Valentine doit me couper les cheveux (je pense que c'est quelque chose que je lui dois, en quelque sorte, puisque la dernière fois c'est quelqu'un d'autre qui me les avait coupés)
je suis donc en voiture avec elle et (Michel ?) il est question de faire des courses, peut-être d'acheter de la viande
je suis assis dans la rue, sur un espèce de truc en plastique qui délimite un genre de garderie (c'est assez rudimentaire et plutôt mal fait) cette garderie est située à la place du kebab, à côté du marchands de journaux, en face de monop, dans la réalité) je suis à présent à l'intérieur de la "garderie" en question, je m'occupe d'un bébé (qui à la tête bizarrement grosse, ou plutôt qui a une tête normale, mais avec une grosse excroissance de chair derrière, ça fait un gros pli très mou, et ce n'est pas très joli à regarder). c(est le bébé de sandrine g. qui vient le récupérer, je le pose sur la table pour qu'elle puisse le changer, et sur la table, en formica jaune, il y a plein de miettes de pain...
je suis au théâtre, à vesoul, pour deux raisons : d'abord, ce soir, je vais voir un spectacle (Philippe Genty ?) et ensuite nous allons rejouer Le Songe d'une nuit d'été (j'ai le texte -version L'avant-scène- dans mon sac)
nous sommes dans les coulisses, il y a un mec et une nana qui font un genre de performance en faisant tourner sur place des projecteurs déjà installés (et je crains que ce ne soit ceux du spectacle qu'on va voir ensuite...)
toujours dans les coulisses, nous devons monter dans un genre de camion poue rejoindre le théâtre, le chemin est très étroit et très encombré, à un moment on s'arrête parce qu'il y a un grand trou dans la "route", et on suppose que le camion ne pourra pas continuer, mais la chauffeur met devant nous un espèce de morceau de contreplaqué, et dit que ça va aller
(j'ai ouvert mon sac, et je sors mon texte du Songe, car, bien évidemment, je ne me souviens plus de rien)
nous sommes devant le théâtre (ou plutôt dans le théâtre), je me décide à expliquer à Valentine que je crains que, si elle me coupe les cheveux, elle coupe ma mémoire avec, et qu'il vaut mieux donc qu'elle ne le fasse pas ; elle a l'air un peu sceptique mais elle accepte...
(s'ensuivent des discussions compliquées sur le fait de savoir si on va jouer avant ou après le spectacle qu'on va voir, mais, surtout, du nombre de représentations : (?) est fier, il nous dit qu'il a réussi à faire baisser celui-ci de 4 à 3... mais la seule chose qui me préoccupe vraiment, c'est de récupérer mon texte que j'ai laissé "en haut", dans les coulisses, quand on est sorti du camion..
je dois donc "remonter" pour le récupérer... il y a un genre de structure métallique, avec des câbles, des planches, des tiges métalliques, que je dois escalader (ce n'est pas très "logique" question topologie, je m'en rends compte, les éléments changent ou ne se raccordent pas comme il faut) j'arrive devant un genre de fenêtre assez haute qui ouvre sur une pièce dans laquelle se tiennent des gens (des acteurs de la troupe ?), j'avise notamment Marcello et Nanou, et, comme je n'arrive pas à me hisser sur le rebord de la fenêtre (elle est du style oscillo-battant), je leur propose de me tirer, chacun par une main, pour me faire rentrer... ils ne tirent pas assez fort (ou ils ont l'air de prendre ça à la légère) j'explique qu'ils doivent tirer vers le haut, mais rien n'y fait... Pépin alors dit quelque chose, derrière moi, et j'arrive à lever ma jambe pour me hisser tant bien que mal sur le rebord de la fenêtre, et Pépin explique que, voilà, pour le faire, il a suffi que je sois un peu motivé...
je parle avec Pascal et Manu, qui évoquent plusieurs nombres... et me disent en riant que la somme est 5 et que 5 est justement "notre chiffre porte-bonheur" (je comprends qu'ils font référence à quelque chose de la pièce qu'on a joué / qu'on va jouer ensemble, mais qui n'évoque absolument rien pour moi
je marche dans le théâtre, je soulève un rideau genre grosse bâche de plastique, et je m'aperçois que c'est la scène où va se jouer le spectacle du soir (celui qu'on va voir, pas le nôtre) : espace circulaire, et beaucoup de projos, qui forment eux aussi un cercle parfait...