore les perceptions individuelles. Jusqu'à ce qu'elles se brisent. Car chacun des personnages est multiple, complexe, composite. Et l'une de ses facettes est forcément cinématographique
On y parle beaucoup de cinéma, et de beaucoup de manières, depuis la plus triviale (le fric, les contrats, les manigances) jusqu'à à la plus romantique (les références, les blessures, la mémoire, la filiation, le lyrisme). A plusieurs niveaux, il est question de rejouer une scène originelle (l'enfant-star va tourner la suite d'un film / l'actrice veut tourner le remake d'un film plus ancien / des enfants veulent rejouer une situation vécue par leurs parents /) comme en tentant de retrouver une émotion initiale (celle que le réalisateur provoque au spectateur ?)
Le film de Cronenberg est magnifique, magistral, bouleversant, d'autant plus qu'il avance masqué (ou maquillé, fardé, comme chacun de ses protagonistes d'ailleurs). Il est très lisse d'apparence, trompeur, étal, comme la surface d'une piscine peut l'être quand bien même un corps y reposerait au fond. Comme l'image que veulent bien donner d'eux-mêmes les acteurs et autres personnages médiatiques. Le Cronenberg "mutation / sang / tripes" de l'époque glorieuse des débuts a posé sur ses expériences gorisantes juvéniles l'apparence de la respectabilité, le lissage du vernis social, mais, sous l'épiderme tendu, ça palpite encore, ça grouille, ça se bouscule... Cronenberg sait toujours à la perfection alterner (coupler) le brûlant (le brasier) et le liquide (l'eau de la piscine). Et ça laisse un drôle de goût dans la bouche...
Un film qui commencerait sous les auspices de Lynch (Mulholland Drive) et pourrait se terminer dans les bras de, disons... Gus van Sant (Restless). Un film à revoir, à garder, sans aucun doute...

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24 mai 2014

Mais si, tu sais, celui...2.1 le retour

vlcsnap-2014-05-18-22h18m32s167Allez, on joue ?
un film par jour,
une photo à 7h
une deuxième le soir si d'aventure il n'était pas trouvé...

17 mai 2014

ici, là-bas, ailleurs

DSC03174(à l'hôpital, dans la chambre)

DSC03158(à l'hôpital, par la fenêtre)

DSC03125(à Vesoul, dans la cave des P.)

DSC03114(à Luxeuil, chez Pierre B.)

DSC02706(au Grand Palais, Bill V.)

DSC02537(dans le champ, Christian)

DSC02548(devant le champ, Philou)

DSC02472(dans la voiture de Nicolas, en rentrant de Pontarlier)

DSC02438(à Morteau, dans le hangar de Claude B.D)

DSC02413(à Besac, un lundi de pâques pluvieux)

17 mai 2014

matraque (de policier)

Voilà, je suis sorti de l'hôpital, j'ai mal dormi, d'autant plus que j'étais en plein dans le bouquin de Nesbo. J'avais lu 300 pages dans l'après-midi, j'en ai relu 100 le matin d'après en attendant la radio (pour laquelle on m'avait -hihihi- oublié, et que si je n'étais pas allé le demander à l'infirmière, peut-être que j'y serais encore...) hier soir j'en ai relu encore 100, et, comme pour Le bonhomme de neige, plus on approche de la fin et plus je suis tendu, et je suis obligé de fractionner ma lecture (boire un coup, aller dehors, regarder la télé) pour respirer un peu...
Le bouquin est vraiment redoutable. Nesbo reprend les choses plus ou moins où il les avait laissées à la fin de Fantôme, et aux, questions en suspens à la fin du précédent bouquin, il en rajoute assez rapidement quelques autres, puis d'autres encore. On retrouve tous les personnages qu'on connaissait déjà, plus quelques autres nouveaux, qui ne déparent pas dans la galerie de tronches de l'auteur.
C'est, comme d'hab', très bien écrit (c'est diaboliquement bien écrit, et, un peu à la façon de l'hameçon dans le doigt du pêcheur novice, une fois que c'est planté, il sera quasiment impossible de s'en défaire : plus on tire dessus et plus ça s'enfonce...)
C'est vraiment un bouquin à lire, comme on dit, toutes affaires cessantes. Des chapitres courts, subdivisés en paragraphes tout aussi courts, concernant des personnes différentes mais dont les actions se situent grosso modo dans le même temps (et Nesbo est excellent là-dedans), avec cet autre talent spécifique de l'auteur (je n'en connais pas beaucoup d'autres qui roulent avec cette roublardise leur lecteur dans la farine), à savoir de raconter minutieusement une action, en omettant sciemment "le" détail le plus important, de façon à faire imaginer au lecteur que c'est ça qui se passe, ou que ça concerne cette personne-ci, alors qu'en réalité (on l'apprendra un peu après) il était question de cette personne-, et que c'était ça d'autre qui se passait en réalité... Depuis le tout début du bouquin jusqu'à la quasi toute fin (très très fort, le quasi dernier chapitre!) il égare ainsi le lecteur avec un plaisir visible et un réel talent...
Comme d'hab' (en ce qui me concerne), les cent dernières pages sont époustouflantes (mais c'est vraiment une habitude chez lui), avec une tension quasi-asphyxiante, comme je l'ai dit plus haut,  d'autant plus qu'il va même jusqu'à nous placer une bombe à retardement à l'avant-dernier paragraphe...

Aïe aïe aïe... A bientôt, monsieur Nesbo!

14 mai 2014

mais avant d'aller dormir

Cet après-midi (et cette nuit) je vais dormir à l'hôpital (avec des capteurs et des cables et des caméras et des trucs et des machins...) en compagnie de POLICE, le nouveau bouquin de Nesbo, qui m'a été prêté aimablement par mon exquise collègue Catherine chérie...

nesbo police

14 mai 2014

magnum

TONNERRE
de Guillaume Brac

En tant que fan de base de Vincent Macaigne, je me devais absolument de voir le premier "vrai" long-métrage de Guillaume Brac (le précédent étant un faux puisqu'on y avait accouplé un moyen -Un monde dans femmes- et un petit  -Le naufragé- métrage(s), tous deux autour du même personnage, joué par le même Vincent M.)
Revoilà donc Vincentchounet, cheveux au vent et barbe bleue, en rocker mélancolique qui vient se ressourcer pour un certain temps chez son père (joué par l'excellentissime Bernard Menez) à, justement, Tonnerre, et y rencontre une très jolie (et jeune) journaliste (la toute mimi Solène Rigot) avec qui schlink! (c'est le bruit du coup de foudre, du love at first sight) vous imaginez aisément la suite...
Sauf que non, pas vraiment tout à fait. Le précédent (film) se passait en été au bord de l'eau, et Vincent y draguouillait gentiment, pataudement, une mère et sa fille. Tandis que si celui-ci se passe en hiver et dans la neige, Vincentchounet y est tout aussi draguouillant et,donc, fatalement (si, si!) malheureux en amour, mais cette fois peut-être de façon plus... démonstrative.
Le film est comme coupé en deux par une balafre inattendue, schlack! (c'est le bruit que ça fait quand ça coupe), et devient  justement peut-être un tout petit poil moins touchant (ou plutôt caressant -dans le sens du poil (que Vincentchounet a plutôt long)- dans cette seconde partie, mais c'est fait exprès, parce qu'il dérape dans une autre direction (genre demi-tour au frein à main) et qu'on n'a pas eu encore beaucoup l'occasion de voir Mister Macaigne dans ce registre-là.
Guillaume Brac l'avait déclaré dans une interview, que Tonnerre se ferait contre Un monde sans femmes, en ce qui concerne notre personnage principal masculin chéri à poils longs, comme pour casser une image de douceur, de gentillesse, voire de maladresse (mais que, somme toute, on finit par retrouver, non ?)
Une jolie chronique hivernale, moitié enneigée, moitié cafardeuse, où finalement il n'est question que de ce qui nous intéresse principalement, nous les midinettes et les midinets (ça m'a fait encore plus plaisir que Vincent Macaigne utilise ce mot pour se définir, dans la réponse qu'il a donnée aux Cahiaîs pour leur n° 700), je veux dire l'amour bien sûr (et pas la baise, non non, surtout pas que). Avec ce personnage de musicien qui n'est finalement pas si éloigné de celui, magnifique, que joue Gustave Kervern dans le tout aussi magnifique Dans la cour, de Pierre Salvadori (à ce propos, Pépin, tu m'énerves, voilà, c'est dit...) chacun des deux réglant à sa manière personnelle son propre probléme.
Il y a dans Tonnerre une petite chose un peu génante, mais c'est tellement systématique que cela ne peut être qu'intentionnel, un parti-pris : hormis les trois personnages principaux (le père, l'amant, la maîtresse) qui sont toujours extrêmement justes, on ne peut pas en dire autant de la majorité des personnages qui les entourent (dont on peut penser sans doute que pas mal d'entre eux jouent leur propre rôle, et ce probablement pour la première et la dernière fois) qui, s'ils n'ont  que peu de choses à dire, le font à chaque fois avec une touchante maladresse (c'est le critique de écranlarge.com qui (me) l'a fait remarquer.)
Mais là n'est pas le plus important (les gens). Il s'agit bien davantage des lieux (l'esprit des lieux), de la réalité (du réel, du solide, du concret) et de la façon dont le corps de chacun s'y inscrit. Et là, la réussite de Guillaume Brac est incontestable. Un excellent fait d'hiver, un récit attentif avec du froid et de la neige (des fois vraie et des fois fausse : je suis obsédé par ce détail dans les films et j'y suis très attentif), et traversé par les chaleurs diverses de l'amour, de la colère, de la vengeance, et peut-être aussi du pardon...
Un film blanc et rouge. Un sacré beau film.

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11 mai 2014

vingt et quelques albums dont on ne se lasse pas

des albums où tout est bon ou presque, des albums qu'on a beaucoup écouté, des albums qu'on réécoute sans se lasser, des albums qui ont compté, qui comptent, des albums qui font date, pour une raison ou pour une autre, des albums amis, accompagnateurs, des albums toujours présents...

ORANGE MECANIQUE Soundtrack (1971) /
Une colo maternelle à Bolandoz où on écoutait ça en boucle... / beethoven / un disque très joyeux, complètement détaché de la violence du film / quelque chose de plaisant et d'ensoleillé...
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CABARET Soundtrack (1972)/
"Wilkomen, bienvenue , welcome..." / beaucoup écouté, et beaucoup chanté aussi / "Im cabaret, au cabaret, to cabaret..." / un film revu dans une petite salle du Vox, un soir avant de partir à Avignon / "Money makes the world go round... / une histoire de pull entre deux mecs...
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ROCK BOTTOM de Robert Wyatt (1974)/
Si je ne devais garder qu'un seul disque, ce serait sans doute celui-là... / une expression sublime de la douleur et/ou de la tristesse... / un univers aquatique / la voix si singulière de Robert W... / l'es claviers, la trompette / "Alifib, alifib..."
index

ROCK AROUND THE BUNKER (Serge Gainsbourg) (1975)/
le plus percutant et le plus provo des disques de Gainsbarre / un concept album sidérant pour l'époque / je l'avais en disque noir... / j'aimerais en savoir tous les textes par coeur/ j'entends des voix off / "Maquillez vos lèvres les gars avec des rouges délicats..." /réécouté à Gy il n'y a pas si longtemps...
rockaroundthebunker

EINSTEIN ON THE BEACH Phil Glass (1976) /
une performance live hélas ignorée à Avignon en 76 / beaucoup plus tard, un anniversaire d'Emma, avec un disque acheté en suède (!) / "Bank robbery may be punishable with twenty years in federal prison..."
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MUSIC FOR 18 MUSICIANS Steve Reich (1978) /
"On dirait des mouches dans une boîte"... / et, beaucoup plus tard, une chorégraphie de Ann-Theresa de Kersmaeker... / une structure musicale envoutante, hypnotique
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SO (Peter Gabriel) 1985 /
un album quasiment parfait /Toute une époque / Momo.../ un concert à Lyon / le clip de Do'nt give up / la voix de Kate Bush /  "les petites chaînes"...
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POP SATORI Etienne Daho (1986) /
celui-là d'abord acheté en format "disque noir"... / toute la légèreté pop de la trentaine insouciante... / Vaux-le-Moncelot / le ravissement du début de Tombé pour la France,...
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SOLITUDE STANDING de Suzanne Vega (1987) /
Que des souvenirs agréables rattachés à ce disque / une ambiance ouatée, textes et musique / Oh hold me like a baby that would not fall asleep... / Gray, plutôt...
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IN THE DUTCH MOUTAINS de The Nits (1987) /
Momo, bien sûr... / les concerts au Montjoye / le groupe que j'ai sans doute vu le plus de fois en live / j'ai encore gardé l'affiche originale.../ "mountains... mountains..."
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RE de Rita Mitsouko (1990) /
Il fut beaucoup dansé sur ce disque... / C'est comme ça, bien évidemment / "This is not a compilation"... / Oh toutes ces belles guitares... / "don't forget the night..."
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THE BELLY OF AN ARCHITECT soundtrack (1992) /
Greenaway pour la première fois sans Nyman / Wim Mertens et Glenn Branca... / Oh les photocopies et le bidon de Brian Dennehy...
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HAPPINESS de Lisa Germano (1993) /
un univers magnifique (ah les guitares à l'envers...) / un coup de maître pas réitéré / une virée à deux à Dijon / Fnac Dijon :"celui-là, tu l'as ?" / Gy /...
LisaGermano

BRIGHT RED de Laurie Anderson (1994)/
Un disque longtemps attendu et beaucoup beaucoup écouté / "You know that little clock, the one on your vcr..." / "Tu l'attends trop, ton disque..." / Je déménage...
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PLAY (Moby) 1999 /
un disque que j'ai vraiment cherché un certain temps / l'occase de l'oncle Tom / un noël à Champlitte / Porcelain... / "Tell the truth you never wanted me..."
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THE LAST ROMANCE (Arab Strap) (2005)/
c'est un peu de la triche, car je n'ai écouté cet album de 2005 qu'en 2014 / redécouverte de ce duo écossais dont j'avais tous les albums, qui a hélas splitté / "explicit lyrics" / un disque qui sent la baise triste / un univers qui me convient parfaitement
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L'HORIZON (Dominique A) (2006) /
suite à un concert magnifiques aux Eurocks / je serai ta pleureuse / l'infiniment belle tristesse de Rue des marais / les Beaux-arts...

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A BRIGHTER BEAT (Malcolm Middleton) (2007) /
la suite logique d'Arab strap et un coup de foudre pour ce "géant rouquin et barbu" dont j'ai alors acheté TOUS les albums / celui-ci est le premier découvert / "We're all going to die.." sur un rythme guilleret et très speed / un état d'esprit qui me sied tout particulièrement...
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HIGH VIOLET (The National) 2010 /
"le meilleur groupe du monde" disait ce critique / la voix du chanteur qui fait dresser les poils... / les deux paires de frangins... /" I still owe money, to the money I owe..."
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A SECRET WISH (de luxe)  (Propaganda) (2011 reissue 1985) /
les années 80 / Zang Tumb Tumb records / Mabuse et compagnie / magnifique et ultracopieuse réédition
/ "just a dream, within a dream..." / quand on partait en voiture le matin de Besançon à Gray...
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LES BIEN-AIMES (Bande originale) d'Alex Beaupain (2011) /
un film que j'ai adoré, et une bande originale idem /Beaupain fait très fort, et les acteurs -interprètes aussi / Chiara Mastroianni au-delà des éloges, mais Deneuve, Garrel, Sagnier et tous les autres assurent grave/ "Mademoiselle est-elle telle..." / "J'en passerai des meilleures..." / "Jeunesse se passe et je m'y fais..."

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UN OISEAU S'EST POSE (Gérard Manset) (2014) /
ce vieux Manset qu'on connaît depuis 70 et qui a la bonne idée de ressortir un "best of" live, revisitant avec sa voix de 2014 -que j'adore- les "morceaux-phares" de son oeuvre / Lumières, echinodermes, matrice...
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