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lieux communs (et autres fadaises)

24 décembre 2021

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23 décembre 2021

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22 décembre 2021

festival téléramuche : version revisitée

FESTIVAL Téléramuche 2022 :

15 films :7 films!

Aline de Valérie Lemercier – Gaumont (VF-STME et AD) (ça passe en ce moment dans le bôô cinéma)

Annette de Léos Carax – UGC (VOST) (on l'a programmé)

Compartiment n°6 de Juho Kuosmanen – Haut et Court (VOST) (on l'a programmé)

Drive My Car* de  Ryusuke Hamaguchi – Diaphana (VOST) (on l'a programmé)

First Cow de Kelly Reichardt – Condor (VOST) (on l'a programmé)

Illusions perdues* de Xavier Giannoli – Gaumont (VF-STME et AD) (on l'a programmé)

Indes Galantes de Philippe Béziat – Pyramide (VF-STME et AD) (on l'a programmé)

Julie (en 12 chapitres)* de Joachim Trier – Memento Distribution (VOST) (on l'a programmé)

La Fracture de Catherine Corsini – Le Pacte (VF-STME et AD) (on l'a programmé)

La Loi de Téhéran* de Saeed Roustayi – Wild Bunch (VOST) (on l'a programmé)

Le diable n’existe pas* de Mohammad Rasoulof – Pyramide Films (VOST)

Le Sommet des Dieux* de Patrick Imbert – Wild Bunch (VF-STME et AD) (on l'a programmé)

Les Olympiades de Jacques Audiard – Memento Distribution (VF-STME et AD) (on l'a programmé)

Madres Paralelas de Pedro Almodovar – Pathé Distribution (VOST) (il passe cette semaine dans le bôô cinéma (pour peu de séances, il est vrai)

Nomadland* de Chloé Zhao – The Walt Disney Company France (VOST) (on l'a programmé)

Prix du Public Jeune :

Dune  de Denis Villeneuve – Warner Bros Entertainment France (VOST) (c'est passé dans le bôô cinéma, et on a même eu droit à quelques séances en VO!)

Avant-premières :

Ils sont vivants de Jérémie Elkaïm – Memento Distribution – Sortie le 23 février 2022

Les Jeunes Amants de Carine Tardieu – Diaphana – Sortie le 2 février 2022

Nos âmes d’enfants de Mike Mills – Metropolitan – Sortie le 26 janvier 2022

Un autre monde de Stéphane Brizé – Diaphana – Sortie le 23 février 2022

Un monde* de Laura Wandel – Tandem – Sortie le 26 janvier 2022

Vous ne désirez que moi de Claire Simon – Sophie Dulac – Sortie le 9 février 2022

ainsi en a décidé -au nom de quel(s) mystérieux critère(s) de choix- le programmateur du bôô cinéma, et je ne décolère toujours pas (mais ça passera, va...)

22 décembre 2021

k7 pour k7

LES MAGNÉTIQUES
de Vincent Mael Cardona

C'est Zabetta qui avait proposé ce film (dont je ne savais rien, et dont l'affiche n'était pas particulièrement attractive) et donc j'y suis allé avec mes copines (Emma, Catherine, et Dominique) jeudi après-midi dans la salle 10 du bôô cinéma.
Eh bien Zabetta avait raison, c'est un très chouette film. L'histoire de deux frères (c'est le plus jeune qui raconte leur histoire), et de l'admiration que le plus jeune porte à son grand frangin, avec qui il anime une petite radio locale (pirate ?). Une histoire de fratrie, et de nostalgie aussi, puisqu'elle débute le 10 mai 81, le soir des résultats à la télé de l'élection présidentielle (j'avais 25 ans en 81, et je me souviens que ce soir-là j'étais à Besac, et de l'immense joie -et espoir- que ça avait provoqué, on se congratulait par les fenêtres ouvertes avec les voisins de l'autre côté de la rue, pire qu'une Coupe du Monde!), bref, déjà rien que ça, ça remue des choses!
Philippe, le narrateur, est un bidouilleur de sons, avec les moyens du bord (à l'époque, il est surtout question de la K7 audio -autre raison de faire remonter une vieille nostalgie de mix(es) amoureusement confectionnés (souvent à Vaux, chez Emma et Régis, qui avaient été les premiers à s'équiper d'un lecteur CD et d'une platine double-k7...), de jaquettes chiadées, de lettrasets à grattouiller pour composer les titres - je vais vous faire une confidence, les miennes, il m'arrive de les écouter encore, quand j'ai déménagé, j'ai acheté une platine double K7...).
81, les K7, voilà déjà deux feux de bengale allumés (des cierges magiques, plutôt), et en voilà un troisième qui se met à phosphorer lorsque le narrateur part faire "ses 3 jours" (nous c'était à Mâcon si je me souviens bien, quelle horreur mon dieu quelle horreur) avec la ferme intention de finir P4, comme son grand frère et ses potes, mais pour qui, manque de bol, ça va foirer, et qui va se retrouver envoyé à Berlin (avec une reconstitution, qu'on suppose autobiographique, des joyeusetés de la vie de troufion et des ambiances de chambrée -cf le jeu dit "de la biscotte" qu'on n'entr'aperçoit que fugacement-).
Philippe est à Berlin, mais il pense à Marianne, au départ pourtant la copine de son frère, mais dont il est soudain tombé très amoureux (une émission de radio sera ainsi l'occasion d'une déclaration d'amour bidouillée en live, une des scènes les plus touchantes  du film...).
La multiplicité des scénaristes (ils sont 6 au générique!) explique peut-être la structure en dents de scie du film (des scènes très fortes, puis d'autres plus flottantes, pour un récit à la structure instable), mais on s'en fout on lui pardonne tout! Des acteurs non-professionnels pour la plupart- qui vous tendent le miroir où se reflète votre propre jeunesse, rien que pour ça, on les en remercie.
Et la bande originale est à la hauteur (plusieurs fois j'ai eu les larmes aux yeux en écoutant certains morceaux, certains que je connaissais -Passenger, d'Iggy Pop, toujours aussi plaisant- et d'autres non (le premier morceau de Joy Division, tout au début, qui oui m'a fait pleurer...
(Merci Zabetta d'avoir insisté pour qu'on le programme!)

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22 décembre 2021

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21 décembre 2021

les deux grégory

CHERE LÉA
de Jérôme Bonnel

J'étais agréablement surpris de voir le monde qu'il y avait dans la salle pour cette première séance bisontine de ce nouveau film de Jérôme Bonnell, cinéaste que je porte indéfectiblement en mon coeur (d'abord,très haut, J'ATTEND QUELQU'UN (2007), mais juste après tous les autres : A TROIS ON Y VA (2014) LE TEMPS DE L'AVENTURE (2013), LA DAME DE TREFLE (2008), sans oublier ses débuts avec  LE CHIGNON D'OLGA (2001) et LES YEUX CLAIRS (2004)...)
Jérôme Bonnell est un metteur en scène à actrices : Nathalie Boutefeu (2 fois), d'abord, puis Florence Loiret-Caille (2 fois) , Emmanuelle Devos (3 fois), et, dernière arrivée, Anaïs Demoustier (2 fois). Et, de la même façon, Jérôme Bonnel est un metteur en scène du sentiment, de la rencontre, de l'histoire d'amour, ce qui, bien sûr, me ravit.
D'autant plus qu'il prend soin, face à ses héroïnes, de placer des héroïns d'envergure (qui tiennent la route) : On a vu Serge Riaboukine,  Jean-Pierre Darroussin (2 fois), Malik Zidi, Gabriel Byrne, Félix Moati... et là il nous offre une paire de Grégory : Montel et Gadebois (deux nounours, tiens, justement, que j'affectionne particulièrement). Montel en  epistolier inconsolable, et Gadebois en cafetier attentif.

pffff mon ordi a planté je n'avais pas enregistré et je viens de perdre une demi-page de post, dont j'étais assez content... Pfut! dans les limbes du ouaibe!
Bon je m'y remets (ou plutôt j'essaie)

(Jean-Pierre Darroussin aussi tenait un café dans J'ATTENDS QUELQU'UN, non ?) (je suis sûr que ça commençait comme ça...)
Le café de Grégory 2 (Gadebois) est situé stratégiquement, pile en face de l'immeuble ou habite la dulcinée de Grégory 1 (Montel),  exquise dulcinée puisqu'elle est jouée par Anaïs Demoustier, mais qui vient pourtant de le mettre dehors manu militari, nonobstant une scène d'amour caliente sur le pas de la porte, et c'est donc dans ce café que Grégory 1 entre, déboussolé, un peu par hasard, pour prendre un café d'abord, mais aussi y écrire une longue lettre (il a acheté 30 feuilles de beau papier pour ça) à Léa, lettre dont on parlera beaucoup, que plusieurs personnes liront, qui provoquera divers émois (dont celui du cafetier débonnaire, cafetier qu'on rêverait d'ailleurs d'avoir juste en bas de chez soi, et on irait même y manger tous les midis,et même des endives au gratin, oui) fermons la parenthèse), sauf nous pauvres spectateurs frustrés (du contenu de la lettre mais pas de la suite de l'histoire...). Oui cet endroit est un point d'observation idéal pour avoir l'oeil à la fois sur une  fenêtre (ouverte) de l'appartement de la belle (par laquelle on l'entendra pianoter et chanter du Schumann), et la porte de l'immeuble, pour en surveiller les entrée et sorties.
Un genre de mirador, quoi, pour surveiller et même, de temps en temps, pouvoir intervenir (à plus ou moins bon escient).
L'essentiel du film va se passer dans cet espace réduit (l'intérieur du café et ses environs immédiats), avec quelques brèves incursions ça et là (excursions serait plus juste) pour "aérer" un peu le propos. Et donc, en plus de notre trio (les deux Grégory et la demoiselle Demoustier), on fera aussi la connaissance de quelques autres spécimens remarquables (des habitués pour la plupart) de ce sympathique troquet, tout au long de cette journée bien remplie (le film à commencé à l'aube dans des bureaux, et finira tard le soir dans une voiture.) Car si Grégory 1 avait pas mal d'autres choses prévues ce jour-là,  tout ou presque va être ajourné (le téléphone, dans ces cas-là se révèle un allié redoutable). Vingt-quatre heures de la vie d'une femme de deux Grégory(s).
Jérôme Bonnell, le cinéaste du frémissement, de la déclaration, des hésitations, des palpitations (et des regrets aussi)  a mis en place cette aimable comédie sentimentale (romantique, allez, on va dire), dont les dialogues précis (et l'aspect presque sommaire -esquissé- des décors) ont pu faire dire à un(e) critique que la finesse de trait était celle d'un Sempé, et j'en rajouterais même un peu, de critique "littéraire" perso, en précisant que ça pourrait évoquer, aussi, un roman de chez Minuit (l'élégance, l'esprit, la rigueur, la minutie, et même de temps en temps ces bouffées d'humour à froid qui le rendent d'autant plus séduisant.).
Il y a dans tout ça comme un passage de relais affectif, qui va s'effectuer très progressivement, au ralenti presque : Grégory 1 a sans doute conscience qu'une histoire d'amour est en train de s'achever, mais sans toutefois réaliser qu'une autre est en train de naître (il lui faudra du temps, et quelques fausses pistes, pour -enfin- s'en apercevoir...)
Contrairement à ce qu'on scribouillé quelques critiques grinchouillettes (une machine à gifles d'honneur pour la journaliste de Libé, je ne le lui ferai pas -l'honneur- de recopier ce qu'elle a dit...) il est question ici d'un très bon Bonnell (plus "léger" (allégé ?) sans doute que la plupart de ses autres films, mais que la grâce de ses personnages rend parfaitement délicieux, qu'on se le dise...

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21 décembre 2021

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20 décembre 2021

je pars pour quelques jours (pour fêter Noël "à

je pars pour quelques jours (pour fêter Noël "à Champlitte> à Paris >à Bellou") mais je pense à vous quand même...

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bourreau (des coeurs) iranien

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Jessica93 qui fait le malin

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eh oui!

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tournage du dernier kervern et delépine (avec vincent macaigne et jonathan coen)

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Richard Dreyfuss sur le tournage de Jaws

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douche à l'Iranienne

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ça m'intrigue (mais bon Noé je me méfie...)

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Steven Spielberg qui fait le malin

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(ça marchait déjà pour 2021, ça le fera aussi pour 2022)

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20 décembre 2021

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19 décembre 2021

sextape

BAD LUCK BANGING OR LOONY PORN
de Radu Jude

C'est le film qui m'a fait revenir à Besac au cinéma (je n'y étais pas venu depuis début novembre!).
J'ai déjà dit, et répété, et clamé, et ressassé mon amour pour le cinéma roumain (et ses réalisateurs, majoritairement en -u : Puiu, Mungiu, Porumboiu, celui-ci, Jude,  faisant un peu office d'exception qui confirme la règle).
Radu Jude (dont l'avant-dernier film, UPPERCASE PRINT,  est présenté en ce moment par arte dans le cadre de son arte kino festival) est peut-être moins connu,(justement!) mais il a réalisé des films foutrement forts (et je charge l'adverbe à dessein) : "PEU IMPORTE QUE L'HISTOIRE NOUS CONSIDERE COMME DES BARBARES" (2018), AFERIM! (2015), PAPA VIENT DIMANCHE (2012), LA FILLE LA PLUS HEUREUSE DU MONDE (2009), tous caractérisés par une certaine folie, virant d'ailleurs, le plus souvent, à la folie furieuse. FFF, même (folie furieusement féroce, mais on pourrait y adjoindre le J de joyeusement aussi...).
Le film se décompose en trois parties, après une introduction (!) plutôt hot (-la fameuse sextape qui va pourrir la vie de la prof qui l'a tournée-  vue "de l'intérieur", QV incluse) qui "justifie" l'interdiction aux moins de 16 ans dont a écopé le film (en Roumanie, c'est aux moins de 18!), et avant un épilogue décliné en trois propositions...
Trois partie très différentes : une marche dans Bucuresti fraîchement déconfiné(e), puis un abécédaire "image & son" (une grosse parenthèse, ou une façon de faire le point sur le sujet), et, enfin, la confrontation finale de la fameuse prof (celle vue dans la sextape) et les parents d'élèves, fort remontés.
Trois partie séparées (et introduites) par un écran rose bonbon (ou rose porcelet, au choix) avec les titres à rallonge (et la surprise d'entendre une chanson en français, je vous laisse la surprise de laquelle, car c'est bien la plus belle, la plus sensationnelle...).
La bande-annonce, , peut vous en donner une petite idée.
J'ai parlé de jubilatoire et de féroce dans un précédent post (sur Oranges sanguines) , on y est à nouveau, plouf! mais encore un cran au-dessus (ou plus profond, ça dépend comment on regarde). Mais c'est normal, on est en Roumanie, hein... Ce cinéma est du cinéma de sale gosse, turbulent, indiscipliné (dans téléramuche ils ont dit foutraque et brindezingue, et ils ont raison je trouve...) et, une nouvelle fois, ça me ravit.
La première partie, qui est une sorte de déambulation dans Bucuresti, tient quasiment du documentaire, la caméra suit l'héroïne qui marche dans la ville, le plus souvent masque sous le menton (c'est un film qui est très covid-marqué, et ça aussi c'est bien), et elle enregistre (la caméra) la prolifération de signes, d'enseignes, de messages publicitaires, tout un environnement visuel envahissant, coloré, abrutissant -qui donne, paradoxalement, envie d'aller s'y promener-, sans oublier non plus les autochtones, avec ou sans masque, dont on sait qu'ils ont -surtout les conducteurs- l'humeur ombrageuse et le recours au "Va te faire enculer, connard!" facile (et fréquent).
Dans la partie suivante, Radu Jude retire l'échelle et s'amuse -et nous surprend- en abandonnant son héroïne -et son récit- pour un genre de collage ("comme en faisait Jean-Luc Godard dans les années 60" dixit le journaliste de téléramuche mais je n'ai ici aucun avis sur la question, n'ayant pas assez vu -ni même pas vu du tout- les fameux "films de JLG dans les années 60" dont il est ici question -je ne suis pas godardien (godardiste ?)à mort du tout, au contraire : à part Le Mépris, hein...). Donc, où en étais-je ah oui un abécédaire où il semblerait que le réalisateur recense tout ce qui pour lui relève (ou est censé relever) de l'obscénité), avec des choses très drôles et d'autres qui le sont moins (je n'ai toujours pas compris l'histoire du taureau et du veau, en écrivant je me dis que ça doit être un truc en rapport avec les couilles, mais je ne suis pas sûr). Mais bon ça n'est pas si fréquent d'avoir dans un film une liste (ou une énumération) aussi conséquente(s), les listes j'adore  et donc je suis preneur.
Dans la troisième partie, on retrouve notre prof, cette fois dûment masquée, assise derrière un bureau, face à une meute de parents d'élèves diversement (et joliettement, souvent) masqués qui font son procès (sans autre forme de), après avoir demandé à voir une nouvelle fois, sur la tablette d'une des parents d'élèves ("je savais qu'ils allaient la supprimer, alors je l'ai téléchargée pour qu'on puisse la re-voir") la fameuse sextape incriminée...
Autant la première partie bougeait beaucoup et parlait assez peu, autant celle-ci prend le contrepoint, en usant d'un dispositif très théâtralisé. Ca parle beaucoup, beaucoup, mais chacun-e reste assis-e. Question dialogues et turpitudes, le réalisateur n'hésite pas à charger encore un peu plus la mule, et dégomme tous azimuths... Le sexe, le racisme, les roms, l'holocauste, l'inceste, et bam! et bam! et bam!
Il va de soi que, pour le spectateur moyen, cette histoire de sextape, c'est quand même du pipi de chat, par rapport aux saloperies  proférées par tous ces parents d'élèves qui tombent sur le rable de cette pauvre prof, et qui sont, au moins tout aussi "dégueulasses" que celle sur laquelle ils s'acharnent...
On n'en est donc que plus réjoui lorsque explose enfin la "troisième fin", proposée par le réalisateur à sa "farce" (ainsi que lui-même la décrit) et qu'on peut décrire comme salutaire...

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