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lieux communs (et autres fadaises)

9 avril 2013

ne regrette rien

(ce moment qui me fait venir les larmes aux yeux quand Orelsan débarque après Benjamin Biolay, puis reprend, juste à la fin)

[Orelsan]
Interroge l’avenir, sonde les astres
Peu d’options : relations néfastes, nos passions trépassent
Si l’amour est dans l’air j'fais d'l'asthme
Ne regrette pas les spasmes
Les vibrations, l’excitation, les nuits d’action
Le ciel est gris, les anges pleurent
Les nouvelles déceptions feront les vieilles rancœurs
La routine, les sales manies, les mauvaises habitudes prennent de l’ampleur
Ton quotidien cohabite mal avec mes rêves de branleur
Trop d'menaces pour un seul couple de maîtres-chanteurs
Les mêmes disputes et j'discute avec le sampleur
Et j'discute avec le sampleur
Et j'discute avec le sampleur
Et j'discute avec le sampleur
Et j'discute avec le sampleur

8 avril 2013

sch'dy

THE PLACE BEYOND THE PINES
de Derek Cianfrance

Celui-là, j'ai dû vaincre mes quasi-phobies envers les mecs très tatoués pour réussir à y aller. Ca passait en vo dans le bôô cinéma, alors j'ai tout de même fourni l'effort nécessaire pour le voir, à la dernière séance accessible, mais avec l'Almodovar comme rampe de lancement, ça favorise l'élan.
Et puis (comme beaucoup) j'aime bien Ryan Gosling, (bogosse sexy) qui nous refait là le coup du personnage de Drive, mais avec donc beaucoup de tatouages en plus (et des t-shirts à l'envers). Ce que la pub ne disait pas, et ce que je ne devrais peut-être pas dire (si vous avez envie d'aller voir le film sans rien savoir de plus qui gâcherait votre plaisir, arrêtez-vous!) c'est qu'il nous fait le coup de Janeth Leigh dans Psycho et que, donc, à la moitié du film, sans crier gare, il passe le relais à Bradley Cooper (autre bogosse sexy) qui cèdera lui-même la place  dans une troisième partie "quinze ans après" à leurs deux fils respectifs (bogosses aussi, tels pères tels fils). Autant dire que c'est sacrément une histoire de famille(s), doublée d'une histoire de rachat(s). (Gosling qui tente de se racheter en braquant des banques pour subvenir aux besoins de son fils, Cooper qui tente de se racheter de la culpabilité causée par l'homme qu'il a tué, et le fiston essayant de rattraper tout ça, et finissant par le rachat -au sens strict- ultime, celui de la moto de son père .)
Un film juste, ricain, justement ricain sans doute aussi (certains ont jugé que la dernière partie était un peu trop "surlignée") à la construction habile. La première partie centrée sur un cascadeur-braqueur qui se découvre soudain une famille, la seconde sur un jeune flic ambitieux prêt à tout pour faire carrière, tandis que la conclusion fait se rencontrer leurs fils respectifs (même âge mais pas exactement même destin, l'un fils à papa glandeur et l'autre lui servant grosso modo de dealer, jusqu'à ce que le fils de Gosling découvre qui était son père, et qui est le père de l'autre, dans une ultime partie où la boucle de violence est bouclée -lors d'une éprouvante scène qui met en scène l'ado, le papa flic et un gun-.
Un film efficace, par la justesse de ton de sa chronique sociale (l'ambiance de "fête foraine", de zone et de mouise de la première partie est tout aussi bien rendue que celle de commissariat, de flics ripous et d'ambitions électorales de la seconde), par la présence des acteurs principaux (qui, finalement, et curieusement, auraient pu être interchangeables, non ?) et celle des deux jeunots qui leur succèdent.), sans oublier une Eva Mendes (oui, la pin-up maussade de Holy Motors) que -je l'avoue- je n'ai identifiée qu'au générique de fin, tant elle est crédible et juste dans son rôle de serveuse larguée.
Deux heures vingt d'America de cette trempe, et en vo, ça ne se refuse pas.

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(et trois affiches pour le prix d'une!)

7 avril 2013

trois rêves notés sur le carnet de la table de nuit

un

une lettre pliée "en petit bateau" (c'est très facile à faire) par le papa de Mohamed-Adem (ou peut-être son frère ?)

je suis avec gros momo (il est adulte) et nous nous roulons sur un genre de canapé en tournant une scène de porno soft (on se roule une pelle)

la vieille qui me renverse exprès du thé sur le ventre (j'ai volé 10€)

"il est en train de la tuer juste au-dessus de nous!"

la nana (Neve campbell?) dont j'ai la boîte qui résume sa vie (je me souviens que, dans le résumé du film de sa vie, elle vend "le shit de sa vie"

avant, j'ai fumé, dans une bagnole, avec une famille (elle a failli vomir, mais moi je ne sentais rien)

L'appart' de Manu et Claude est à gauche dans la rue en montant

 

deux

Je suis en stage à Strasbourg (ou à Metz ?) j'y retrouve Catherine S.
Elle m'incite à sécher la première matinée, nous allons au restaurant alsacien (devant lequel plein de gens font la queue mais elle les grille, passe devant tout le monde, monte les escaliers, ouvre la porte et rentre dans le restaurant

je la suis mais pas tout de suite

je traverse le restaurant (chinois, "Au dragon d'or") à sa recherche, j'arrive à l'autre bout je pousse la porte et me retrouve sur le parking, à l'extérieur, j'aperçois eric b. dans savoiture qui démarre, mais il s'en va avant que j'ai pu faire un geste pour l'appeler

je ne peux pas revenir en arrière, et si je veux la trouver, je dois refaire tout le tour par l'extérieur (dans la rue)

je n'avais pas réalisé qu'il fallait s'occuper de l'hébergement, pour ce stage, ni qu'il y aurait 30km à faire chaque matin pour se rendre sur les lieux de stage

voilà, Catherine, il faut qu'on échange nos numéros de portables, mais finalement c'est avec une fille que je ne connais pas du tout que je fais cette opération (elle a un numéro qui commence par 05) et j'ai beaucoup de mal à le faire, je n'y arrive d'ailleurs pas

finalement on y est dans ce restaurant, il me semble que je finis les plats de plusieurs personnes, le serveur arrive avec ddes ananas grillés en tranche sur un plat, et il met le plat entre notre table et la table voisine, et chacun des deux tire sur les tranches d'ananas pour les avoir sur sa table (les ananas s'effilochent et se déchirent)

 

trois

Je me dispute avec Dominique (je tiens un livre de poche assez gros que j'essaye d'entourer avec un élastique mais je n'y arrive pas)

elle est en larmes, et me fait comprendre qu'il vaudrait mieux sortir pour se parler dehors

je lui crie (je suis énervé) qu'elle a un comportement insupportable, et que je ne suis pas le seul à le penser, que les autres personnes le pensent aussi

elle me dit "très bien, puisqu'on se dit tout..." je pense qu'elle va me faire des révélations mais elle commence à me parler de pépin

dans sa nouvelle pièce (c'est embrouillé) je finis par proposer de faire "une fausse soupe aux couilles" (je pense que j'y mettrais de l'eau, de la farine, et peut-être des quenelles coupées en tronçons) pépin dit que c'est une excellente idée, que je devrais approfondir ces expériences culinaires (et je me dis que d'apporter une soupe à la troupe au milieu du spectacle, ce serait une bonne façon de rester en contact avec eux)

une répétition où on fait un genre de ballet collectif (on est tous serrés sur le bord d'un terrain de sport en salle, en bois, avec des marques au seul, peut-être qu'on lève les bras, sentiment d'excessive promiscuité)

à table, beaucoup de gens (il ya notamment catherine, la fille d'elizabeth à côté de moi), il est question de fromages joliment découpés, puis de fruits idem

*

 

7 avril 2013

mamada

LES AMANTS PASSAGERS
de Pedro Almodovar

Dès la première fois que j'ai vu la bande-annonce, j'ai eu envie de le voir. Enfin le retour de l'Almodovar que j'aime, celui de Femmes au bord de la crise de nerf disons. Le réalisateur furieusement pédé et glamour qui raconte des histoires drôlement barrées, et plus tu charges la barque, plus c'est efficace, et plus tu te lâches et plus j'en redemande...
Oui, notre Pedrito, enfin sorti de son ibère nation (ou, plus justement, y revenu), nous offre un huis-clos dans un avion español qui tourne en rond au-dessus du pays (et qui risque de se scratcher pour cause de train d'aterrissage bloqué, tout ça à cause d'Antonio Banderas et de Penelope Cruz sur le tarmac, si si!), un avion dont toute l'équipe mâle est, elle-aussi (!) furieusement pédé (ou sur le point de le devenir), et passe son temps à se siffler des téquilas,  gober divers adjuvants psychotropes, lever les yeux au ciel en faisant des mines, mater les braguettes des jeunes mariés, dire des horreurs avec la bouche en coeur, j'en passe et des meilleures.
Les passagers en classe éco ont été drogués et pioncent joyeusement, ils ne savent pas ce qu'ils perdent (sauf un qui va se réveiller quasi en plein orgasme), pour le reste on navigue entre la classe affaire, la guitoune des stewards et la cabine de pilotage, avec tout un catalogue de personnages almodovariens a donf (une vierge médium, une star des médias parano et branchée sm, un tueur à gages gominé et romantique, un don juan menteur, un financier véreux, un couple de jeunes mariés où elle est somnambule et lui a dissimulé de la dope dans son orifice le plus intime, etc.) Dans la cabine ça ne va pas mieux, le pilote sort avec un des stewards mais n'ose pas en parler à se femme, tandis que son co(-pilote) qui se présente dans un premier temps comme infailliblement hétéro avoue lui avoir taillé une petite pipe, pour ne pas mourir idiot, mais parce que, figurez-vous, il était bourré, n'est-ce pas...
Et tandis que l'avion tourne en rond sans pouvoir atterrir, les petites histoires se font et se défont, les personnages se racontent, s'engueulent, téléphonent avec le téléphone de secours (qui, problème de haut-parleur, laisse entendre à tout le monde la voix du correspondant) pour tenter de régler leurs problèmes, tandis que nos trois stewards follasses machos mais pas trop continuent d'assaisonner de leurs vacheries tout ce petit ballet aérien... Dans cet avion-là il ya du cul, certes, mais aussi de l'amour, des mensonges, des regrets, des coups de foudre et des révélations, dans la grande tradition almodovarienne.
Avec un final assez impressionnant dans un véritable aéoroport véritablement vide (un véritable scandale financier espagnol). mais, sous la mousse, la vie reprend ses droits!
Ca se voit avec grand plaisir, ça s'oubliera sans doute assez rapidement, mais il faut reconnaiître qu'on passe un très très agréable moment à s'envoyer en l'air avec ces zoulous-là. Vous reprendrez bien un peu d'agua de valencia, maricones ?

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2 avril 2013

*** bis (?)

(un autre)

... ça faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé (depuis 2005 quasi, c'est dire!) de "falling in love again" (c'est très juste, finalement, cette idée de chute, autant en français qu'en anglais... J'imagine que Roro Barthes a du gloser là-dessus dans ses Fragments...)

et me reviennent aussi sec deux phrases, de deux amies, la première de Dominique ("tout sauf tomber de nouveau amoureuse...") et l'autre de Malou, plus récemment ("mais est-ce que des fois tu tombes amoureux de quelqu'un de ton âge ?"), je pourrais même en ajouter une troisième, d'une autre amie, il ya beaucoup plus longtemps (Emma : "mais qu'est-ce que tu attends de lui ?") encore une fois parfaitement adaptée à la situation...

le jeune homme en t-shirt de 2005 frisant maintenant la trentaine (et n'ayant plus donné aucun signe de vie depuis 2011 me semble-t-il), je l'avais dans un premier temps remplacé par rien, et c'était très bien comme ça. Ouf!

et, bien que je n'ai rien fait pour, voilà que ce rien est devenu quelque chose, quelqu'un plutôt, et ce, voilà quelques semaines. Je n'en ai parlé à personne (ce n'était pas l'envie qui m'en manquait, mais, à quoi bon, finalement, hein ?) sauf, l'autre soir, sur msn, à Y. (qui passe d'ailleurs ici de temps en temps, me semble-t-il) qui me prêta une oreille attentive (oui, il n'y a guère qu'à lui que je pouvais en parler - et, pourtant, est-ce judicieux de parler d'une vélléité amoureuse à un "ex" qu'on laissa tomber quelques années auparavant ?-) et attendrie.

il me "connait un peu" et me sait midinet, apte aux épanchements lacrymaux autant qu'aux bondissements joyeux, sujet à l'amourachement (tiens, ça rime bien avec arrachement ou détachement) et finalement, (et heureusement) ne m'a donné aucun conseil, ni dans un sens ni dans l'autre, juste me suggérant que je pourrais le prendre en photo avec mon téléphone (mais ceci était surtout je pense pour pouvoir assouvir sa curiosité)

(charybde et scylla) *** était un jeune hétéro de 25 ans, celui-ci est à peu près visiblement le même en couleur, sauf qu'il jouit d'un statut particulier qui laisse penser
1) qu'il a été "cabossé" par la vie
2) qu'il ne restera peut-être pas là très longtemps

je n'ai la possibilité de le voir que deux fois par semaine, mais je ne sais pas si c'est bien (bon) pour moi : si je ne le vois pas, je serai un peu tristoune, mais si je le vois, je sais, qu'après, je serai un peu tristoune aussi...

tout ça parce que la première fois que je l'ai vu, il m'a accueilli d'un bonjour franc avec un vrai sourire, qui, rajouté à son look (la barbe, les boucles, la casquette) m'a fait me demander si je n'étais pas soudain victime d'une quelconque caméra cachée. j'essaie d'être raisonnable et de ne pas y aller à chaque fois, mais c'est plus fort que moi

bien entendu, la première fois, je n'ai pas réussi à balbutier plus que quelques mots (je me faisais penser à un poisson sorti de son bocal) tant je me sentais ravi, les fois suivantes, ce fut à peine un peu mieux.. .J'arrive à émettre d'autres sons que des "hin hin" stupides

et chaque semaine, je suis content quand je grimpe cet escalier (ému et rosissant comme un fiancé, hinhin) , et j'ouvre la porte, et je dis bonjour, et je guette les changements (tiens il est sans casquette, tiens il a coupé un peu la barbe, tiens il a l'air moins joyeux que d'habitude)

c'est à peu près complètement sans issue, je pense, mais, comme dirait Tchekhov "si je ne pose pas la question, au moins il me reste l'espoir...".

et puis, ça m'occupe, hein

les échelons de l'amour

1 avril 2013

micro117

*

dernière image d'un rêve : une Grande Ourse en petit pois sur un carrelage de cusine

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nuancier du ricoré matinal

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un jeune maçon poupin visiblement perplexe quant à la façon de manger son éclair au chocolat, et qui finit, avec courage,  par l'attaquer frontalement plutôt que longitudinalement.

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ce même jeune maçon, un autre jour, sommé par ses coreligionnaires de rapporter tous leurs plateaux entassés sur le sien

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"le gentil lièvre de pâques,
tralala tralala

le gentil lièvre de pâques,
qu'est-ce qu'il nous apportera ? (bis)"

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et je repense alors à ce roman de s-f intitulé "l'hiver éternel"

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Une conjonction quasi-miraculeuse qui fait que soudain, tout ce qui semblait aller de traviole, et heurter, et faire mal, soudain s'ordonne, se met en place, se dénoue, pour le bonheur de chacun. Pour cela qu'a-t-il fallu ?

*

(rêve) une façon de plier une enveloppe (contenant du courrier) en petit bateau, d'une simplicité désarmante : pourquoi donc n'y avais-je pas pensé plus tôt ?

*

 Souvenons-nous en bien : le 1er avril, tout à fait extraordinairment, il a fait SOLEIL!

*

 mis un certain temps à me rendre compte qu'on était passé à l'heure d'été

*

24 mars 2013

shooter island ?

THERAPIE
de Sebastian Fitzek

Le résumé m'avait accroché, les critiques sur le ouaibe étaient plutôt enthousiastes, et donc je me suis lancé (je l'ai acheté chez mon petit bouquiniste qui -hum hum - m'a quand même revendu un cadeau promotionnel interdit à la vente, c'était bien spécifié derrière en petit).
Une enfant disparue dans la salle d'attente d'un médecin, son père fou de douleur et... quatre ans plus tard (l'auteur aussi met systématiquement des trucs en italique pour bien insister), le voilà reclus sur une île quasi-déserte (tiens!) où arrive une jeune femme bizarre (tiens tiens) qui se présente comme schizophrène (tiens tiens tiens) et lui demande de la soigner (le papa en question était psy), et commence à lui raconter que les personnages des romans qu'elle écrit lui apparaissent, et que, justement, le personnage du dernier bouquin ressemble étrangement à la fillette disparue... Il a fort envie de savoir la suite de l'histoire, et à partir de là vont se déchaîner les élements : une tempête qui coupe l'île de toute communication avec l'extérieur (tiens tiens tiens tiens !) des événements incroyables et mystérieux se précipitent (au milieu du bouquin, j'ai commencé à avoir vraiment  la trouille, je vous l'assure) on ne sait plus vraiment qui est est, qui fait quoi, on n'est plus sûr de rien, la pression monte redoutablement jusqu'à ploutch! un dénouement qui fait un peu pétard mouillé, suivi d'un post-dénouement, qui, lui, vire carrément au bêta... On dirait qu'on a greffé un autre roman sur le corps du précédent.
Il est évident que l'auteur a lu Shutter Island, de Dennis Lehane, car toute la partie centrale du bouquin (sur l'île) y fait tout de même furieusement penser. C'est certes efficace, mais bon tout ça est tout de même extrêmement gratuit (c'est sans doute pour ça que le bouquin l'était, hihi!) Et décevant, donc. Tout ça pour ça ?

therapie-sebastian-fitzek-L-1

 

24 mars 2013

semaine latino 2

Les deux projets que j'avais conçus :

 

semlatino2

semlatino2images
(c'est affolant la quantité d'informations qu'il faut faire figurer - cohabiter - tout en gardant néanmoins un aspect "esthétique" et plaisant à l'oeil, c'est pourquoi la deuxième est restée dans mes cartons...)

22 mars 2013

c'est la fin de l'hiver...

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...oh les jolies promenades citadines, pour peu qu'on ait l'oeil frais et dispo...

19 mars 2013

micro116

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dès qu'on est en mars, l'espoir revient

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 "le flair à chair de spectacle"
(derniers mots d'un rêve / ce qui reste au réveil)

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 Nous sommes sortis de la salle au milieu du film parce qu'il y avait le feu dans le cinéma

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"Et qu'est-ce que c'est, ce que je fais, moi ?
Un trou dans l'eau..." (Celibidache)

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 "Choisir ou ne pas choisir, c'est toujours choisir."
(P.Lemaitre)

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 il y a pléthore de bactéries dans le nombril.

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 j'ai confondu pendant un certain temps Gérard Mordillat et Romain Goupil.

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mercredi 13 mars, 8h02 : ça y est, il reneige.

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"Tristesse - la fatigue qui entre dans l'âme. Fatigue - la tristesse qui entre dans la chair."
(C. Bobin)

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"Prenez garde à la tristesse, c'est un vice."
(G.Flaubert)

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"Plus la tristesse évide l'intérieur de votre être, plus vous pouvez contenir de la joie."
(Khalil Gibran)

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 J'ignorais que c'est Gene Kelly qui a réalisé Hello Dolly

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 L'album de Bachar Mar-Khalifé est beau à pleurer.

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